Occurences de l'expression

ne

pour REGNARD, Jean-Francois

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LA SÉRÉNADE (1694)

  1. Je vous dis encore une fois que madame n'est pas au logis, et qu'il faut que vous reveniez, si vous voulez lui parler. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  2. À la bonne heure, je reviendrai. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  3. Cependant, Marine, dis-lui que j'ai vendu un collier à la personne qui doit épouser mademoiselle sa fille. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
  4. Ne devriez-vous pas songer que les mariages légitimes ne sont point de votre compétence ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
  5. Un courtier d'usure, comme vous, ne doit s'intriguer que d'affaires de contrebande, et laisser les honnêtes filles en repos. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  6. À dieu ne plaise, ma pauvre Marine, qu'on voie jamais aucun vrai mariage de ma façon ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  7. Je ne fais point faire de marché à vie ; c'est un métier trop périlleux. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
  8. Une fille est une marchandise qu'on ne saurait garantir, et l'on n'en a pas plus tôt fait l'emplète qu'on voudrait en être défait à moitié de perte. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
  9. Oui, mais ceux qui font des mariages ne s'embarrassent guère du succès ; et quand ils ont reçu leur pot-de-vin, et que le poisson est dans la nasse, sauve qui peut. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  10. Vous connaissez du moins l'homme qu'on lui destine, puisque vous lui avez vendu un collier ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
  11. Oui, pour des ladres comme vous, qui ne connaissent d'autre bonheur que celui d'amasser du bien, et de faire travailler leur argent à gros et très gros intérêt : mais pour une jeune personne comme Léonor, qui cherche à passer ses jours dans le plaisir, vous trouverez bon, s'il vous plaît, vous et madame sa mère, qu'elle préfère l'agréable à l'utile ; et que moi, de mon côté, je fasse tout mon possible pour rompre un mariage aussi biscornu que celui-là. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  12. Je t'aiderai même, en cas de besoin, pourvu que tu me fasses payer de mes peines un peu grassement. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  13. Allez, vous devriez mourir de honte d'avoir une face qui a pour le moins deux aunes de tour. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  14. Marine est toujours railleuse. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  15. Mais je ne songe pas que mon homme m'attend : il veut donner tantôt une sérénade à sa maîtresse. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
  16. Musiciens et filles de chambre ont volontiers commerce ensemble ; n'y en a-t-il point quelqu'un de tes amis à qui tu voulusses faire gagner cet argent-là ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
  17. Je vais songer à lui donner l'aubade, moi. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  18. Je voudrais bien rester plus longtemps avec toi, je ne m'y ennuie jamais. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  19. Il n'y aurait pas grand mal quand tous ces maquignons de mariages-là seraient au fond de la rivière avec une bonne pierre au cou. (Acte 1, scène 2, MARINE)
  20. Il ne sait pas son malheur. (Acte 1, scène 2, MARINE)
  21. J'ai une lettre à lui rendre de la part de sa maîtresse. (Acte 1, scène 2, MARINE)
  22. Oui : Monsieur Grifon ne sait pas que son fils a l'honneur d'être à moi ; il ne me connaît pas même. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  23. Cela n'empêche pas que je ne nourrisse quelquefois mon maître quand il est mal avec son père. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  24. Comme tu fais, Marine ! Regarde-moi un peu. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  25. Tu me romps si souvent la tête de ton babil, quand je te prie de ne dire mot. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  26. Je te prie donc de te taire, Marine : c'est le moyen de te faire parler. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  27. Voilà encore un plaisant visage, pour fermer la bouche à une femme ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
  28. Ni toi, ni ton père, ni ta mère, ni toute ta peste de génération, ne me ferait pas rabattre une syllabe. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  29. Quand on parle bien, on ne parle jamais trop. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  30. Tu ne devrais pas parler souvent. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  31. Point du tout ; je ne veux rien savoir. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  32. Tu auras menti, et il ne sera pas dit que tu me feras entendre malgré moi. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  33. Je ne veux rien savoir ; laisse-moi en repos ; garde tes nouvelles pour un autre. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  34. Par ma foi, c'est une charmante chose qu'une femme ! (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
  35. Voilà une des plus raisonnables que je connaisse. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
  36. Que t'a dit Marine ? (Acte 1, scène 5, VALERE)
  37. Marine ? (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  38. C'est une fille dont on ne saurait tirer une parole. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  39. Marine ne t'a rien dit, elle qui parle tant ? (Acte 1, scène 5, VALERE)
  40. C'est justement ce qui fait qu'elle ne dit rien ; mais tout ce que j'ai pu comprendre de la volubilité de son discours, c'est qu'il faut renoncer à Léonor ; et le pis que j'y trouve, c'est que nous n'avons pas un sou pour nous en consoler. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  41. Et Marine ne t'a point dit la cause de son refroidissement ? (Acte 1, scène 5, VALERE)
  42. Monsieur, Marine est une fille impénétrable. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  43. Elle m'a seulement donné une petite lettre qui vous expliquera peut-être mieux la chose. (Acte 1, scène 5, VALERE)
  44. Donne donc, maraud, donne donc. (Acte 1, scène 5, VALERE)
  45. " Si vous m'aimez autant que je vous aime, nous sommes les plus malheureuses personnes du monde. (Acte 1, scène 5, VALERE)
  46. Ma mère prétend me marier à un homme que je ne connais point. (Acte 1, scène 5, VALERE)
  47. Détournez le malheur qui nous menace ; et soyez certain que je choisirai plutôt la mort que d'être jamais à d'autre qu'à vous. " (Acte 1, scène 5, VALERE)
  48. Je dis, monsieur, que ce n'est pas là une lettre-de-change. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  49. Monsieur, le ciel m'a donné des talents merveilleux pour faire des mariages ; et je puis dire, sans vanité, qu'il n'y a guère de jour qu'il ne m'en passe quelqu'un par les mains. J'en ai même ébauché plus de mille en ma vie qui n'ont jamais été achevés ; mais j'aime trop la propagation de l'espèce, pour avoir le courage d'en rompre aucun. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  50. Nous sommes convenus à trois mille huit cents livres ; ce sont encore deux cents louis qu'il faut vous donner pour le collier, Monsieur Mathieu. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-GRIFON)
  51. Je n'en suis point en peine, et je vous laisse le collier, Monsieur Grifon. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-MATHIEU)
  52. Je ne fais que d'arriver. (Acte 1, scène 7, VALERE)
  53. Ils mènent les gens au cabaret, et il faut toujours payer pour eux. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  54. Mon fils, j'ai une nouvelle à vous apprendre ; la présence du musicien ne gâtera rien, et peut-être pourra-t-il nous être utile. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  55. Votre imagination m'a fait musicien par hasard ; vous verrez qu'il faudra que je le devienne par nécessité. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  56. Moi-même, en propre personne. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  57. Je ne m'attendais pas à celui-là. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  58. Je ne puis que vous louer, monsieur, de former une entreprise si hardie. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  59. Vous avez eu le bonheur d'enterrer une première femme, vous hasardez d'en prendre une seconde ; le péril ne vous rebute point : cela est fier, cela est grand, cela est héroïque ; et, pour ma part, je n'ai garde de manquer d'applaudir à une résolution aussi généreuse que la vôtre. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  60. Ne t'en mets point en peine ; ce sont mes affaires. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  61. Oui, monsieur, que monsieur votre père vous donne seulement une belle-mère bien faite, belle, jeune, et laissez-le faire ; vous serez ravi qu'il se soit remarié, sur ma parole. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  62. C'est une fille à qui il ne manque rien. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  63. Ce que je voudrais de vous maintenant, monsieur de l'opéra, ce serait que vous m'aidassiez à donner une petite sérénade à ma maîtresse. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GRIFON)
  64. Une sérénade, dites-vous ? (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  65. Vous ne pouvez mieux vous adresser qu'à moi. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  66. Musique italienne, française ; je suis un homme à deux mains. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  67. Je voudrais une sérénade à bon marché. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  68. Je ménagerai votre bourse ; ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  69. Il ne nous faudra que trente-six violons, vingt hautbois, douze basses, six trompettes, vingt-quatre tambours, cinq orgues, et un flageolet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  70. Voilà pour donner une sérénade à tout un royaume. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  71. Il ne faut pas moins de voix pour accompagner tous les instruments. Laissez-nous faire. Je veux qu'il y ait dans cette musique-là une espèce de petit charivari qui conviendra merveilleusement bien au sujet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  72. Nous allons, monsieur votre fils et moi, donner maintenant les ordres pour... (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  73. On doit m'amener ma maîtresse ; je suis bien aise que vous la voyiez, et que vous m'en disiez votre sentiment l'un et l'autre. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  74. Prenez-la belle et jeune, au moins, surtout d'humeur complaisante ; tous vos amis vous conseilleront la même chose. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  75. Ne vous avais-je pas bien dit qu'on devait l'amener ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  76. Madame, voilà la personne ! ... (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  77. Est-ce que monsieur ne vous plaît pas ? (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  78. Je ne dis pas cela, madame, et je n'aurai jamais d'autres volontés que les vôtres. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  79. Je suis ravie, ma fille, de vous voir des sentiments raisonnables, et j'ai toujours bien jugé que vous ne voudriez pas me désobéir. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  80. Voilà une fille bien née, n'est-il pas vrai ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  81. Ne m'avez-vous pas dit, madame, que vous aviez conclu mon mariage ? (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  82. Oui, mignonne, c'est moi qui aurai l'honneur de... (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  83. Je voudrais bien, pour voir, que vous ne le trouvassiez pas bon ! (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  84. Par une aventure fort naturelle, mon père. (Acte 1, scène 1, VALERE)
  85. Comment, une aventure fort naturelle ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  86. Monsieur est le père, madame est la mère ; la raison est de leur côté, la nature est une sotte, et vous aussi, ma mie. (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
  87. À l'âge que vous avez, mon père, vous voudriez vous marier à une fille comme mademoiselle ? (Acte 1, scène 1, VALERE)
  88. En vérité, ma mère, vous êtes trop raisonnable pour exiger de moi une chose aussi éloignée de bon sens. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  89. Allons, petite ridicule, qu'on donne tout-à-l'heure la main à monsieur. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  90. Avec votre permission, mon père, cela ne sera pas, je vous assure. (Acte 1, scène 1, VALERE)
  91. Cela ne sera pas ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  92. Que dirait-on dans le monde, si, en ma présence, je vous laissais faire une action aussi extravagante que celle-là ? (Acte 1, scène 1, VALERE)
  93. Quand il serait mon père cent fois plus qu'il ne l'est encore, je ne souffrirai point que l'amour lui fasse tourner la cervelle jusqu'à ce point-là. (Acte 1, scène 1, VALERE)
  94. Monsieur, avec trois ou quatre cents pistoles ne pourrions-nous point le mettre à la raison ? (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
  95. Et moi, je vous réponds de cette petite impertinente-là ; elle vous épousera, ou je la mettrai dans un lieu d'où elle ne sortira de long-temps. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  96. Ne vous mettez pas en peine ; je saurai la réduire ; elle sera votre femme aujourd'hui, ou vous mourrez de mort subite. (Acte 1, scène 9, MADAME-ARGANTE)
  97. Laisse-moi faire, je veux l'épouser à ta barbe ; je m'en vais dépenser tout mon bien pour m'en faire aimer ; je lui donnerai des présents, des bijoux, des maisons, des contrats, des cadeaux, des festins, des sérénades ; des sérénades, monsieur le musicien ; et je lui ferai des enfants pour te faire enrager. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-GRIFON)
  98. Non, Scapin, il n'y a point d'extrémité où je ne me porte pour empêcher ce mariage-là. (Acte 1, scène 11, VALERE)
  99. Il ne la tient pas encore. J'ai pris le soin d'une sérénade ; il vient de négocier un certain collier : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  100. Mon pauvre Scapin, cherche, imagine, invente des moyens pour en trouver ; engage tout, vends tout, donne tout. (Acte 1, scène 11, VALERE)
  101. Tu ne peux trouver ?... (Acte 1, scène 11, VALERE)
  102. J'ai besoin de me recueillir, vous dis-je ; laissez-moi en repos, et allez fortifier Léonor dans le dessein de ne point épouser votre père. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  103. Ce n'est pas une petite affaire, pour un valet d'honneur, d'avoir à soutenir les intérêts d'un maître qui n'a point d'argent. (Acte 1, scène 12, SCAPIN)
  104. On s'accoquine à servir ces gredins-là, je ne sais pourquoi ; ils ne paient point de gages, ils querellent, ils rossent quelquefois ; on a plus d'esprit qu'eux, on les fait vivre, il faut avoir la peine d'inventer mille fourberies, dont ils ne sont tout au plus que de moitié ; et avec tout cela nous sommes les valets, et ils sont les maîtres. (Acte 1, scène 12, SCAPIN)
  105. Le beau Champagne en ce pays-ci ! (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  106. Il y a six mois que je suis revenu, mais je ne me montre que depuis quinze jours. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  107. Par une espèce de scrupule. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  108. Une lettre de cachet du Châtelet m'avait défendu de paraître à la ville, elle me prescrivait un temps pour voyager ; mes voyages sont finis, je reparais sur nouveaux frais. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  109. Il faut faire une fin. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  110. Avec Monsieur Mathieu : mais je suis un peu subalterne, à la vérité. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  111. Nous demeurons ensemble ; il me loge fort haut, me meuble modestement, m'habille chaudement pour l'été, fraîchement pour l'hiver, me nourrit sobrement, ne me donne point de gages ; mais ce que je prends c'est pour moi. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  112. Voilà une bonne condition ! (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  113. Et, dis-moi, es-tu toujours aussi ivrogne qu'avant ta lettre de cachet ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  114. Je bois beaucoup de vin, mais je ne l'aime pas. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  115. Et tu as un billet de Monsieur Mathieu, pour marque que tu ne viens pas à faux ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  116. Nous ne sommes associés que pour emprunter, nous autres. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  117. Je ne crois pas. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  118. Monsieur Grifon n'est pas au logis ; et, en attendant qu'il vienne, nous pouvons aller renouveler connaissance au cabaret. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  119. De tout mon coeur : je ne refuse point des parties d'honneur. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  120. Voilà un homme à qui j'ai affaire, mais ce ne sera que pour un moment. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  121. Voilà un fripon que je friponnerai, sur ma parole, si je puis seulement attraper le billet. (Acte 1, scène 14, SCAPIN)
  122. Je vous dis, monsieur, que vous aurez plus de peine que vous ne pensez à réduire cet esprit-là. (Acte 1, scène 15, MARINE)
  123. Tu dis donc, Marine, que tu viens de la part de Léonor. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  124. Elle m'a aussi chargée de vous prier de ne point presser madame sa mère sur votre mariage, et de lui donner du temps pour s'accoutumer à une figure aussi extraordinaire que la vôtre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  125. Vous êtes une impertinente, ma mie ; et je ne sais... (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  126. Je ne veux point savoir ses sentiments, tant qu'elle en aura d'aussi ridicules. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  127. Il ne tiendra pas à moi qu'elle ne change ; et, quelque aversion qu'elle ait pour vous, elle ne laissera pas de vous épouser si elle m'en veut croire. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  128. Voilà une insolente qui, à mon nez, me vient chanter pouille. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  129. Vous ne seriez pas le premier magot qui aurait épousé une jolie fille. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  130. Malgré tout ce qu'elle me dit, je ne veux point me fâcher ; elle peut me rendre service. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  131. Je veux être de tes amis ; et, si le mariage se fait, ne te mets pas en peine. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  132. Je ne lui connais qu'un petit défaut. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  133. C'est, monsieur, que, quand elle s'est mis quelque chose en tête, et qu'on s'avise de la contredire, elle crie, elle peste, elle jure, elle bat, elle mord, elle égratigne, elle estropie même en cas de besoin ; mais, dans le fond, c'est une bonne enfant. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  134. voilà une humeur bien douce vraiment ! (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  135. Non, monsieur, rien ne la domine. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  136. Elle a du goût pour toutes les belles manières ; elle vend, pour jouer, tout ce qu'elle a ; elle met ses nippes en gage pour aller à l'opéra et à la comédie ; elle court le bal sept fois la semaine seulement ; elle fesse son vin de Champagne à merveille, et sur la fin du repas elle devient fort tendre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  137. Dans ce siècle-ci, quand un mari laisse faire à sa femme tout ce qu'elle veut, c'est un homme adorable ; on ne peut pas lui demander autre chose. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  138. Mon enfant, tu peux l'assurer de ma part que, si jamais elle est ma femme, je ne la contraindrai jamais en la moindre bagatelle. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  139. Commencez donc par ne point trop presser les affaires. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  140. Je vais lui proposer vos conventions ; et comme il n'y a rien dans ces articles-là qui répugne à la coutume, je ne doute point qu'elle ne les accepte. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  141. Voilà une plaisante figure d'homme ! (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
  142. Ne pourriez-vous point, monsieur, me faire le plaisir et l'honneur de m'enseigner le logis de Monsieur Grifon ? (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  143. Avoir l'avantage de lui rendre un petit billet que Monsieur Mathieu m'a fait l'honneur de me donner, afin que ledit Sieur Grifon me fasse la grace de me compter deux mille huit cents livres, restant à payer pour un collier que ledit Sieur Grifon a acheté dudit Sieur Mathieu. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  144. Le voilà, monsieur ; je ne viens qu'à bonnes enseignes. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  145. Oui, voilà l'écriture de Monsieur Mathieu ; mais je ne vous connais pas pour être à lui. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
  146. C'est une gloire que je ne mérite pas, monsieur : je suis seulement son compère, Isaac-Jérôme-Boisme Rousselet, maître marchand fripier ordinaire privilégié suivant la Cour : si l'on peut vous y rendre quelque service, vous n'avez qu'à disposer de votre petit serviteur. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  147. Il est vrai, monsieur. J'ai autrefois, par leur moyen, tiré mon parrain des galères, et je sauvai l'année passée une amende honorable à Monsieur sMathieu ; c'est ce qui fait qu'il a beaucoup de confiance en moi. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  148. Par ma foi, voilà qui ne va pas mal. (Acte 1, scène 19, SCAPIN)
  149. Mais voici mon maître avec sa maîtresse : il ne me reconnaîtra pas. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  150. Comptez, Valère, que rien ne me peut faire changer. (Acte 1, scène 20, LÉONOR)
  151. Monsieur, je vous donne le bonjour. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  152. Comment gouvernez-vous la joie avec cette aimable enfant ? (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  153. Que me veut cet ivrogne-là ? (Acte 1, scène 20, VALERE)
  154. Je suis un honnête garçon, qui connais vos besoins, et qui viens vous offrir deux cents pistoles que me va donner monsieur votre père. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  155. Par ma foi, voilà un méchant borgne. (Acte 1, scène 20, MARINE)
  156. Pour la main, je l'ai aussi bonne que la langue. (Acte 1, scène 20, MARINE)
  157. J'ai deux ou trois filles de mes amies qui ne m'abandonneront pas dans le besoin. (Acte 1, scène 20, MARINE)
  158. Bon, bon ; il ne me faut pas de plus vaillants champions pour mon dessein. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  159. Il y a deux cents louis neufs dans cette bourse, voyons si je ne me suis point trompé. (Acte 1, scène 21, MONSIEUR-GRIFON)
  160. Je ne regarderai point après vous, monsieur ; le compère Mathieu me l'a défendu. (Acte 1, scène 21, SCAPIN)
  161. Monsieur Mathieu ne laisse point moisir l'argent entre les mains de ceux qui lui doivent. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR-GRIFON)
  162. Je ne sais ce que cela signifie ; mais je n'ai point bonne opinion de mon mariage. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFON)
  163. Oui, à peu près, c'est un ivrogne. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  164. Je suis plus pesant que de coutume, et je ne sais si mes jambes pourront porter au logis tout le vin que j'ai bu. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  165. Ne serait-ce point quelque émissaire de mon coquin de fils, qui viendrait ici pour troubler la fête ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  166. Palsembleu, si je le savais, je ne le demanderais pas. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  167. Je ne sais, je ne m'en souviens pas. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  168. Je ne me trompais pas, c'est un fripon. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  169. Ce Monsieur Mathieu donc, comme de vilain à vilain il n'y a que la main, il est arrivé que, par la concomitance d'un collier..., enfin je ne me souviens pas bien de tout cela. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  170. Combien te donne-t-on pour jouer le personnage que tu fais ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  171. Comme Monsieur Mathieu est un vilain, je ne gagne pas grand'chose ; mais je suis sobre. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  172. Vous êtes Monsieur Grifon, je suis Monsieur Champagne : donnez-moi de l'argent au plus vite, car j'ai hâte. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  173. Que je te donne de l'argent ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  174. Oui, parbleu, de l'argent ; je ne perds point le jugement, j'ai beau boire. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  175. Tu viens un peu trop tard pour m'attraper, mon pauvre ami : si tu as le billet de Monsieur Mathieu, je t'en donnerai. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  176. Je ne le trouve point, ce diable de billet. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  177. Je ne trouve rien, la peste m'étouffe. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  178. Quand on a bu, on ne peut pas retrouver sa maison, vous voulez que je retrouve un billet : il n'y a pas de raison à cela. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  179. Écoutez, ne nous brouillons point. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  180. Il est plus malaisé de m'attraper qu'on ne s'imagine. (Acte 1, scène 24, MONSIEUR-GRIFON)
  181. Quelque nuit qu'il fasse, je connais les fourbes d'une lieue. (Acte 1, scène 24, MONSIEUR GRIFON)
  182. Je vous amène ici tout un opéra. (Acte 1, scène 25, SCAPIN)
  183. Pour nous éclairer, monsieur : ma musique est une musique de conséquence ; il faut voir clair à ce qu'on fait. (Acte 1, scène 25, SCAPIN)
  184. Peut-être que l'italien ne vous plaît pas ? (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  185. Amis, tenez-vous tous prêts ; la bête est dans nos filets. Lorsqu'un vieux fou s'échappe d'être amoureux sur ses vieux ans, il faut qu'il mette la nappe, et qu'on boive à ses dépens. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  186. Vive la jeunesse ! v.3 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
  187. Car en amour les vieillards ne sont bons v.8 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
  188. D'épouser une hirondelle v.12 (Acte 1, scène 26, UNE-MUSICIENNE)
  189. Jeune et belle, v.13 (Acte 1, scène 26, UNE MUSICIENNE)
  190. Tout s'enfuit en voyant une si laide bête ; v.16 (Acte 1, scène 26, UNE MUSICIENNE)
  191. Monsieur le musicien, voilà de vilaines paroles. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  192. Pardonnez-moi, monsieur ; ce sont des paroles nouvelles qui furent faites à la noce de Vénus et de Vulcain. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  193. Paix, paix, ne faisons point de bruit ; nous ne sommes pas les plus forts. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  194. Ils prennent mon chapeau, monsieur le musicien. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  195. Et paix, paix, ils prennent le mien, et je ne dis mot. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  196. Ils fouillent dans mes poches, monsieur le musicien, et prennent ma bourse. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  197. Ils fouillent aussi dans les miennes, mais il n'y a rien ; ils seront bien attrapés. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  198. Ils me prennent un collier de quatre cents pistoles, monsieur le musicien. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  199. Bon, bon, ils ne tueront personne. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  200. Et d'où venez-vous ? (Acte 1, scène 27, VALERE)
  201. Nous venons de donner une sérénade. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
  202. Ne vous alarmez point, mon père ; je vous amène vos voleurs. (Acte 1, scène 27, VALERE)
  203. Marine ! (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)
  204. Coquine, tu iras aux galères. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
  205. Tout beau, s'il vous plaît, mon père : je vous ai dit que je vous le ferais voir, mais je ne vous ai pas dit que je vous le rendrais. (Acte 1, scène 27, VALERE)
  206. Quand une fille se marie, elle a besoin d'un collier. (Acte 1, scène 27, VALERE)
  207. Vous voulez bien, monsieur, que je vous fasse aussi mes petites excuses, et que je vous dise que le borgne à qui vous avez tantôt donné deux cents louis, c'était moi ; que je ne suis qu'une façon de musicien. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
  208. Non je ne veux jamais entendre parler, ni de fils, ni de maîtresse, ni d'amour, ni de mariage, et je vous donne à tous les diables. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)

LE JOUEUR (1692)

  1. Ne serai-je jamais laquais d'un sous-fermier ? v.4 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  2. Il n'est que ce métier pour brusquer la fortune ; v.13 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  3. Et tel change de meuble et d'habit chaque lune, v.14 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  4. Si matin, Nérine, qui t'envoie ? v.17 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  5. Va, mon maître ne voit personne quand il dort. v.19 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  6. Paix, ne parle pas si fort. v.20 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  7. Et je ne puis t'ouvrir que la porte bâtarde. v.22 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  8. Tes sots raisonnements sont pour moi superflus. v.23 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  9. Je ne dis mot. v.27 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  10. Non. Il ne tardera guère : v.29 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  11. Nous n'ouvrons pas matin. Il a plus d'une affaire, v.30 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  12. Ou bien réduit à sec, d'une âme familière, v.33 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  13. Peut-être il parle au ciel d'une étrange manière. v.34 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  14. De ne toucher jamais cornet, carte, ni dé, v.39 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  15. Consigne entre tes mains pour avoir Angélique. v.42 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  16. Mon coeur ne peut souffrir de lâche trahison. v.44 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  17. Qui ne sut de ses jours ce que c'est que le jeu. v.51 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  18. Ne verrai-je jamais les femmes détrompées v.53 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  19. Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, v.56 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  20. Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille, v.57 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  21. Une longue steinkerque à replis tortueux, v.59 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  22. Viennent, pour tout mérite, étaler leur figure ? v.62 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  23. Je ne souffrirai pas qu'on trompe ma maîtresse, v.65 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  24. Et qu'on profite ainsi d'une tendre faiblesse ; v.66 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  25. Que Dorante a pour lui Nérine et la raison. v.80 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  26. Ton maître est un amant d'une espèce plaisante ! v.85 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  27. Nous ne te craignons guère ; v.93 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  28. De lui donner dans peu, pour prix de son amour, v.95 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  29. N'est-ce pas une honte à Valère, v.101 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  30. Et la veuve sa soeur, ne sont dans ce pays v.107 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  31. Valère a déserté la maison paternelle, v.109 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  32. Nous y serions encore, à ne t'en point mentir. v.112 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  33. Quoi qu'il en soit, enfin, je ne t'abuse pas, v.115 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  34. Qu'il ne sera jamais digne de ses amours ; v.119 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  35. Cette Nérine-ci n'est pas trop pour mon maître. v.122 (Acte 1, scène 3, HECTOR)
  36. On soupçonne aisément, à sa triste figure, v.125 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
  37. Il est... je ne m'en souviens pas. v.127 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
  38. Tu ne t'en souviens pas ? v.128 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  39. De tes mauvais discours ; et tes impertinences... v.129 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  40. Une école maudite v.133 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  41. Maudit jeu de trictrac, ou bien je ne pourrai. v.136 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  42. Tu peux me faire perdre, ô fortune ennemie ! v.137 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  43. Va te coucher, maraud ; ne me romps point la tête. v.142 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  44. Que je suis malheureux ! Je ne puis fermer l'oeil. v.144 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
  45. Las de dormir ! Monsieur ? Hé ! Je me donne au diable, v.150 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  46. Un maître de trictrac qui ne m'est pas connu. v.155 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  47. Qu'on vend cher maintenant l'argent à la jeunesse ! v.161 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  48. Je n'ai, pour en avoir, qu'à donner mon billet ? v.168 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  49. Il ne faut maintenant que lui donner des gages. v.174 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  50. Sur les produits trompeurs d'une réjouissance ; v.178 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  51. Mais quel gage, dis-moi, veux-tu que je lui donne ? v.181 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  52. Elle viendra tantôt elle-même en personne, v.182 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  53. Tant pis : c'est un signe fâcheux. v.187 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  54. Ne crois pas que le jeu, quelque sort qu'il me donne, v.193 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  55. Me fasse abandonner cette aimable personne. v.194 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  56. Oui, mais j'ai bien peur, moi, qu'on ne vous plante là. v.195 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  57. Nérine sort d'ici, qui m'a dit qu'Angélique v.197 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  58. Bon ! Cela ne se peut ; on t'a voulu surprendre. v.202 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  59. Vous êtes assez riche en bonne opinion, v.203 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  60. Tout allait comme j'ai l'honneur de vous le dire, v.206 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  61. Je prends le parti... mais cela ne se peut pas. v.208 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  62. Si cela se pouvait, qu'une passion neuve ?... v.209 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  63. Cette veuve, je crois, ne serait point cruelle ; v.214 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  64. Ce serait une éponge à presser au besoin. v.215 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  65. Cette éponge, entre nous, ne vaudrait pas ce soin. v.216 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  66. C'est, dans son caractère, une espèce parfaite, v.217 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  67. C'est, à vous parler net, v.223 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  68. Un marquis de hasard fait par le lansquenet ; v.224 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  69. Qui gagne au jeu beaucoup, et qui, dit-on, jadis v.227 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  70. Pour toi, j'ai quelques coups de canne à te prêter. v.231 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  71. Excusez-moi, Monsieur, je ne puis m'arrêter. v.232 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  72. Je ne puis retenir ma bile davantage, v.237 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  73. Et ne saurais souffrir votre libertinage. v.238 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  74. Vous êtes pilier-né de tous les lansquenets, v.239 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  75. Qui sont, pour la jeunesse, autant de trébuchets. v.240 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  76. On joue argent, bijoux, maisons, contrats, honneur ; v.248 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  77. Et c'est ce qu'une femme, en cette humeur à craindre, v.249 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  78. Oh ! Nous ne risquons pas, Monsieur, de tels bijoux. v.251 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  79. Je ne puis vous souffrir vivre de cette sorte : v.253 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  80. C'est bien fait. Ces joueurs qui courent la fortune, v.257 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  81. Dans leurs dérèglements ressemblent à la lune, v.258 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  82. Que si vous ne changez de vie et de manière, v.261 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  83. Débraillé, mal peigné, l'oeil hagard ! À sa mine v.265 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  84. On croirait qu'il viendrait, dans la forêt voisine, v.266 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  85. Serez-vous bientôt las d'une telle conduite ? v.269 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  86. Et ne veux plus jouer, mon père, absolument. v.272 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  87. Vous m'avez mille fois bercé de ces sornettes. v.293 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  88. Je ne puis vous entendre. v.297 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  89. Je ne veux point, mon père, aujourd'hui vous surprendre ; v.298 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  90. Retenez cet argent, et payez par vos mains. v.300 (Acte 1, scène 7, VAL?RE)
  91. Vous ne regretterez nullement la dépense ; v.305 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  92. Et que j'aurai l'honneur de vous montrer dans peu. v.315 (Acte 1, scène 8, HECTOR)
  93. Non, quand ce ne serait que pour le contredire, v.317 (Acte 1, scène 9, GÉRONTE)
  94. De chagriner mon frère, et marier mon fils. v.320 (Acte 1, scène 9, G?RONTE)
  95. Et votre serviteur, pour terminer ma phrase. v.326 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  96. Et l'on ne vous a pas fait présent, en galère, v.329 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  97. On ne peut de mon art assez faire de cas ; v.332 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  98. De quoi sert, je vous prie, une foule inutile v.337 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  99. Un jeune homme en est-il plus riche quand il sait v.339 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  100. Avec un vaudeville ou bien une courante ? v.342 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  101. Ne vaut-il pas bien mieux qu'un jeune cavalier v.343 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  102. Qu'il sache, quand il perd, d'une âme non commune, v.345 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  103. À force de savoir, rappeler la fortune ? v.346 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  104. Qu'il apprenne un métier qui, par de sûrs secrets, v.347 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  105. Qui, sans le lansquenet et son produit caché, v.355 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  106. Et dont tous les hivers la cuisine se fonde v.357 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  107. Sur l'impôt établi d'une infaillible ronde. v.358 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  108. Qui, forcés à garder une longue abstinence, v.361 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  109. Je sais dans un trictrac, quand il faut un sonnez, v.367 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  110. Et vous ne craignez pas v.375 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  111. Je ne suis point ici venu pour vous déplaire. v.378 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  112. Je ne sais qui me tient, tant je suis animé, v.383 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  113. Je ne puis respirer, et j'en mourrai, je pense. v.390 (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  114. Nérine, c'en est fait, pour jamais je l'oublie ; v.397 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  115. Je ne veux ni l'aimer, ni le voir de ma vie ; v.398 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  116. Ne me viens pas, au moins, parler en sa faveur. v.400 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  117. Ne viens point désormais, pour calmer mon dépit, v.403 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  118. Il est plus journalier mille fois qu'une femme : v.406 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  119. Dépend presque toujours d'une carte, ou d'un dé. v.408 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  120. Ne crains rien de mon coeur. v.415 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  121. Je ne veux opposer à tout votre courroux v.419 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  122. Vous ne me dites rien ! Vous détournez la vue ! v.422 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  123. Il se soufflettera d'une main mutinée, v.425 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  124. Se donnera du front contre une cheminée, v.426 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  125. Qui ne sont pas à lui. Mais de ces airs fougueux v.428 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  126. Ne vous étonnez pas ; comptez qu'en sa colère v.429 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  127. Il ne se fera pas grand mal. v.430 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  128. Ne vous démentez point, tenez bon jusqu'au bout. v.432 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  129. Cet amour, entre nous, était une faiblesse. v.438 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  130. Que la raison condamne et qui flattent nos sens. v.440 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  131. Ivrogne, sans esprit, débauché, sot, colère, v.445 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  132. Vous ne voulez donc plus en faire votre époux ? v.448 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  133. Cela racquitte-t-il d'une perte aussi dure ? v.466 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  134. Que personne ne peut me disputer, je pense. v.473 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  135. Après un si long temps de pleine jouissance, v.474 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  136. Et jamais, en aimant, je ne fis de faux frais. v.484 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  137. Un conseiller de robe, un seigneur de finance, v.489 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  138. Je fais profession d'une vertu sévère. v.493 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  139. Il n'eut jamais pour vous qu'une estime stérile, v.497 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  140. Quand on veut inspirer une solide amour, v.499 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  141. Avoir un certain poids, une beauté formée v.501 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  142. Et j'y serais encor dans des peines mortelles, v.509 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  143. Si l'amour, pour vous voir, ne m'eût prêté ses ailes. v.510 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  144. Mais, à vous parler net, sans que l'esprit fatigue, v.513 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  145. Je vous sais gré d'avoir une soeur aussi belle ; v.517 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  146. Comme à tout ce qu'il dit il donne un joli tour ! v.519 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  147. J'ai de l'esprit, du coeur, plus que seigneur de France ; v.525 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  148. Je joue, et j'y ferais fort bonne contenance : v.526 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  149. Il vous est obligé, Monsieur, de tant de peine. v.529 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
  150. Je n'y suis pas plus tôt, soudain je perds haleine. v.530 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  151. On ne s'y dit bonjour que par convulsion. v.536 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  152. Leur sotte vanité croit ne pouvoir trop haut v.539 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  153. Moi, j'aime à pourchasser des beautés mitoyennes. v.541 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  154. L'hiver, dans un fauteuil, avec des citoyennes, v.542 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  155. Les pieds sur les chenets étendus sans façons, v.543 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  156. Ma bouche ne dit rien que mon coeur n'autorise : v.554 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  157. Vous me parlez, Marquis, une langue inconnue : v.558 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  158. Et ce mot dit à cru lui cause une syncope. v.562 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
  159. Parlez donc, parlez donc. Apprenez, je vous prie, v.565 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  160. Que mortel, quel qu'il soit, ne me dit de ma vie v.566 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  161. Un mot douteux qui pût effleurer mon honneur. v.567 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  162. Croirait-on qu'une veuve aurait tant de pudeur ? v.568 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  163. Quel droit, ma reine ? v.573 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  164. Le droit de bienséance avec celui d'aubaine. v.574 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  165. Vous me convenez fort, et je vous conviens mieux. v.575 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  166. Je ne sais point prendre en main des trompettes, v.581 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  167. On ne connaît que trop ma retenue austère. v.585 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  168. Cette jeune duchesse v.590 (Acte 2, scène 6, 2nd_LAQUAIS)
  169. Vous attend à vingt pas pour vous mener au jeu. v.591 (Acte 2, scène 6, 2nd, LAQUAIS)
  170. Tu prendras ce manteau, fait pour bonne fortune, v.597 (Acte 2, scène 7, LE_MARQUIS)
  171. De couleur de muraille ; et tantôt, sur la brune, v.598 (Acte 2, scène 7, LE, MARQUIS)
  172. Je ne vous croyais pas un tel engagement. v.608 (Acte 2, scène 9, ANGELIQUE)
  173. L'amour qu'il a pour moi lui tourne la cervelle : v.610 (Acte 2, scène 9, LA COMTESSE)
  174. Il ne m'a pourtant vue encore que deux fois. v.611 (Acte 2, scène 9, LA COMTESSE)
  175. Vous vous méprenez. v.625 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
  176. On ne vit une plus noble ardeur. v.628 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  177. Il ne faut pas avec sévérité v.635 (Acte 2, scène 10, ANGELIQUE)
  178. Vous ne la mettez pas, ma soeur, trop en usage. v.642 (Acte 2, scène 10, ANGELIQUE)
  179. Ne m'abandonne point. v.649 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  180. Vous ne m'écoutez point, vous dédaignez mon feu. v.652 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  181. Que la fureur du jeu se mêle où vous régnez : v.656 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
  182. Non, ne vous présentez jamais devant mes yeux. v.664 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  183. Hé quoi ! Rien ne pourra fléchir votre courroux ? v.667 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  184. Eh bien ! Ne voilà pas votre tendre maudit v.675 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  185. Tu ne m'as pas dit, v.677 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  186. Nérine, qu'il viendrait se percer à ma vue : v.678 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  187. Et je tremble de peur quand une épée est nue. v.679 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  188. Nérine, qu'en dis-tu ? v.686 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  189. Vous avez moins de coeur qu'une poule mouillée. v.687 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  190. Et que même la mort jamais ne nous sépare. v.702 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  191. Que l'esprit d'une fille est changeant et bizarre ! v.703 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  192. Ne me trompez donc plus, Valère ; et que mon coeur v.704 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  193. Ne se repente point de sa facile ardeur. v.705 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  194. Ah ! Que voilà pour l'oncle une époque fâcheuse ! v.707 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  195. Je vous amène encore un lénitif de bourse, v.714 (Acte 2, scène 13, HECTOR)
  196. Une usurière. v.715 (Acte 2, scène 13, HECTOR)
  197. Hé ! Bonjour, mon enfant : tu ne peux concevoir v.716 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  198. Je vous suis obligée on ne peut davantage. v.718 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  199. Ne vois-tu pas, Hector, que c'est un deuil de cour ? v.721 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  200. Oh ! Monsieur, point du tout. Je suis une bourgeoise, v.722 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  201. J'en connais bien pourtant, qui ne me valent pas, v.724 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  202. Avec les gens d'honneur v.733 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  203. On ne perd jamais rien. v.734 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  204. Je veux que tu le prennes. v.734 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  205. Nous faisons ici bas des routes incertaines ; v.735 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
  206. Sur des gages, Monsieur ? C'est une médisance ; v.738 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  207. Des diamants usés, et qu'on ne saurait vendre, v.742 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  208. Sans risquer mon honneur, je crois que j'en puis prendre. v.743 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  209. Je n'ai pour te donner, vaisselle ni bijoux. v.744 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  210. Eh bien ! Nous attendrons, Monsieur, qu'il vous en vienne. v.746 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  211. Compte, ma pauvre enfant, que ma mort est certaine, v.747 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  212. Ma charmante, mon coeur, ma reine, mon aimable, v.750 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  213. Ma belle, ma mignonne, et ma tout adorable. v.751 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
  214. Je ne puis. v.752 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  215. Sans des nantissements il ne faut rien prétendre. v.754 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  216. D'accord : honnêtement je ne puis m'en défaire. v.762 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  217. Dans une heure au plus tard nous irons le reprendre. v.774 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  218. Dans une heure ? v.775 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  219. On ne perd pas toujours, je gagnerai sans doute. v.778 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  220. Votre raisonnement met le mien en déroute. v.779 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  221. Je sais que ce micmac ne vaut rien dans le fond. v.780 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  222. Au moins, ne manquez pas de revenir tantôt : v.788 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  223. Vous faites là, Monsieur, une action inique. v.794 (Acte 2, scène 15, HECTOR)
  224. Me dit que la fortune est pour moi dans ce jour. v.797 (Acte 2, scène 15, VALÈRE)
  225. Il faut aller, Monsieur, chercher fortune ailleurs. v.801 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
  226. Chercher fortune ailleurs ! As-tu fait quelque pièce v.802 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  227. Qu'Angélique est une âme légère, v.806 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
  228. Je ne suis point surpris d'un pareil changement. v.809 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  229. De ses ardeurs pour moi je ne suis point la dupe ; v.811 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  230. Je ne veux point, Nérine, éclater en injures, v.814 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  231. Vous êtes bien instruit des chagrins qu'on me donne ! v.826 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  232. On ne me verra point violenter personne ; v.827 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  233. Et quand je perds un coeur qui cherche à s'éloigner, v.828 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  234. Mon frère, je prétends moins perdre que gagner. v.829 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  235. Que sur votre neveu vous pussiez l'emporter. v.832 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  236. Non ; je ne sus jamais jusque-là me flatter. v.833 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  237. La jeunesse toujours eut des droits sur les belles ; v.834 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  238. L'amour est un enfant qui badine avec elles : v.835 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  239. Et vous prenez la chose ainsi qu'il la faut prendre. v.839 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  240. Ah ! Qu'à notre secours à propos vous venez ! v.852 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  241. Je ne veux point payer les dettes usuraires. v.875 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  242. La somme de dix mille une livre, une obole, v.882 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  243. Si vous ne m'en croyez, demain, pour vous trouver, v.888 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  244. Personne de ses droits usante et jouissante, v.891 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  245. Monsieur... c'est une fille... v.894 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  246. Nous ne vous donnons pas de ces effets véreux ; v.905 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  247. Ne nous doit rien. v.908 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  248. Voilà certainement un effet fort bizarre ! v.910 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  249. C'est une dupe ; il fait en un tour vingt écoles : v.915 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  250. Il ne faut plus qu'un coup. v.916 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  251. Il ne voudra jamais prendre cette monnaie. v.919 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  252. Impertinent maraud ! Va, je t'apprendrai bien v.920 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  253. Sa main est à frapper, non à donner, légère ; v.922 (Acte 3, scène 5, HECTOR)
  254. Je ne suis point du tout né pour le mariage. v.954 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  255. Des parents, des enfants, une femme, un ménage, v.955 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  256. Comédie, opéra, bonne chère, cadeaux : v.961 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  257. Il traîne en tous les lieux la joie et l'abondance : v.962 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  258. On voit régner sur lui l'air de magnificence ; v.963 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  259. Qui veulent imposer et se donner pour neuves ; v.975 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  260. De vieux seigneurs toujours prêts à vous cajoler ; v.976 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  261. Tant mieux. Pour se conduire en bonne politique, v.990 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  262. Votre père ? Ah ! Monsieur, c'est une mer à boire. v.999 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  263. Va, j'examinerai ton compte une autre fois. v.1001 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  264. Bonjour, Madame Adam. Quelle joie est la mienne ! v.1006 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  265. Vous voir ! C'est du plus loin, parbleu, qu'il me souvienne. v.1007 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  266. Vous, Monsieur Galonier, quel sujet vous amène ? v.1014 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  267. Vous prenez trop de peine. v.1015 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  268. Donnez-moi cent écus sur et tant moins des dettes. v.1030 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  269. Personne de payer n'eut jamais tant d'envie. v.1035 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  270. Ne me paierait-il pas mes gages de cinq ans ? v.1037 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  271. Votre dette n'est pas meilleure que la mienne. v.1038 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  272. Mais quand faudra-t-il donc, Monsieur, que je revienne ? v.1039 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  273. Pour moi, je ne sors point d'ici qu'on ne m'en chasse. v.1042 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  274. Non, je ne vis jamais d'animal si tenace. v.1043 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  275. Rien ne porte malheur comme payer ses dettes. v.1059 (Acte 3, scène 8, VALÈRE)
  276. Ah ! Je ne dois donc plus m'étonner désormais v.1060 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
  277. Si tant d'honnêtes gens ne les payent jamais. v.1061 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
  278. Que ma chaise se tienne à deux cents pas d'ici. v.1064 (Acte 3, scène 9, LE_MARQUIS)
  279. Et vous, mes trois laquais, éloignez-vous aussi : v.1065 (Acte 3, scène 9, LE, MARQUIS)
  280. Je n'ai pas cet honneur. v.1072 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
  281. Avec ducs, archiducs, princes, seigneurs, Marquis, v.1076 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  282. J'évente les beautés et leur plais d'une lieue. v.1079 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  283. Je ne me bats jamais qu'aussitôt je ne tue : v.1083 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  284. Mes aïeux sont connus ; ma race est ancienne ; v.1086 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  285. Mon trisaïeul était vice-bailli du Maine. v.1087 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  286. J'ai, sur certaine femme v.1090 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  287. Vous le croyez sans peine : on est fait d'un modèle, v.1094 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  288. Je ne crois pas,Monsieur, qu'on fût si téméraire. v.1098 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
  289. Vous nourrissez dans l'âme une velléité v.1101 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  290. Savez-vous, Monsieur du lansquenet, v.1104 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  291. Vos ris ne sont point de mon goût, v.1112 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
  292. Et vos airs insolents ne plaisent point du tout. v.1113 (Acte 3, scène 11, VAL?RE)
  293. Ah ! Diable, c'est avoir une vieille querelle. v.1131 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
  294. Sur notre patrimoine ainsi jeter les yeux ! v.1133 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
  295. Bon ! Je ne l'aime pas ; c'est elle qui m'adore. v.1135 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
  296. C'est un bien que jamais on ne vous enviera : v.1137 (Acte 3, scène 12, VALÈRE)
  297. Vous êtes en effet un amant digne d'elle : v.1138 (Acte 3, scène 12, VAL?RE)
  298. Et voilà comme il faut se tirer d'une affaire. v.1142 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
  299. Je ne suis pas des vôtres. v.1147 (Acte 3, scène 12, VALÈRE)
  300. Je crains que mes joueurs ne soient sortis du gîte ; v.1150 (Acte 3, scène 13, VALÈRE)
  301. Ils ont trop attendu ; j'y retourne au plus vite. v.1151 (Acte 3, scène 13, VAL?RE)
  302. Et je dois aujourd'hui gagner, assurément. v.1153 (Acte 3, scène 13, VAL?RE)
  303. Ces inspirations viennent souvent du diable ; v.1155 (Acte 3, scène 13, HECTOR)
  304. Elles m'ont réussi déjà plus d'une fois. v.1157 (Acte 3, scène 13, VALÈRE)
  305. Vous ne me parlez point, Monsieur, de votre amour. v.1160 (Acte 3, scène 13, HECTOR)
  306. En vain vous m'opposez une indigne tendresse, v.1162 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  307. Je ne puis sur ce point m'accorder avec vous. v.1164 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  308. Ne combats plus, Nérine, une ardeur qui m'enchante ; v.1170 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  309. Tu prendrais pour l'éteindre une peine impuissante. v.1171 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  310. La raison, les conseils ne peuvent m'en distraire, v.1174 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  311. Qui va, revient, retourne, et s'use à voyager v.1188 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  312. Chez l'usurier, bien plus qu'à donner à manger, v.1189 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  313. Empruntant tous les jours, et ne pouvant plus rendre, v.1195 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  314. Sa femme signe enfin, et voit en moins d'un an, v.1196 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  315. Je ne veux point ici m'affliger par avance ; v.1198 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  316. L'évènement souvent confond la prévoyance. v.1199 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  317. Tiens, voilà dix louis. Ne me mens pas ; dis-moi v.1216 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
  318. Avec tes faux soupçons, Nérine, eh bien ! Tu vois. v.1220 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
  319. Il s'en donne aujourd'hui pour la dernière fois. v.1221 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  320. Maudissant les hasards d'un combat trop funeste : v.1238 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  321. Je ne puis me résoudre à paroître à ses yeux. v.1257 (Acte 4, scène 3, ANGELIQUE)
  322. Hé quoi ! Vous me fuyez ? Daignez au moins v.1258 (Acte 4, scène 4, DORANTE)
  323. Et toi, Nérine, aussi tu ne veux pas m'entendre ? v.1259 (Acte 4, scène 5, DORANTE)
  324. Me fait, même en été, frissonner tout le corps. v.1269 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  325. Revenez. Quelque espoir qui vous guide, v.1270 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  326. Et si je n'avais pas une vertu sévère, v.1278 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  327. Je pourrais bien... mais non, je ne puis vous ouïr ; v.1280 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  328. Ne feront que m'aigrir, au lieu de me surprendre. v.1283 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  329. Je ne puis, en un mot, me résoudre d'aimer. v.1285 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  330. Ah ! Vous le prenez là sur un fort joli ton, v.1292 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  331. Et l'on ne me dit point pareille chose en face. v.1295 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  332. Je ne vous prendrais pas pour m'en dédommager. v.1297 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  333. Ne sera pas peut-être aussi respectueux. v.1301 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  334. Que si vous ne battez au plus tôt la chamade, v.1310 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  335. Il ne faut point avoir de mollesse en sa vie. v.1318 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  336. Vous ne connaissez pas, Marquis, tout votre mal ; v.1320 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  337. Pour n'être que le prix d'une seule victoire. v.1323 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  338. Non, non, je ne veux pas v.1324 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  339. Est-ce ce financier de noblesse mineure, v.1326 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  340. Qui s'est fait depuis peu gentilhomme en une heure ; v.1327 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  341. En sa maison de ville, en celle de campagne, v.1334 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  342. Les fait venir tout droit des comtes de Champagne, v.1335 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  343. L'un s'appelait Champagne et l'autre Poitevin ? v.1337 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  344. Qui juge sans appel sur un vin de Champagne, v.1342 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  345. S'il est de Reims, du clos, ou bien de la montagne ; v.1343 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  346. Porte cuisine en poche, et poivre concassé. v.1345 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  347. Je ne suis pas méchant : mais, sans bruit, sans scandale, v.1351 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  348. Sans lui donner le temps seulement de crier, v.1352 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  349. Et ne donne mon coeur que pardevant notaire. v.1367 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  350. Et je me donne à vous avec tout mon mérite, v.1371 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  351. Qui de la tête aux pieds porte meilleure mine, v.1390 (Acte 4, scène 10, LE_MARQUIS)
  352. Une jambe mieux faite, une taille plus fine ? v.1391 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  353. La nature, le ciel, l'amour et la fortune v.1394 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  354. De tes prospérités font leur cause commune ; v.1395 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  355. Tu chantes, danses, ris, mieux qu'on ne fit jamais v.1397 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  356. En ces lieux je ne puis plus longtemps m'arrêter ; v.1408 (Acte 4, scène 11, LE_MARQUIS)
  357. Quand ma verve me prend, je ne suis plus traitable ; v.1410 (Acte 4, scène 11, LE, MARQUIS)
  358. Il vient de la Garonne. Oh ! Parbleu, dans ce temps v.1416 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  359. Cède en un lansquenet à son mauvais génie. v.1419 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  360. Tu ne peux rien sur moi, cherche une autre victime. v.1427 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  361. Le mieux assassiner ? Perdre tous les partis, v.1432 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  362. Et tu ne me flattais que pour mieux m'étouffer. v.1437 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  363. Oui. Ne sais-tu pas lire ? v.1456 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  364. La fortune offre aux yeux des brillants mensongers ; v.1460 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  365. Le sage gagne assez quand il peut s'en défaire." v.1463 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  366. "L'or est comme une femme ; on n'y saurait toucher, v.1468 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  367. Que le coeur, par amour, ne s'y laisse attacher. v.1469 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  368. "Que faut-il à la nature humaine ? v.1478 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  369. Moins on a de richesse, et moins on a de peine. v.1479 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  370. Monsieur, contraignez-vous, j'aperçois votre père. v.1499 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  371. Que nous ne jouons plus, notre unique ascendant v.1505 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  372. Qu'on gagne quand on perd... que l'amour dans nos âmes... v.1514 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  373. Qui, d'une et d'autre part, me paraissent contents. v.1521 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  374. Certaine affaire m'a... v.1524 (Acte 4, scène 14, VALÈRE)
  375. Par mes soins paternels il surmonte la pente v.1538 (Acte 4, scène 16, GÉRONTE)
  376. Je ne viens point, armé contre votre inconstance, v.1543 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  377. Plus que vous ne pensez, mon coeur vous justifie. v.1546 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  378. Mais loin de condamner votre coeur inconstant, v.1548 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  379. À l'hymen que je crains m'entraîne malgré moi : v.1553 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  380. Et vous ne laissez pas, Madame, d'y courir. v.1557 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  381. Quand j'en devrais mourir, je ne puis plus me taire. v.1558 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
  382. Je vous empêcherai de terminer l'affaire : v.1559 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  383. Persiste en ses desseins, donnez-moi mon congé. v.1561 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  384. Je suis fille d'honneur ; je ne veux point qu'on dise v.1562 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  385. Valère est un indigne ; et, malgré son serment, v.1564 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  386. Hélas ! Quand je ne puis me défaire aujourd'hui v.1568 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  387. Je ne suis point, Madame, ici pour vous contraindre. v.1571 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  388. Mon neveu vous épouse ; et je viens seulement v.1572 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  389. Donner à votre hymen un plein consentement. v.1573 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  390. Je cherche un cavalier pour finir une affaire... v.1575 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  391. À gagner ses dépens en servant le public. v.1577 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  392. Cette Nérine-là connaît toute la France. v.1578 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
  393. Pour vivre, il faut avoir plus d'une connoissance. v.1579 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
  394. C'est une illustre au moins, et qui sait en secret v.1580 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  395. Mais ne craignez-vous point qu'un soir dans le silence ? ... v.1590 (Acte 5, scène 2, DORANTE)
  396. Nérine rit toujours. v.1592 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  397. Pour certaine chanteuse on dit qu'il en tient là. v.1596 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  398. Ne tirera de vous, si vous me l'ordonnez, v.1620 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  399. Moi ? Je ne sais ce que c'est. v.1624 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  400. Pour me les demander, vous prenez bien le temps. v.1629 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  401. Lui, Marquis ! C'est l'Épine. v.1638 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  402. Je suis Marquise donc, moi qui suis sa cousine ? v.1639 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  403. Mon oncle n'était pas huissier ? Qu'il t'en souvienne. v.1642 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  404. Son nom était connu dans le haut et bas Maine. v.1643 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  405. Nous ne mettions à fin une si belle flamme : v.1651 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  406. Jamais ce feu pour vous ne fut si violent ; v.1652 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  407. Coupez, taillez, rognez, je m'en lave les mains. v.1664 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
  408. Ils prennent leur parti. v.1666 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
  409. En modernes seigneurs sortir de dessous terre, v.1671 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  410. Qu'on ne s'étonne plus qu'un laquais, un pied-plat, v.1672 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
  411. Qu'as-tu donc, Nérine ? Et te trouves-tu mal ? v.1688 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
  412. Tu ne te trompes point, Nérine ; c'est lui-même ; v.1694 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
  413. Je viens de lui donner pour prix de ses amours, v.1696 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
  414. De grace, éloignez-vous, et ne vous montrez pas. v.1709 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  415. Du portrait ne soyez plus en peine. v.1710 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
  416. Lorsque je le verrai, j'en serai plus certaine. v.1711 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  417. Nérine, a pu saisir ta charmante maîtresse ? v.1715 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  418. Bon ! Ne savez-vous pas ? v.1716 (Acte 5, scène 7, NÉRINE)
  419. Ne craignez point, Valère, v.1718 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  420. Les funestes retours de mon humeur légère : v.1719 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  421. Tu ne seras heureux, par ma foi, qu'en peinture. v.1723 (Acte 5, scène 7, NÉRINE)
  422. Ne consentez-vous pas à ce parti, Dorante ? v.1727 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  423. Les décrets respectés d'une suprême loi. v.1729 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
  424. Ah ! Monsieur, arrêtez, et ne me tuez pas. v.1753 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
  425. Épargnez-lui ces pas. Il n'est plus temps de feindre. v.1758 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
  426. Ah ! Carogne ! v.1760 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
  427. Ingrat, ne croyez pas qu'on m'abuse toujours. v.1761 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  428. Ne me vont point du tout. v.1763 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  429. De tous vos débats, moi, je ne suis point la cause ; v.1771 (Acte 5, scène 7, MADAME LA RESSOURCE)
  430. Vous prenez, croyez-moi, comme il faut cette affaire ; v.1779 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  431. Et l'hymen de Madame, à vous en parler net, v.1780 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  432. Oh ! Par ma foi, Monsieur, vous ne prendrez qu'un rat ; v.1784 (Acte 5, scène 8, NÉRINE)
  433. En ce moment, Monsieur, je me donne à Dorante. v.1791 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
  434. Le portrait de madame, une heure, en pension v.1797 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
  435. Chez cette chienne-là, que Lucifer confonde, v.1798 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
  436. On nous donne un congé le plus cruel du monde. v.1799 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
  437. J'ai peine à retenir le courroux qui m'agite. v.1802 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  438. Fils indigne de moi, va, je te déshérite ; v.1803 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  439. Je ne veux plus te voir, après cette action, v.1804 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  440. Et te donne cent fois ma malédiction. v.1805 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  441. Vous ne ferez, je crois, fortune de longtemps. v.1809 (Acte 5, scène 9, ANGELIQUE)
  442. Ni toi, Nérine, aussi. Suivez-moi toutes deux. v.1812 (Acte 5, scène 9, DORANTE)

LES SOUHAITS (1700)

  1. Venez, venez, peuples divers ; v.1 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  2. Le dieu qui lance le tonnerre v.3 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  3. Ne vous plaignez donc plus des malheurs de la vie, v.7 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  4. Vous devinez assez que je viens vous prier v.14 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  5. Ne rendez point ma demande frivole, v.16 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  6. L'autre est jaloux, brutal, ivrogne au par-dessus : v.36 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  7. Seulement pendant une année, v.41 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  8. Et ferait bien, cela ne soit dit qu'entre nous, v.51 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  9. De mon sort, en un mot, vous plaît-il d'ordonner ? v.53 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  10. Écoutez le conseil que je vais vous donner. v.56 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  11. Cependant, ne pouvant mieux faire, v.69 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
  12. Je ne sais pas pourquoi dans mon choix on me blâme. v.80 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
  13. Épouser une grande femme, v.83 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  14. Mais je ne suis pas le premier v.86 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  15. Une fille dépareillée. v.88 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  16. Si d'ailleurs ils tiennent du père, v.93 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
  17. Ce ne seront que des idées, v.95 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  18. Si j'en juge aux regards de cette bonne dame, v.111 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  19. Tes voeux ne seront point déçus ; v.112 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  20. Plus grand que tu ne voudrais être. v.114 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  21. Il ne s'en faut charger que le moins que l'on peut. v.121 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  22. Qui fidèlement m'accompagne, v.127 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  23. Et broyé de vin de Champagne. v.129 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  24. La teinture en est bonne, et durera longtemps. v.130 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  25. Quand j'ai seulement bu mes neuf ou dix bouteilles, v.141 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  26. Je me traîne à mon lit sans me déshabiller : v.148 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  27. Là, je dors sans donner aucun signe de vie ; v.149 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  28. Une fois par jour réglément. v.154 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  29. Oui ! Vous êtes plus mal qu'on ne se persuade. v.155 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  30. Une faim qui s'irrite à table, v.158 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  31. Et surtout une soif que rien ne puisse éteindre. v.160 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  32. Homme, ou tonneau, je ne t'écoute pas ; v.161 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  33. Ton souhait est impertinent ; v.164 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  34. Cherche une demande meilleure. v.165 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  35. Tu crèverais avant qu'il fût une heure. v.168 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  36. Ami, je condamne l'usage v.171 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  37. Vous gagnerez beaucoup ; v.176 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  38. Je ne viens point faire de voeux, v.181 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  39. Et je ne le cède à personne ; v.185 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  40. Que les sources de la Garonne. v.187 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  41. J'ai plus d'esprit cent fois qu'il ne me faut ; v.188 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  42. Je ne vois en moi nul défaut ; v.190 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  43. Régner le démon de la guerre, v.194 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  44. D'accord : mais les hivers on ne peut chamailler. v.196 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  45. Ce repos m'ennuie et me gêne : v.197 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  46. Le sang me bout de veine en veine ; v.198 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  47. Pour me tenir bien en haleine, v.200 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  48. De me battre en duel contre mes ennemis, v.201 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  49. Trois fois seulement par semaine. v.202 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  50. Lasse, et ne nourrit pas son maître bien longtemps. v.206 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  51. Et je ne vois rien de si beau v.210 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  52. Ce jeu digne d'un étourdi, v.213 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  53. À peine iriez-vous au dimanche. v.214 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  54. Et faire une passe au collet : v.218 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  55. Du sort d'un ennemi je suis toujours le maître ; v.219 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  56. Vous ne sauriez m'imposer en ce jour : v.228 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  57. Vous vous imaginez être fait pour les armes, v.229 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  58. Et que je prenne ma revanche v.233 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  59. Seigneur Mercure, en vérité, v.240 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  60. On ne vous prendra pas, à moins d'être hébété, v.243 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  61. Et vous voyez en nous, par le fruit de nos peines, v.254 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  62. Ont eu de plus grands capitaines. v.256 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  63. L'honneur partout nous accompagne ; v.263 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  64. Et comédiens de campagne. v.266 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  65. C'est donc où se bornent nos voeux, v.275 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  66. Me donner quelque échantillon. v.280 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  67. Nous chaussons maintenant le cothurne tragique, v.284 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  68. Nous jouerons un fragment pris d'une tragédie, v.287 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  69. D'une scène d'«Iphigénie», v.291 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  70. Qu'en produisant de moi, ne faire rien qui vaille. v.295 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  71. Vous avez fort bonne raison. v.296 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  72. Ordonnez donc, seigneur Mercure, v.297 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  73. Vous fredonnent une ouverture, v.299 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  74. Madame ; je ne puis les souffrir plus longtemps ; v.303 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  75. Ne cesserez-vous point, dans votre humeur farouche, v.305 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
  76. Vous ne méritez pas l'amour qu'on a pour vous. v.309 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
  77. On ne m'abuse point par de fausses caresses ; v.310 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  78. De tant d'enfants aucun ne me ressemble ; v.319 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  79. Ne m'appellent jamais le père des Amours. v.321 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  80. C'est trop insulter à ma peine. v.330 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  81. À son appartement, gardes, qu'on la remène, v.331 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  82. Les deux Cyclopes emmènent Vénus. v.338 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  83. Seigneur ; je l'ai jugé trop peu digne .de foi. v.342 (Acte 1, scène 9, MARS)
  84. On dit, et sans horreur je ne puis le redire, v.343 (Acte 1, scène 9, MARS)
  85. Qu'en dites-vous, seigneur ? Que faut-il que j'en pense ? v.351 (Acte 1, scène 9, MARS)
  86. Ne ferez-vous point taire un bruit qui nous offense ? v.352 (Acte 1, scène 9, MARS)
  87. Seigneur, je ne rends point compte de mes desseins : v.353 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  88. Et vos lâches amours ne sauraient se contraindre. v.360 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  89. Seigneur, je ne rends point compte de mes amours : v.361 (Acte 1, scène 9, MARS)
  90. Que ma foi, mon honneur, mon amour y consente ? v.371 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  91. Mais vous, qui me parlez d'une voix menaçante, v.372 (Acte 1, scène 9, MARS)
  92. Et ne pourrai-je... v.378 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  93. Ne se refusait pas aux transports les plus doux : v.381 (Acte 1, scène 9, MARS)
  94. Pour moi seul aujourd'hui devenez difficile : v.388 (Acte 1, scène 9, MARS)
  95. Je ne connais ni dieux, ni mortels favoris ; v.397 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  96. Fuyez donc ; retournez dans vos grottes ardentes, v.399 (Acte 1, scène 9, MARS)
  97. Fuyez. Mais si Vénus ne paraît aujourd'hui, v.401 (Acte 1, scène 9, MARS)
  98. À me mettre à l'abri de votre vaine rage : v.404 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  99. Je ne dis plus qu'un mot ; c'est à vous de m'entendre. v.411 (Acte 1, scène 9, MARS)
  100. Ne précipitons rien. Venez, suivez-moi tous. v.418 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
  101. De nous accorder une place v.420 (Acte 1, scène 11, LA-THORILLIÈRE)
  102. Messieurs, je ne sais que vous dire : v.422 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  103. Retournez en province, et suivez mon avis ; v.426 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  104. Après une telle injustice, v.431 (Acte 1, scène 11, POISSON)
  105. Paris de mes talents ne profitera pas ; v.432 (Acte 1, scène 11, POISSON)
  106. Les plaisirs, le bon vin, les honneurs, la richesse : v.439 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  107. Ne formez donc plus tant de souhaits inutiles : v.442 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  108. Les suivants de Mercure forment une contredanse qui finit la comédie. v.448 (Acte 1, scène 11, MERCURE)

LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES. (1690)

  1. Écoute, Claudine ; voici un gentilhomme qui vient loger chez moi avec sa soeur ; il faut que tu leur donnes deux chambres l'une contre l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  2. Cinthio avec une autre que moi, qu'il fait passer pour sa soeur ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  3. Claudine, tu ne me réponds point. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  4. Il ne fait pas semblant de me connaître. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  5. J'ai tout quitté pour le chercher, et il ne daigne pas seulement me regarder. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  6. N'entends-tu, Claudine ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  7. Ce gentilhomme vient loger chez moi ; il lui faut deux chambres l'une auprès de l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  8. Claudine, me répondras-tu à la fin ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  9. Je vous demande pardon, monsieur ; ce sont des vapeurs dont je suis attaquée, et je ne sais ce que je dis. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  10. Tu m'abandonnes, scélérat ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  11. Je te dis qu'il faut deux chambres l'une contre l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  12. Voilà une fille qui me semble bien surprise ! (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  13. Vous ne me dites rien ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  14. Vous ne reconnaissez pas Isabelle ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  15. Je ne vous connais point. (Acte 1, scène 5, CINTHIO)
  16. Ne vous emportez point ; je vous dirai... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  17. Tiens, il me prend envie de faire une capilotade de ton foie, de ta fressure, de ton gésier. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  18. Votre frère a raison ; j'aime l'honneur, moi ; et je ne veux pas qu'une fille coure le guilledou. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  19. Parle donc ; dis-moi, quelle raison as-tu eue de sortir de la maison paternelle, carogne, carognissime ? (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  20. Voulez-vous parier, monsieur, que c'est l'amour qui l'a mise en campagne ? (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  21. Les filles sont des vaisseaux qui ne vont d'ordinaire que de ce vent-là. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  22. Je vous dirai, mon frère, que sitôt que vous fûtes parti, il vint un jeune cavalier, le plus civil du inonde, demander à loger dans notre hôtellerie : pour ne pas paraître moins civile que lui, je lui fis toutes les honnêtetés dont j'étais capable. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  23. Je vous l'ai toujours dit, monsieur ; il faut de la compagnie aux filles, quand ce ne serait qu'un manche à balai. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  24. Sitôt qu'il fut arrivé, il me pria, mais le plus honnêtement du monde, de lui donner une chambre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  25. Mais il ne voulut point y demeurer, appréhendant qu'elle ne fût malsaine, à cause de l'humidité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  26. Voyant qu'il faisait difficulté de rester dans cette chambre-là, et qu'il était si civil, je le conduisis dans une autre, qui donne sur la rue, au-dessus de l'écurie. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  27. Il me témoigna encore qu'il ne pourrait pas y coucher, à cause qu'étant fatigué et ayant besoin de repos, les chevaux pourraient interrompre son sommeil pendant la nuit. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  28. Est-ce que tu ne l'aurais pas fait à ma place, dis, Pierrot ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  29. Voilà du civil qui pourrait bien nous mener au criminel. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  30. Mais comme il est extrêmement honnête, il refusa l'offre que je lui faisais, de peur de m'incommoder, et dit qu'il ne souffrirait point que ma chambre fût embarrassée pour l'amour de lui, et qu'il coucherait plutôt dans l'écurie que de me causer la moindre incommodité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  31. Dans une écurie ! (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  32. Le pauvre jeune homme ! (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  33. Son honnêteté me fendit le coeur : une fille n'est pas de bois ; et voyant que ma chambre lui plaisait si fort, je lui dis... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  34. Me promettez-vous que vous ne vous mettrez pas en colère ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  35. Ma foi, monsieur, vous avez là une soeur bien élevée. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  36. Tu allas coucher dans une autre chambre ? (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  37. Je n'en fus pas la maîtresse : il ne voulut jamais permettre que je m'incommodasse pour l'amour de lui ; il dit qu'il serait au désespoir de m'avoir découchée, et... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  38. Je ne vois pas qu'il y ait un grand mal de coucher avec son mari. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  39. Entrez dans cette hôtellerie-là, et prenez garde de dire que vous me connaissez. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  40. Ma foi, je n'en saurais revenir : voilà une fille bien civile. (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  41. Donner jusqu'à la moitié de son lit à un garçon ; la pauvre enfant ! (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  42. Monsieur, je ne puis plus aller ; j'ai les fesses tout écorchées. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  43. À un jeune praticien comme moi d'avoir déjà vu une bataille contradictoire, et d'en être revenu sain et entier. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  44. Cela est vrai ; mais vous preniez le frais sur le mont Pagnotte, à trois bonnes portées du canon. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  45. Mais, monsieur, gagnons pays, s'il vous plaît ; allons vite chez votre père, visiter son vin de Bourgogne ; car je sens que j'ai besoin de forces. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  46. On m'a mandé à l'armée que ma grande soeur Toinon avait la petite vérole, et je ne serais pas bien aise d'en être marqué. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  47. C'est, morbleu, bien fait de conserver votre teint ; et il serait fâcheux qu'un jeune homme que le canon a respecté fût exposé au caprice d'une maladie aussi insolente. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  48. Allons, ma fille, une chambre, du feu et grand'chère. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  49. Messieurs, vous allez avoir tout ce qu'il vous faut : on ne manque de rien chez nous. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  50. Monsieur, voilà une dondon qui me paraît assez résolue ; mais il me semble qu'elle vous saboule un peu. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  51. La friponne est, ma foi, jolie. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  52. Non, monsieur, Dieu merci ; à moi n'appartient pas tant d'honneur : l'année n'est pas bonne pour les filles ; tous les garçons sont à la guerre. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  53. Si cette friponne-là voulait, nous aurions bientôt conclu l'affaire. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  54. La coquine est, ma foi, de bon goût. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  55. Je crois qu'il ne faudrait encore qu'un Mathurin Croquignolet pour faire fuir tous les poulets de notre basse-cour. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  56. Cette friponne-là n'est pas prévenue de mon mérite... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  57. Je vous prie, Monsieur, encore une fois, de vous tenir en repos ; je n'aime pas à être tarabustée. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  58. Je ne saurais la quitter. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  59. En vertu de quoi, monsieur, s'il vous plaît, prenez-vous des familiarités avec cette fille-là ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  60. Croyez-moi, mon petit visage botté, ne m'échauffez pas les oreilles ; car je pourrais prendre le mien à telle chose qui vous déplairait fort. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  61. Monsieur, on ne traite pas comme cela un gentilhomme parisien, qui revient de Flandre. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  62. Non, nous n'y étions pas, quand notre général fit signifier un avenir aux ennemis ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  63. Ils ne comparurent pas le dernier juillet, à une heure de relevée, pour plaider sur le champ de bataille ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
  64. La cause fut appelée, qui dura plus de huit heures ; mais en vertu de bonnes pièces de canon, dont nous étions porteurs, nous fîmes bien vite déguerpir l'ennemi. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  65. Premièrement, voilà les ennemis, et nous voilà. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  66. Le combat commença par les tambours ; à l'instant nous fîmes avancer nos vivandiers : les ennemis voyant cela, détachèrent cinq escadrons de leurs meilleurs voiliers. (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  67. C'était là où nous les attendions ; car aussitôt on lâcha toutes les galères pour enfoncer leur demi-lune... (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  68. Je ne saurais vous dire le reste, car la fumée du canon m'empêcha de le voir. (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  69. Mais je vous prie, monsieur le vivandier, et vous, mon petit clerc de procureur, de passer votre chemin, et de ne pas regarder derrière vous : m'en tendez-vous ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  70. Monsieur, prenez garde à ce que vous faites ; si Vous m'insultez... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  71. Ma foi, il aura bien affaire à vous ; je ne suis pas obligé de me faire tuer à votre place. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  72. Allez, mon petit ami, je ne daigne seulement pas vous répondre ; mais si vous jetez seulement les yeux sur cette fille-là, je vous ferai mourir sous le bâton. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  73. Je ne lui ai pas mal rivé son clou. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  74. Je vous dis encore une fois que je ne vous connais point. (Acte 2, scène 1, CINTHIO)
  75. Ma foi, c'est pour votre nez qu'on vous en garde ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  76. Voilà un hôte bien rébarbatif ; je vois bien que cet homme-ci ne parle d'ordinaire qu'à des chevaux. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  77. Monsieur, c'est un petit différend que j'avais avec Claudine ; je lui demandais quelque ustensile dont j'avais besoin. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  78. Monsieur, pour qui prenez-vous ma servante ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  79. Comment donc, coquine ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  80. Ne vous ai-je pas dit qu'une servante d'hôtellerie doit être douce et avenante aux étrangers ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  81. Elle ne l'est que trop. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  82. Elle ne l'est que trop ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  83. Voyez-vous la carogne, comme elle est brave ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  84. Je ne l'avais prise que pour servir à la cuisine ; mais je vois bien que la friponne ne s'en tient pas là. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  85. Une fille ne gagne pas tant d'argent à ne faire que des lits dans une hôtellerie. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  86. Ce beau monsieur-là est bien plaisant d'amener des filles dans notre hôtellerie pour le servir, et emporter tous nos profits ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  87. Oui, voilà encore une belle parenté ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  88. Il ne passe point de monsieur dans l'hôtellerie dont je ne puisse bien être de même la soeur, si je voulais m'en donner la peine. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  89. Oh bien, monsieur, je ne veux point souffrir qu'une autre prenne ma place. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  90. Claudine a raison, monsieur, cela ne se fait point : quand il y a une servante dans une hôtellerie, on ne doit se servir que d'elle ; et d'ailleurs Claudine est très habile in utroque, c'est-à-dire qu'elle fait aussi bien une chambre qu'un ragoût. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  91. Je conviens, monsieur, qu'elle sait parfaitement bien son métier de fille ; mais c'est une petite imprudente, qui sert au premier venu ce qu'elle ne devrait servir qu'à moi seul. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  92. Je vous dirai cependant, monsieur, qu'on est ici fort exact à donner aux compagnies ce qu'elles demandent. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  93. Tout à l'heure encore, je n'ai pas voulu donner au coche un chat de garenne que le messager avait retenu. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  94. D'où vient donc, coquine, que vous faites de ces impertinences-là ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  95. Voyez, je vous prie, si ce n'est pas assez pour le repas d'un homme seul je lui présente une jeune poularde, tendre, grasse jusqu'au bout des ongles, comme moi ; monsieur n'est pas content ; il en veut encore une autre. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  96. Il ne faudrait encore qu'un homme comme vous pour mettre toute une rôtisserie à feu et à sang. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  97. Ne la croyez pas. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  98. Je me serais fort bien contenté de la poularde ; je ne suis pas si grand mangeur : mais je sais qu'on la présente à tout venant ; on l'a déjà servie sur vingt tables différentes, et je ne suis pas homme à m'accommoder du reste de toute la terre. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  99. Parbleu, monsieur, prenez garde s'il vous plaît à ce que vous dites ; je ne m'entends point à ce tripotage-là, et l'on ne sert chez moi que des viandes neuves. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  100. Ne voyez-vous pas bien que monsieur ne sait ce qu'il dit ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  101. Jamais personne n'y avait touché ; c'était une volaille délicate que j'avais pris soin d'élever, et que je nourrissais à la brochette avec autant de plaisir que si c'eût été moi-même ; elle faisait envie de manger à tous ceux qui la voyaient, et cependant je ne la gardais qu'à monsieur. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  102. C'est peut-être que vous n'aimez pas la viande bardée ; une autre fois on vous la fera larder. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  103. Bardé, lardé, cela m'est indifférent : quand les choses sont bonnes, je les trouve telles ; je ne m'y laisse point attraper. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  104. Il faudrait, pour satisfaire le goût de monsieur, lui servir quelque vieille volaille racornie, quelque doyenne de basse-cour. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  105. Ce serait là le moyen de gagner ses bonnes grâces. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  106. Parbleu, monsieur, si vous aimez la viande coriace, nous vous en donnerons tout votre soûl. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  107. J'ai une oie qui me sert depuis trois mois à faire mes soupes ; vous en aurez la fleur. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  108. Allons, taisez-vous ; que je ne vous entende pas souffler ; rentrez là-dedans. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  109. Je vois bien que monsieur ne se connaît pas mieux en servantes qu'en poulardes : on vous mettra une aile de boeuf sur le gril. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  110. Ce gentilhomme, appelé Cinthio, qui vous aimait, qui vous jurait un amour éternel, m'en a dit tout autant ; et sans la connaissance que vous me donnez de son infidélité, je ne sais si dans la suite il ne m'aurait pas un peu écorné le coeur. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  111. Non, je ne croirai jamais que les hommes soient infidèles jusqu'à ce point-là. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  112. Je ne sais qu'un secret pour n'en être point trompée ; c'est de les tromper les premiers. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  113. Après m'avoir engagé son coeur par une promesse de mariage ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  114. Il fut obligé de me quitter pour un duel, où il tua son ennemi : l'amour me fit voler sur ses pas ; je suis venue à Paris ; je me suis déguisée sous l'habit d'une servante ; et sous le nom de Claudine, je suis venue demeurer dans cette hôtellerie, où je l'ai revu avec plaisir, dans le temps que je devais l'oublier pour toujours ; mais, hélas ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  115. Il faut le devenir ; on ne fait rien en amour autrement ; et la vertu la plus nécessaire à une femme, dans le siècle où nous sommes, c'est un peu d'inconstance, assaisonnée quelquefois de perfidie. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  116. D'où vient donc, mademoiselle, qu'avec toutes vos connaissances, vous vous êtes laissé attraper comme une novice ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  117. J'avoue que je n'en ai pas été quitte à meilleur marché que vous ; mais je ne savais pas ce que je sais, et avec le temps je me rendrai encore plus connaisseuse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  118. C'est-à-dire, mademoiselle, que vous ne prétendez pas en demeurer là, et que vous ne voulez pas être fille à une aventure. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  119. Cinthio est venu à la traverse pour prendre parti sous mes étendards ; et, si vous ne me l'aviez fait connaître pour un déserteur de profession, je ne sais si je ne l'aurais pas enrôlé. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  120. Ne vous embarrassez point de votre vengeance ; remettez seulement vos intérêts entre les mains d'une coquette de ce pays-ci, dont il sera amoureux ; je vous promets qu'elle le fera aller bon train. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  121. Non, non ; je ne me croirais pas assez vengée de m'en rapporter à une autre. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  122. Si une femme l'aimait une fois, elle l'aimerait toujours ; et puis on n'est peut-être pas sujette au changement en France. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  123. Vous ne savez donc pas que Paris est la boutique de la légèreté ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  124. Il ne vient point d'étranger qui n'en emporte sa provision. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  125. Je ne l'aurais jamais cru. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  126. Quand un Français dit qu'il vous aime, il vous le dit d'une manière si tendre et si passionnée, qu'il semble que son amour doive durer pour le moins vingt ans après sa mort. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  127. Vous me surprenez. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  128. La variété de leurs modes ne marque-t-elle pas l'inconstance de leur humeur ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  129. Aujourd'hui ils portent des perruques qui leur pendent jusqu'aux genoux, demain ils en auront d'autres qui ne leur passeront pas les oreilles ; ils sont quelquefois habillés le plus simplement du monde, deux jours après il faut les chercher dans leurs dentelles et leurs rubans ; tantôt ils sont serrés dans leurs habits et empaquetés comme des momies, et quelquefois une pièce de drap ne suffit pas pour leur faire une manche d'été : enfin, tout est girouette dans un Français, depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  130. Cela peut être vrai pour l'ajustement et la manière de s'habiller ; mais pour le coeur, je ne les crois point si sujets au changement. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  131. Voulez-vous que je vous représente un Français qui veut surprendre la tendresse d'une jeune personne ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  132. Non, mon amour ne peut aller plus loin, et je suis au désespoir de n'avoir que des termes ordinaires pour vous l'exprimer. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  133. Vous ne me dites rien. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  134. Il faut donc mourir, puisque votre cruauté l'ordonne ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  135. Là-dessus, on pleure, on laisse échapper un gros soupir, on se donne de la tête contre un coin de la cheminée : il n'en faut pas davantage ; voilà une femme dans la nasse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  136. J'avoue qu'il ne m'en faudrait pas beaucoup d'un pareil style pour me persuader. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  137. Ma foi, madame, je suis bien las de vos manières ; je ne viens pas chez vous que je n'aie quelque sujet de chagrin. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  138. Vous y venez si peu, monsieur, qu'au moins n'en avez-vous pas souvent. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  139. Mais, madame, cela ne peut pas toujours durer. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  140. Vous m'aviez tant fait de serments que votre passion serait éternelle ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  141. Mais vraiment, mademoiselle, si cela est comme vous voulez me le faire entendre, un Français pour une femme n'est pas une meilleure pratique qu'un Italien. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  142. Un coeur est pourtant un larcin dont les femmes aujourd'hui ne se font pas grand scrupule. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  143. Viens çà, Pierrot ; je vais à une grande expédition ; je te laisse maître en ma place : prends bien garde à la maison, et surtout qu'il ne se passe rien autour de nos filles. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  144. Mordi, laissez-moi faire ; si elles me trompent, elles seront bien fines. (Acte 2, scène 4, PIERROT)
  145. C'est pourtant un maudit bétail à gouverner ; c'est du naturel des anguilles, cela frétille toujours. (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  146. Il faut appeler Claudine, et lui faire une petite exaltation. (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  147. Claudine ! (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  148. Regarde-moi, Claudine... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  149. L'honneur est un joyau ; mais un joyau qui se gâte quand on le laisse exposé à l'air. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  150. Une fille est comme une bouteille d'eau de la reine d'Hongrie ; elle perd sa vertu si elle n'est bien bouchée : c'est ce qui fait qu'un grand philosophe dit qu'il faut qu'une femme demeure enfermée dans son logis. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  151. Vous ne savez donc pas que je suis présentement votre pédagogue ? (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  152. Me voilà vraiment dans de bonnes mains ! (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  153. Je suis à votre égard ce que la bride est à un cheval, un bâton à un aveugle, un gouvernail à un vaisseau : je suis la bride, et vous êtes le cheval ; je suis le bâton, vous êtes l'aveugle ; vous êtes le vaisseau, et moi le gouvernail : mais un gouvernail avec lequel j'empêcherai que vous n'alliez donner contre les rochers des garçons ; car ce monde est une mer, et les vents soufflent dans cette eau qui bouillonne... ce qui fait que la raison dans... cette mer... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  154. Nenni pas, s'il vous plaît ; je ne me fie plus aux filles ; j'y ai été attrapé. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  155. Quand on est fait d'une certaine manière, on en a à revendre de cette marchandise-là. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  156. Une petite carogne me pria de lui donner un baiser. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  157. Moi, il ne faut pas me le dire deux fois : 0je ne fus ni fou ni étourdi ; je m'approchai ; elle me donna un grand soufflet : depuis ce temps-là, j'ai bien juré que je n'en baiserais plus. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  158. Crois-moi, ne te joue point aux filles ; il n'y a rien à gagner. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  159. Allons, point tant de raisonnements ; rentrez, et marchez devant moi. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  160. Y a-t-il longtemps que vous n'avez mangé de chair humaine ? (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  161. Vous n'avez qu'à dire, mon capitaine ; je fais d'abord main basse. (Acte 3, scène 1, PASQUARIEL)
  162. Il ne faut pas laisser refroidir cette ardeur-là : allons chercher Cinthio. (Acte 3, scène 1, PASQUARIEL)
  163. Ne vous appelez-vous pas Cinthio ? (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  164. Ne pourrait-on pas savoir, monsieur, en quoi ce Cinthio vous a tant offensé ? (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  165. C'est un drôle qui va de fille en fille avec une promesse de mariage circulaire. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  166. Touchez là, monsieur ; je veux vous faire gagner plus de cinquante louis aujourd'hui : donnez-m'en trente, je vous dirai où est Cinthio ; et, afin de ne pas vous tenir plus longtemps en suspens, c'est moi. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  167. Vous ne voulez donc pas, monsieur, épouser ma soeur ? (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  168. Parbleu, nous verrons : vous la prendrez, quand je devrais vous la faire avaler dans une médecine. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  169. Je me moque de vos menaces ; et pour vous faire voir que je ne vous crains, ni vous ni vos spadassins, je vais vous attendre dans cette hôtellerie-là. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  170. Comme il faut sortir vigoureusement d'une affaire. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
  171. Enseignir moi, s'il plaît à monsir, où être un logiment pour mon chevau et pour mon personne. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  172. C'est une hôtellerie que vous cherchez, n'est-ce pas, monsieur ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  173. Oui, monsir, l'être une hôtellerie. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  174. Tenez, monsieur, en voilà une où vous serez parfaitement bien ; il y a de bon vin, et vous y trouverez aussi de jolies filles ; et voilà ce que vous demandez ; j'entends à demi-mot. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  175. Moi demandre excuse à monsir, si ne parlir pas bon français ; mais mon pensir l'être beaucoup plus meilleur que mon parlemente. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  176. Allez, monsieur, vous ne l'écorchez pas mal. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  177. Croyez-moi, monsieur, allez vous reposer dans cette hôtellerie-là : car un homme qui n'a qu'une jambe doit être une fois plus las qu'un autre. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  178. Venez çà, monsieur ; ne peut-on pas savoir de quel pays vous êtes, et le sujet qui vous amène en cette ville ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  179. Que venez-vous faire ici ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  180. Si vous avez perdu votre jambe, ce n'est pas ma faute ; je vous assure, monsieur, que je ne l'ai point trouvée. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  181. Ma foi, monsieur, si vous voulez que je vous parle sincèrement, je ne crois pas qu'on vous rende votre jambe. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  182. Moi ne rire point, monsir ; moi l'être un gentilhomme. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  183. Das, dick, der, dondre, vernetre. (Acte 3, scène 4, LE HOLLANDAIS)
  184. Allons, dépêchons-nous vite ; tire ton écritoire, ferme la porte, chasse les chiens, prends une chaise, mouche ton nez, laisse de la marge, écris gros. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  185. Monsieur, faisons vite, s'il vous plaît ; j'ai un cours de ventre, comme vous savez, qui ne me permet pas d'être longtemps en place. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  186. Avez-vous un père, une mère, des frères, des parents ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  187. D'où venez-vous ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  188. Et vous, mon petit gentillâtre, vous ne voulez donc pas répondre ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  189. Je ne le connais que trop ; c'est un ingrat qui m'a trompée avec une promesse de mariage. (Acte 3, scène 5, ISABELLE)
  190. Qu'on aille dire à la chaîne qu'elle ne parte pas encore ; j'ai ici de quoi l'augmenter. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  191. Tenez, monsieur, la voilà ; lisez. (Acte 3, scène 5, ISABELLE)
  192. Me voilà bien embarrassé ; j'ai depuis deux jours un rhumatisme sur l'oreille, qui fait que je ne vois goutte. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  193. Monsieur, la chaîne ne partira pas que vous n'y soyez. (Acte 3, scène 6, LE-GARDE)
  194. Tenez, lisez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  195. Lequel a déclaré ne savoir ni lire, ni écrire, attendu sa qualité de juge. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
  196. Je dis, monsieur, que l'on ne traite point de la sorte un homme de ma qualité. (Acte 3, scène 6, CINTHIO)
  197. Nous allons voir si vous avez bon air à danser au bout d'une ficelle. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  198. À quoi le désespoir ne m'a-t-il pas réduite ? (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  199. J'ai quitté mes parents pour le suivre ; je me suis exposée à mille hasards ; car vous savez les risques que court une fille toute seule. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  200. Je me suis mise servante dans l'auberge d'Arlequin, où j'ai caché mon nom sous celui de Claudine. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  201. J'avoue ma faute ; mais, monsieur le Commissaire, il faut pardonner à l'amour. (Acte 3, scène 6, CINTHIO)
  202. Non, non ; je prétends faire ma charge avec honneur... (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  203. Je me servirai de cet argent-là pour vous faire une pompe funèbre. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  204. Je renonce à ta tendresse ; je ne veux point d'un coeur aussi corrompu que le tien. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  205. Pourvu qu'il paye grassement mes écritures, je vous conseille de lui pardonner ; il est assez puni d'avoir une femme. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
  206. Je devrais vous haïr, et je sens que je ne le puis. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  207. Ma foi, voilà une procédure qui m'a donné bien de la peine ! (Acte 3, scène 6, PIERROT)
  208. Pour l'hymen qu'on destine, v.3 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  209. Chantons une chanson. v.5 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  210. Morbleu ! Vive Claudine ! v.6 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  211. On verra la coquine v.8 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  212. Donner un fils de sa façon. v.9 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  213. Une fille a beau feindre, v.12 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  214. Une sottise. v.25 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN, MEZZETIN, PASQUARIEL)

LE BAL (1696)

  1. Me voici dans Charonne, et voilà le logis v.1 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  2. Il fait, ma foi, bien chaud, j'ai bien eu de la peine, v.3 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  3. Je suis venu sans boire. Ouf ! Je suis hors d'haleine. v.4 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  4. Entre ces deux écueils, je le donne au plus sage v.11 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  5. Qu'un bon valet était une pièce bien rare ! v.15 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  6. Vous venez à propos. v.22 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  7. Ils me prennent sans doute ici pour l'économe : v.23 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  8. Poules de Caux, pluviers, une demi-douzaine v.27 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-GRASSET)
  9. De râles de genêt, six lapins de garenne ; v.28 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR GRASSET)
  10. Deux jeunes marcassins, avec quatre faisans : v.29 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR GRASSET)
  11. Oui, je me donne au diable ; v.32 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  12. Bourgeois, et né natif en plaine Saint-Denis. v.34 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  13. Oh ! Je connais vos tours. Qu'il vous souvienne v.35 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  14. Qu'un jour, étant chez vous, par malheur la garenne v.36 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  15. Et qu'ils eurent grand-peine, avec cet air si brave, v.39 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  16. Je ne mérite pas, monsieur, un tel reproche. v.43 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-GRASSET)
  17. Donnez-moi deux perdrix : allez coucher en broche, v.44 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  18. Et souvenez-vous bien, vous et vos galopins, v.45 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  19. Vous ne valez pas mieux ; on ne perd rien au change. v.48 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  20. Ce soir, avant la noce, on donne ici le bal. v.86 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  21. On donne ici le bal ? L'affaire est donc finie ? v.87 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  22. Père de Léonor, ne meurt-il point de honte ? v.92 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  23. Mais toi, ne peux-tu rien tirer de ta boutique ? v.104 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  24. Bon ! Cela ne se peut. Comment pouvoir entrer ? v.114 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  25. Ne sais-tu pas encor quelle adresse est la nôtre ? v.116 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  26. Oui-da, l'état de veuve est une douce chose : v.127 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  27. On a plusieurs amants, sans que personne en glose ; v.128 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  28. On laisse celui-ci de peur qu'il ne se gâte ; v.132 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  29. On ne veut pas de l'un, parce qu'il est trop vert, v.133 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  30. Cet autre, dans le chaud, peut tourner à la barre ; v.136 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  31. Et voilà justement comme fait une veuve. v.140 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  32. Une veuve a raison. J'aime mieux, prix pour prix, v.141 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  33. Il amène un cousin, un grand original, v.158 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
  34. Qu'on avait mis en croupe ainsi qu'une valise. v.159 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
  35. Je verrai son nez... son... Mais j'aperçois Lisette. v.167 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  36. Maîtresse subalterne, adorable soubrette, v.168 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  37. En songeant... Ah, cousin ! Qu'elle a le nez joli, v.173 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  38. Sur son blanc estomac deux globes se soutiennent, v.175 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  39. Qui pourtant, à l'envi, sans cesse vont et viennent, v.176 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  40. Est-elle brune ou blonde ? v.179 (Acte 1, scène 7, MATHIEU-CROCHET)
  41. Qu'elle ne fait la nuit que tourner dans son lit. v.186 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  42. Et nous l'empêcherons de tourner, je te jure. v.188 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  43. Tout est feinte, monsieur, souvent dans une fille : v.191 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  44. Ne vous y fiez pas. L'une parait gentille, v.192 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  45. Pour savoir se servir d'une beauté d'emprunt, v.193 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  46. Je ne dis pas cela ; mais le monde est si faux ! v.202 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  47. Une fille toujours a quelque fer qui loche. v.203 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  48. Où de tous mes désirs tournera la boussole : v.220 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  49. Vos appas, vos attraits... qui vous font tant d'honneur... v.221 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  50. Vous ne répondez rien, doux objet de mon cour ? v.222 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  51. Qu'elle ne peut parler. v.225 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  52. Nous ne ferons plus qu'un, vous et moi Sotencour. v.226 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  53. Nous allons mettre au monde une belle famille. v.228 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  54. Ont l'abord repoussant, la mine plate et mince, v.232 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  55. Mais le sexe, à Paris, a la mine jolie, v.235 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  56. On dit qu'à forligner il a propension. v.238 (Acte 1, scène 8, MATHIEU-CROCHET)
  57. Que, malgré votre nez, et cet air égrillard, v.241 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  58. Mon front, entre vos mains, ne court point de hasard. v.242 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  59. Voudriez-vous, mignonne, à la fleur de mon âge, v.243 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  60. Mettre inhumainement mon honneur au pillage ? v.244 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  61. Hem ! Vous ne dites mot ? v.246 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  62. Qui ne dit mot, consent, v.246 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  63. Tant mieux pour une femme. v.251 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
  64. Elle caquette peu : mais si c'est une grue... v.252 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  65. Dans ma famille, au moins, on ne voit point de sots. v.253 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  66. Le cousin me connaît. Oh ! Je ne suis pas cruche, v.255 (Acte 1, scène 8, MATHIEU-CROCHET)
  67. Très altéré, beau-père, au moins ne vous déplaise : v.263 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  68. Depuis trois jours je jeûne, afin d'être capable v.267 (Acte 1, scène 8, MATHIEU-CROCHET)
  69. De pouvoir dignement faire figure à table. v.268 (Acte 1, scène 8, MATHIEU CROCHET)
  70. À ne t'en point mentir, je suis au désespoir. v.277 (Acte 1, scène 9, LÉONORE)
  71. Oh ! Qu'il ne vous tient pas encore en son pouvoir ! v.278 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  72. Je disais un jour à Nanette : v.283 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  73. Mais nous ne sommes point en goût de symphonie : v.300 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  74. Charmé de mon savoir, gueux, ivrogne et bizarre. v.304 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  75. Pour donner à mon art un exercice heureux. v.310 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  76. Ne le renvoyons pas, puisqu'il vient de si loin. v.314 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  77. Je sais juste baisser ou hausser une corde ; v.316 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  78. Nul ne sait de l'amour mieux le diapason, v.317 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  79. Oh ! Vous aurez grand-peine, avec votre industrie, v.319 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  80. Ne peut-on point l'entendre ? v.324 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  81. Écoutez-le, de grâce, un seul moment sans peine ; v.327 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  82. Et, s'il ne vous plaît pas, soudain je le rengaine. v.328 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  83. Pardonnez à mon zèle. v.335 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  84. Je ferai sentinelle. v.336 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  85. Pour détourner l'hymen qu'on veut faire en ce jour, v.338 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  86. Fais mieux le guet au moins : une seconde alarme v.344 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  87. De Merlin vous saurez pleinement... v.349 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  88. Ah, Merlin ! Pour le coup, c'est Géronte en personne. v.351 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  89. A toi je m'abandonne. v.352 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
  90. De la sorte insulter la musique bretonne ! v.355 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  91. Lisette, quelle est donc cette mine bouffonne ? v.356 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  92. Tenez-moi, je vous prie ; v.363 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  93. Si j'échappe une fois, je veux avoir sa vie. v.364 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  94. Cela ne se dit point. v.370 (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  95. Ce n'est pas un grand mal ; on ne voit point, en France, v.371 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  96. Je ne puis m'arrêter... Il faut... v.376 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  97. Quoi ! Vous voulez, monsieur, donner concert céans ? v.385 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  98. Vous venez tout à point. Ce soir je me marie ; v.387 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  99. Allons, venez, monsieur ; je m'en vais vous conduire : v.391 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  100. Si nous ne nous cherchons jamais plus volontiers, v.397 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  101. Je ne lui promets pas grand nombre d'héritiers. v.398 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  102. N'ont jamais approché leurs femmes d'une toise, v.400 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
  103. Et qui ne laissent pas d'avoir en leur maison v.401 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
  104. Eh ! Que faut-il de plus pour toucher une fille ? v.408 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
  105. Oui !... Dis à Léonore, en termes clairs et nets, v.409 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  106. Que je ne veux pas être époux ad honores. v.410 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  107. Vois-tu, je ne suis pas de ces gens débonnaires v.411 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  108. Pour la première fois, l'accueil est fraternel. v.417 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  109. Oui, je me nomme un tel ; mais j'ai, ne vous déplaise, v.419 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  110. Je ne mérite pas, monsieur, tant d'amitiés. v.422 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  111. Nul ne prend plus qué moi dé part à cette affaire. v.423 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  112. Pourquoi ? Cetté démande est bonne ! Maintenant v.425 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  113. Grâces au ciel, monsieur, je ne dois nul argent, v.429 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  114. Cinq cents louis pour vous, c'est une vagatelle ; v.431 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  115. Pour connaître vos gens, mettez mieux vos lunettes, v.439 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  116. Gentilhomme gascon, plus noblé qué personne, v.443 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  117. D'uné race ancienne autant qué la Garonne ? v.444 (Acte 1, scène 13, LE BARON)
  118. Je ne vous connais point, ni ne veux vous connaître. v.447 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  119. Pas plus qu'auparavant : je ne sais ce que c'est. v.453 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  120. Moi, payer ! Hé pourquoi, si je ne lui dois rien ? v.458 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  121. À venir, sans sujet, demander une somme. v.460 (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  122. Jamais de son pays ne vint lettre de change ; v.463 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  123. Donnez-lui seulement deux ou trois cents écus. v.465 (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  124. Je ne sais... v.481 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
  125. Foi de vrai Bas-normand, que c'est une imposture ; v.484 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
  126. Que je ne comprends rien à ce maudit jargon, v.485 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
  127. Et ne sais, pour tout jeu, que l'oie et le toton. v.486 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
  128. Ou, cadédis, jé veux lé saigner à l'instant. v.489 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  129. Sur sa dot cet argent, que je vous donnerai. v.494 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
  130. Adieu. Jusqu'à déinain, Mais souvenez-vous-en, v.497 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  131. Et le feu, comme on dit, ne va point sans fumée. v.504 (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  132. Oh ! Quittons ce propos, et ne songeons qu'au bal. v.505 (Acte 1, scène 15, SOTENCOUR)
  133. Mon cour, en la voyant, me dit je ne sais quoi. v.510 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
  134. Oh ! Qu'il ne vous dit pas tout ce que le mien pense ! v.511 (Acte 1, scène 16, LÉONORE)
  135. Le cousin est masqué mieux que personne en France ; v.512 (Acte 1, scène 16, LISETTE)
  136. Parbleu, plus d'une curieuse v.515 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
  137. Çà, ne songeons qu'à rire. v.520 (Acte 1, scène 17, SOTENCOUR)
  138. Laissez-moi faire ; allez, je ne suis pas un sot. v.522 (Acte 1, scène 17, MATHIEU-CROCHET)
  139. Je vais plus qu'on ne veut, quand on m'a mis en danse. v.523 (Acte 1, scène 17, MATHIEU CROCHET)
  140. Monsieur, pour Léonor, n'ayez aucune peur ; v.546 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
  141. Loin qu'on veuille lui faire aucune violence, v.547 (Acte 1, scène 19, VAL?RE)
  142. Que Léonor, pour vous, sent une haine extrême ; v.552 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
  143. Si vous ne m'en croyez, croyez-en ce billet. v.554 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
  144. Et pour ne jamais voir votre sotte figure, v.556 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  145. On ne peut vous haïr plus que fait Léonor. » v.558 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  146. En termes clairs et nets cette lettre s'explique, v.559 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  147. Elle aurait beau courir, je ne la suivrais pas. v.562 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  148. Et ne me charge point de fille hasardée. v.564 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  149. Oh ! Vous ne manquerez, sur ma foi, pas de gendre, v.568 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  150. Que ne vous dois-je point pour de telles bontés ! v.574 (Acte 1, scène 20, LÉONORE)
  151. Cadédis, vive la Garonne ! v.583 (Acte 1, scène 20, LE-BARON)
  152. En valur on n'y craint personne ; v.584 (Acte 1, scène 20, LE BARON)
  153. Non, Colin, ne le prends pas, v.605 (Acte 1, scène 20, UNE-BERGÈRE)
  154. Non, Colin, ne le prends pas, v.607 (Acte 1, scène 20, UNE BERG?RE)
  155. Je vais te le donner. v.608 (Acte 1, scène 20, UNE BERG?RE)
  156. Non, Colin, ne le prends pas, v.609 (Acte 1, scène 20, LE-CHOEUR)
  157. Non, Colin, ne le prends pas, v.611 (Acte 1, scène 20, LE CHOEUR)
  158. Je vais te le donner. v.612 (Acte 1, scène 20, LE CHOEUR)
  159. Daignez nous applaudir : v.616 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  160. Mais s'il ne vous plaisait pas, v.617 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  161. Mais s'il ne vous plaisait pas, v.619 (Acte 1, scène 20, MERLIN)

ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES. (1690)

  1. Champagne, Picard, la Violette, Tortillon, Basque, mes pantoufles, ma robe de chambre, mon carrosse, à dîner, un bouillon. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  2. Ne suis-je pas bien malheureux qu'un homme de ma qualité soit obligé d'éveiller ses gens lui-même ? (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  3. Et toi, ne te lèveras-tu point ? (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  4. Vous faites l'entendu, parce que les bonnes fortunes vous suivent partout ; mais souvenez-vous que nous sommes deux laquais, et qu'il n'y a point d'autre différence entre nous que celle que j'y veux bien mettre : ainsi, un peu plus de douceur, s'il vous plaît, et un peu moins d'emportement avec votre camarade. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  5. Ce n'est point pour te quereller, Mezzetin, que je t'éveille de si bon matin ; c'est seulement pour te dire que toutes ces bonnes fortunes me donnent fort à penser. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  6. À l'égard de celles qui me viennent par les présents que l'on m'envoie de toutes parts, passe ; mais pour celles que nous faisons en volant des montres, en enfonçant des boutiques, et en coupant des bourses ; ma foi, j'ai peur que toutes ces bonnes fortunes-là ne nous fassent faire notre mauvaise fortune à la Grève. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  7. Voila une méchante besogne. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  8. Tenez, voilà-t-il pas encore la robe que vous volâtes à cet aveugle des Quinze-Vingts, qui vous sert de robe de chambre ? (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  9. Il y a longtemps qu'elle était neuve. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  10. Nous ne vivrons pas longtemps bien ensemble. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  11. À propos de robe de chambre, tandis que vous dormiez, madame la marquise de Noirchignon vous en a envoyé une. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  12. La pauvre créature fait tout ce qu'elle peut pour m'égratigner le coeur, (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  13. Il est aussi venu' un laquais de la part de madame la comtesse de Charbonglacé, qui a laissé un paquet dans une toilette. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  14. Mais il ne fait pas si cher vivre à Paris ; tout s'y donne. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  15. Monsieur, voilà ce que madame vous envoie ; elle dit comme çà que vous aurez l'honneur de la voir bientôt. (Acte 1, scène 2, LE-LAQAUIS)
  16. Mon enfant, dis-lui qu'elle ne s'en donne pas la peine. Je vais prendre un remède pour me débrouiller le teint. (Acte 1, scène 2, LE-VICOMTE)
  17. Encore une robe de chambre ! (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
  18. Donne-moi vite la robe de chambre de la Marquise. (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
  19. Ne saurait-elle donner une robe de chambre sans venir l'essayer ? (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
  20. Donne. (Acte 1, scène 3, LE VICOMTE)
  21. Ne vous avais-je pas fait dire que je n'étais pas visible aujourd'hui ? (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  22. Ne saurait-on rendre un lavement sans femme ? (Acte 1, scène 4, LE VICOMTE)
  23. Il est vrai que je n'ai pas une heure à moi. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  24. Je suis si courbatu de ces aventures que le vulgaire appelle bonnes fortunes, que mon superflu suffirait à vingt fainéants de la cour. (Acte 1, scène 4, LE VICOMTE)
  25. Je n'ai pourtant encore fait la conquête que d'un bouillon postérieur qui me cause des épreintes horribles : il faut que ma femme de chambre ne me l'ait pas donné de droit fil. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  26. En vérité, madame, cela est vrai : il y a aujourd'hui bien des erreurs à votre teint ; mais il est resté là-bas un peu de décoction, ne vous en faites point de nécessité. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  27. On sait bien qu'une femme grosse a toujours de petits maux de coeur. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  28. Une, deux, trois robes de chambre, c'est-à-dire trois maîtresses. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
  29. Madame, je vais tout rendre, si je ne sors. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  30. Madame, je ne réponds plus de la discrétion de mon derrière. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  31. Il ne tient plus qu'à un petit filet. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  32. Non, je ne veux plus de commerce avec toi ; rends-moi ma robe de chambre. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
  33. En vérité, vous êtes bien folle de farcir votre tête de vos sottes imaginations d'amour et de mariage. Est-ce là le parti que doit prendre une cadette, et ne devriez-vous pas avoir renoncé au monde ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  34. Mon_Dieu, ma soeur, cela est bien aisé à dire ; mais vous ne parleriez pas comme vous faites, si vous sentiez ce que je sens. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  35. Vraiment, je vous trouve une jolie mignonne, pour sentir quelque chose ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  36. Vous êtes encore une plaisante morveuse ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  37. Je ne suis pas si morveuse que je le parais, et il y aurait déjà longtemps que je serais femme si mon père avait voulu ; car on m'a dit qu'on pouvait l'être à douze ans. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  38. Si je ne le savais pas, est-ce que j'en voudrais avoir un ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  39. Cela ne s'apprend-il pas tout seul ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  40. Les soins des domestiques, l'incommodité d'une grossesse : non, quand il n'y aurait que la peur d'avoir des enfants, je renoncerais au mariage pour toute ma vie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  41. Quelle petitesse de raisonnement ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  42. Mais vous, ma saur, qui êtes si raisonnable, est-ce que vous ne voulez pas vous marier ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  43. Ce n'est pas de même, moi ; je suis votre aînée, et la raison qui veut que vous ne vous mariiez pas, veut que je me marie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  44. Je supporterai fort bien toutes les fatigues du ménage ; et quoique je sois jeune, si j'étais mariée présentement, je suis sûre que je n'en mourrais pas. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  45. Tout ce que je puis faire encore pour vous, c'est de vous conseiller de bannir de votre cerveau toutes vos idées matrimoniales, et de croire qu'il n'y a personne assez dépourvu de bon sens pour vouloir se charger de votre peau. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  46. La la, cette charge-là n'est pas si pesante et ne fait pas peur à tout le monde : il n'y a pas encore huit jours que je trouvai dans une boutique, au Palais, un monsieur de condition, qui me dit que j'étais bien à son gré, et qu'il serait bien aise de m'épouser. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  47. Vous ne voyez donc pas qu'il se moquait de vous, et que vous vous donnez un ridicule dans le monde ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  48. Ne voilà-t-il pas ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  49. Vous voulez bien vous marier, vous, et vous ne voulez pas que je me marie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  50. Est-ce que je ne suis pas fille comme vous ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  51. Une petite fille qui n'a pas quinze ans, donner à corps perdu au travers du mariage ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  52. Je vous dis, encore une fois, que j'ai plus d'âge qu'il ne faut ; mais puisque vous me trouvez trop jeune, faisons une chose ; vous avez quatre années plus que moi, donnez-m'en deux ; cela ne gâtera rien ni pour l'une, ni pour l'autre. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  53. Allez, allez ; vous ne savez ce que vous dites. Vous me croyez bien embarrassée de trois ou quatre années que j'ai plus que vous ; mais je veux bien que vous sachiez que pour dix ans de moins je ne voudrais pas être faite comme vous, ni de corps, ni d'esprit. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  54. Est-ce que vous ne sauriez vous égratigner plus doucement ? (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  55. Viens çà, Pierrot ; toi qui es un homme d'esprit, et qui sais le monde, n'est-il pas du dernier bourgeois de marier plus d'une fille dans une maison, et ne devrais-je pas déjà l'être ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  56. Cela est vrai, et je dis tous les jours à votre père, que, s'il ne vous marie au plus tôt, vous lui ferez quelque stratagème. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  57. Voyez-vous, mademoiselle, il faut marier les filles quand elles sont jeunes. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  58. Ce gibier-là ne se garde pas : la mouche s'y met. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  59. Vous avez raison, car vous allez dire une sottise. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  60. Oh, nenni, nenni ; je ne la montre pas encore : j'attends qu'elle soit plus venue. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  61. Il n'y a plus moyen de tenir à vos impertinences : je vous laisse ; et si je faisais bien, j'avertirais mon père de mettre ordre à votre conduite. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  62. Va, va, je ne m'en soucie pas. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  63. Elle veut faire la madame, et me traiter comme une petite fille ; mais nous verrons. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  64. Je ne demande pas mieux. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  65. Ne suis-je pas fait pour faire plaisir aux filles ? (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  66. Une lettre ! (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  67. Si c'est un vicomte, je ne dis plus rien. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  68. Tu lui diras que je m'ennuie bien fort de ne pas le voir, et qu'il ne manque pas de me venir trouver aujourd'hui. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  69. Oui, oui, j'entends bien, je ne suis pas sourd. (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  70. C'est une belle chose que la nature ! (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  71. C'est une pente de mon lit ; mais je crains de la faire trop petite ; on n'y pourra jamais coucher deux. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  72. Je sais de vos fredaines : vous n'avez pas toujours une aiguille et de la tapisserie entre les mains, et vous commencez à escrimer de la plume. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  73. Il ne faut que vous hocher la bride... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  74. J'ai résolu, pour éterniser la famille Brocantine... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  75. Est-ce que je ne me porte pas encore assez bien ? (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  76. À une femme ? (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  77. Savez-vous bien que l'on n'a que l'âge que l'on paraît ; et monsieur Visautrou, mon apothicaire, me disait encore ce matin, en me donnant un remède, que je ne paraissais pas quarante-cinq ans. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  78. Mon papa, c'est qu'il ne vous voyait pas au visage. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  79. J'ai ce que j'ai ; mais je sais bien que j'ai besoin d'une femme. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  80. Je crève de santé, et j'ai trouvé une fille comme je la souhaite, belle, jeune, sage, riche ; enfin, une fille de hasard... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  81. Une autre fille que moi, qui ne saurait pas vivre, vous dirait, mon père, que vous risquez beaucoup en vous mariant ; qu'il faut avoir perdu l'esprit pour songer, à votre âge, à un engagement, et que l'on renferme tous les jours des gens aux Petites-Maisons pour de moindres sujets : mais moi, qui sais le respect que je vous dois, sans me prévaloir des raisons que les enfants ont d'appréhender un second mariage, je vous dirai que, puisque vous crevez de santé, vous faites parfaitement bien de prendre une femme. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  82. Vous prenez la chose du bon biais. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  83. Puisque vous êtes si raisonnables, apprenez donc que je suis en pourparler de mariage ; mais c'est pour vous. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  84. Pour moi, je ne conçois pas cette petite fille-là. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  85. Si vous ne me mariez, je sais bien ce que je ferai, moi. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  86. Monsieur Bassinet, médecin, enfin ; c'est tout dire. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  87. Monsieur Bassinet ! (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  88. Monsieur Bassinet ! (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  89. J'ai bien du respect pour la médecine ; mais, avec votre permission, mon père, je n'épouserai point un médecin. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  90. Il ne faut pas, s'il vous plaît, que vous songiez à Octave ; j'ai appris que c'était un gueux, et je vais tout de ce pas l'envoyer chercher, pour lui dire qu'un autre lui a passé la plume par le bec. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  91. Allons, ma soeur, faites cela de bonne grâce, puisque mon père le veut. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  92. Je vous prie, mon père, de ne me point donner ce chagrin, et ne m'obligez pas à épouser un homme pour qui je n'ai nulle estime. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  93. Il n'y a qu'un mot qui serve ; il faut épouser monsieur Bassinet, ou un couvent. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  94. Voilà ma soeur qui a si envie d'être mariée ; que ne lui donnez-vous monsieur Bassinet pour mari ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  95. Ce n'est pas de même ; je suis votre cadette, et la raison qui veut que je ne me marie pas, veut que vous vous mariiez la première. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  96. Monsieur, j'étais avec cette femme qui marchande ces singes, et qui veut donner six écus du gros, parce qu'elle dit qu'il ressemble à son mari. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  97. Monsieur, je ne le trouve pas. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  98. Je vois bien que nous ne vivrons pas longtemps ensemble : je ne veux point de bête dans ma maison. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
  99. Donne donc vite. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  100. « L'amour est comme la gale, on ne le saurait cacher ; c'est ce qui fait que je vous irai voir aujourd'hui, ou je veux que la peste m'étouffe ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  101. Il n'y a qu'une chose qui m'embarrasse, c'est que je ne sais pas encore tout à fait ce que c'est que le mariage : ne pourrais-tu pas me le dire ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  102. Assurément ; il n'y a rien de si aisé : c'est comme qui dirait une chose... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  103. Vous ne pouviez jamais mieux vous adresser qu'à moi. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  104. C'est comme, par exemple, une chose où l'on est ensemble... Votre père... avait épousé... votre mère... ; ça faisait qu'ils étaient deux ; et comme çà, votre grand-père..., d'un côté..., la nature... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  105. On ne saurait bien expliquer ce brouillamini-là. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  106. Va, va, mon ami, tu rêves : un homme de ma qualité ne paye pas plus dans les fiacres que sur les ponts. (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
  107. Vous ne me donnez pas un sou. (Acte 2, scène 4, LE-FIACRE)
  108. Tu ne sais ce que tu dis, maraud. (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
  109. Je ne crains rien ; je veux être payé tout à l'heure. (Acte 2, scène 4, LE-FIACRE)
  110. Ces marauds-là ne sont jamais contents. J'en ai déjà tué quinze ou seize ; mais je ne serai point satisfait que je n'en aie achevé le quarteron. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  111. En vérité, monsieur le Vicomte, il faut bien vous aimer, pour vous regarder après une si longue négligence à me venir voir. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  112. À peine ai-je quitté la toilette, qu'il faut aller dîner chez Rousseau. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  113. Un officier ne peut pas être moins de cinq à six heures à table ; et avant qu'il ait fumé dix ou douze douzaines de pipes, il est heure de s'y remettre pour souper. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  114. Vous prenez donc du tabac comme ces vilains soldats ? (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  115. Je ne pourrais jamais m'y accoutumer. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  116. Au feu d'une pipe qu'il faut qu'un homme de qualité allume sa tendresse. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  117. Vous ne sauriez croire comme, après cela, on soupire tendrement. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  118. Les gens que je vois n'assaisonnent pas leurs douceurs de tabac et d'eau-de-vie. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  119. C'est que vous ne voyez que des courtauds de boutique, ou des gens de robe. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  120. Je ne sais pas pourquoi mon père a tant d'aversion pour les gens d'épée. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  121. Vous dites la même chose de moi quand vous êtes auprès d'une autre ? (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  122. Si vous voulez que je vous parle sans fard, cela est vrai, et je vais, au sortir d'ici, à deux ou trois rendez-vous, où il faudra bien dire que vous êtes une guenon comme les autres. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  123. Écoutez, il ne faut pas laisser morfondre l'amour d'un officier ; cela n'est pas de longue haleine. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  124. Je ne sais pas ; mais mon père dit qu'il y a quatorze ans que ma mère était grosse de moi. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  125. Je ne croyais pas que vous eussiez vaillant plus de dix ou douze années. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  126. Vous croyez donc parler à une petite fille ? (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  127. Vous apprenez à chanter ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  128. Tenez, voilà du tabac en machicatoire ; il n'y a rien de si bon pour le rhume. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  129. S'il n'y avait que cela, je ne laisserais pas de chanter. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  130. C'est que ma voix ne paraît rien quand je n'ai pas mes fontanges argent et jaune. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  131. Courage, mignonne ; je vous soufflerai, en tout cas. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  132. Jeanneton, m'aimez-vous bien ?... v.1 (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  133. Pourquoi ne vous aimerais-je pas ? v.3 (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  134. Je suis faite comme je ne sais quoi... (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  135. Voilà une voix à peindre. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  136. Je n'en ai pas perdu une goutte. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  137. On ne travaillait point comme cela autrefois. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  138. Je ne suis pas encore assez forte pour tenir ma partie. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  139. Nous chanterons donc une autre fois. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  140. Monsieur, ne sortez pas. (Acte 2, scène 6, PASQUARIEL)
  141. Voilà mes bonnes fortunes qui commencent à défiler. (Acte 2, scène 6, LE-VICOMTE)
  142. Que ne partez-vous ? (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  143. Ne peut-on pas savoir la cause de votre chagrin ? (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  144. C'est une bagatelle. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  145. Vous saurez donc qu'étant obligé de partir pour l'Allemagne, et ne pouvant trouver d'argent sur mon billet (car les billets des vicomtes ne sont pas autrement réputés argent comptant), j'en fis un que je signai la Harpe (c'est le nom de ce fameux banquier). (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  146. Je partis : présentement, voyez, je vous prie, le peu de bonne foi qu'il y a dans le commerce ! (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  147. Ce vilain monsieur de la Harpe ne veut pas payer ce billet-là. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  148. De mauvaises raisons : il dit qu'il n'a point fait ce billet-là ; mais son nom y est, une fois ; il faudra bien qu'il le paye ou qu'il crève ; car, palsambleu ! (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  149. Je sais bien que je ne le payerai pas, moi. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  150. Prenez encore mon collier. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  151. Ne vous ai-je pas dit que je faisais litière de diamants. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  152. Voilà encore une montre qui est assez jolie. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  153. Attendez ; j'ai encore ici une petite boîte à mouches et un cachet. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  154. Quand on a donné son coeur, cela ne coûte guère à donner. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  155. Tenez, tenez, monsieur le Vicomte ; voilà encore un petit jonc d'or que j'avais oublié. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  156. Voilà un diamant qui me paraît bien jaune. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  157. Écoutez ; je vais porter tout cela chez l'orfèvre, et s'il ne m'en donne pas les deux cents pistoles, vous me tiendrez, s'il vous plaît, compte du reste. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  158. Que voilà de bonnes fortunes ! (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  159. De la manière que je l'aime, je ne sais ce que je ne lui donnerais pas. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  160. Ayant appris, monsieur, que vous êtes un homme savant et de bon conseil, je voudrais bien vous parler d'une affaire que je suis sur le point de terminer. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  161. Qui ne sait que le trop parler vient du défaut de jugement ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  162. Qui ne sait que volat irrevocabile verbum ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  163. Qu'on ne se repent jamais de se taire, et qu'on s'est repenti souvent d'avoir parlé ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  164. Ignorez-vous que la nature a donné à l'homme deux pieds pour marcher, deux bras pour agir, deux narines pour sentir, et qu'elle ne lui a donné qu'une langue pour parler ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  165. Solon avait coutume de dire qu'un homme qui parle beaucoup est semblable à un tonneau vide, qui fait plus de bruit qu'un plein. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  166. Bias, qu'un grand parleur n'était autre chose qu'une forteresse sans murailles, une ville sans porte, et un vaisseau sans gouvernail. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  167. Anaxagore, qu'une bête féroce échappée était moins à craindre qu'une langue effrénée et pétulante. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  168. Je ne vous dis pas qu'il ne faille parler en termes propres, suivant les règles de la grammaire, faire accorder l'adjectif avec le substantif, le nom avec le verbe, le masculin avec le féminin. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  169. Je ne vous défends pas de mettre en usage les figures de rhétorique : nam quid est rhetorica ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  170. Selon Socrate, c'est I'art de persuader ; selon Agathon, c'est l'art de tromper ; selon Gorgias, l'usage du discours ; selon Chrysippe, la clef des coeurs ; selon Cléanthe, la science des sciences ; selon Vatadérius, le boulevard de la vérité ; selon Aristote, le bouclier de l'orateur ; selon Cicéron, l'art de bien dire ; et selon moi, l'art de ne guère parler. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  171. Si vous voulez donc que je vous donne mes avis, expliquez-moi le sujet dont il s'agit ; mais surtout d'un style vif, serré, pressé, concis, laconique, car vous savez que la vie de l'homme est courte : ars longa, vita brevis. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  172. Le temps est cher ; on en perd tant à boire, à manger, à dormir, à s'habiller, à danser, à rire, à chanter ; et l'on ne songe pas que la santé revient après la maladie, le printemps après l'hiver, la paix après la guerre, le beau temps après la pluie ; mais que le temps passé ne revient jamais. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  173. Mais vouloir savoir est une chose, et savoir en est une autre. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  174. C'est que l'un assassine peu à peu ses malades, et que l'autre tue tout d'un coup ceux qui se portent bien. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  175. La pharmacie ou la médecine ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  176. Non ; je ne veux rien de tout cela... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  177. Je voudrais savoir seulement si je dois épouser une brune ou une blonde. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  178. Que ne parlez-vous donc ! (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  179. Vous ne toussez ni ne crachez : je ne puis prendre mon temps. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  180. Vous voulez donc savoir si vous devez épouser une brune ou une blonde ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  181. Je ne m'en soucie pas, pourvu... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  182. Hic niger est : ore hunc tu, Romane, caveto. v.9 (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  183. Les uns tenaient pour les blondes, et les autres pour les brunes. La différence du poil fait aussi la différence de l'inclination. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  184. La blonde est tendre, languissante et amoureuse ; la brune est vive, gaillarde et fringante. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  185. La blonde pourra bien outrager votre front ; la brune ne vous en quittera pas à meilleur marché. Un savant poète de l'antiquité dit : (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  186. Ainsi vous voyez que c'est une matière bien délicate : Undique ambages, et qu'il est difficile d'y porter un jugement certain ; car, quoique je sois consommé dans toutes sortes de sciences, ne croyez pas que je veuille que mon sentiment prévale. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  187. Je ne m'arrête pas mordicus à mon opinion. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  188. L'obstination est le propre de la bête, et je ne voudrais pas que... (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  189. Allez-vous-en à tous les diables ; je ne veux rien savoir. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  190. Je gage que si on examinait cet homme-là, on trouverait que c'est une femme. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  191. Je ne veux plus rien entendre. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  192. Donne-moi ce chapeau. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  193. Est-ce que vous allez lever une compagnie de fantassinerie ? (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  194. Ne pense pas te moquer ; je tâterais fort bien de l'armée, et je n'appréhenderais pas plus le feu qu'un autre. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  195. Si tous les capitaines étaient faits comme vous, ils pourraient gagner les frais de l'enrôlement, et faire leurs soldats eux-mêmes. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  196. Je ne mets pas cet habit-ci sans raison. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  197. Tu sais que mon père veut que j'épouse monsieur Bassinet. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  198. Je me sers du déguisement où tu me vois pour détourner ce mariage. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  199. Monsieur Bassinet ne m'a jamais vue ; il doit venir me voir, et j'attends sa visite en cet équipage. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  200. Voilà une hardie tête de fille ! (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  201. J'ai toujours dit à votre père que je ne croyais pas qu'il fût le mari de votre mère quand elle vous a faite. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  202. Pour moi, Pierrot, je ne m'embarrasse pas de cela ; je ne songe qu'à faire rompre, si je puis, l'impertinent mariage dont je suis menacée. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  203. Mais je crois que voilà monsieur Bassinet ; laisse-moi avec lui : je vais commencer mon rôle. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  204. Mais vous, monsieur, que venez-vous faire ici ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  205. Car, à votre mine, je vous crois médecin, et vous avez toute l'encolure d'un membre de la Faculté. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  206. Vous ne vous trompez pas, monsieur ; je suis un nourrisson d'Hippocrate : mais je ne viens pas ici pour tâter le pouls à Isabelle ; j'ai bien d'autres prétentions sur... (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  207. Et de quelle nature, s'il vous plaît, sont les prétentions d'un médecin sur une fille ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  208. Ne voyez-vous pas bien que je ris ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  209. Non, monsieur ; je me porte fort bien : je ne suis pas sujet à la migraine. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  210. Nous avons eu assez de peine à la mettre sur le pied où elle est. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  211. Si vous voulez, je vais la dessiner qu'il n'y manquera pas un trait. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  212. Une gorge, morbleu ! (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  213. Je vous dis que vous ne sauriez faire une meilleure affaire. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  214. Je vois bien qu'elle ne serait point mauvaise pour vous. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  215. Elle a, par-dessus cela, une adresse à conduire une affaire de coeur qui ne se comprend pas. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  216. Si elle est votre femme, elle aura des intrigues avec toute la terre, que vous ne vous en apercevrez non plus que si elle était à Rome et vous au Japon. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  217. Une femme comme cela est un trésor pour le repos du ménage. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  218. Ne savez-vous pas les allures du monde et la malignité des rivaux ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  219. Les uns disent qu'elle a des vapeurs ; les autres lui font faire un voyage : il y en a d'assez enragés qui lui font garder le lit cinq ou six mois pour une détorse... et... que sais-je, moi ! (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  220. Cent autres contes que l'on va souffler aux oreilles d'un fiancé, qui ne manquent pas de rompre un mariage comme un verre ; et si, de tout cela, bien souvent il n'y en a pas la moitié de vrai. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  221. Une détorse ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  222. Monsieur, vous me faites trop d'honneur ; mais je ne mange jamais de volaille. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  223. Ce n'est pas d'aujourd'hui que nous sommes toujours ensemble, et si vous étiez discret, je vous apprendrais quelque chose sur son chapitre, que je suis sûr que vous ne savez pas. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  224. (Mais il faut voir si personne ne nous entend.) (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  225. Non, je me donne au diable. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  226. Prenez vos mesures là-dessus. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  227. Elle ne saurait se coucher sans moi. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  228. Ce que je viens de vous dire là, au moins, ne doit point vous empêcher de conclure l'affaire. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  229. Un homme bien amoureux ne s'arrête pas à ces bagatelles-là. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  230. Voilà de belles badineries ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  231. Je ne vois pas que rien presse encore de quitter la robe et le bonnet de médecine, pour me faire coiffer de mademoiselle Isabelle. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR BASSINET)
  232. Le ciel m'a assisté : voilà un jeune homme qui m'aime bien. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR BASSINET)
  233. Pardi, monsieur Bassinet, je crois que vos fumées d'amour pour Isabelle sont bien passées présentement. (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  234. Depuis un quart_d_heure que je fais l'homme, je ne suis pas mal scélérat. (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  235. Non, pas encore tout à fait ; mais, voyez-vous, monsieur, vous tournez trop à l'entour du pot. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  236. Ne te mets point en peine, Pierrot ; je suis sur le point d'en marier une, et je crois que je ferai affaire de l'aînée avec monsieur Bassinet. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  237. Il m'a promis qu'il quitterait sa profession de médecin, si je voulais lui donner Isabelle, et qu'il se ferait troqueur. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  238. On lui en sait grand gré, ma foi, de quitter son séné ; pour une fille drue comme Isabelle ! (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  239. Si vous voulez me la bailler, je vous quitte, vous et vos chevaux, dès demain ; et si, je crois que je vous panse avec autant d'honneur qu'un médecin fait ses malades. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  240. Car, révérence parler, j'ai plus d'esprit que vous : vous ferez mieux, si je ne vous accommode pas, de la donner à quelque homme de condition, comme, par exemple, à un gentilhomme de robe. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  241. Notre vacation est la plus jolie du monde ; nous voyons tout ce qu'il y a de gens de qualité ; il n'y a point de prince qui fasse la dépense que nous faisons ; nous changeons de meubles tous les jours ; on ne voit jamais chez nous la même chose, et notre cabinet est le rendez-vous de tous les fainéants de la ville. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  242. Mon papa, il y a là-bas une troupe de carêmes-prenants qui veulent entrer. (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
  243. Qu'on les renvoie ; je ne veux point... (Acte 3, scène 6, BROCANTIN)
  244. Mon_Dieu, la vilaine bête ! (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  245. Pierrot, Pierrot, ne me quitte point ; j'ai peur. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  246. Pardi, ne craignez rien avec moi ; il n'a qu'à venir. (Acte 3, scène 7, PIERROT)
  247. Perroquet mignon ; tôt, tôt, à déjeuner. (Acte 3, scène 7, PIERROT)
  248. Pour vous demander Colombine en mariage. v.11 (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  249. Je ne veux point épouser un perroquet. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  250. Morguenne de vous ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  251. Morguenne de vous ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  252. Voilà l'ambassadeur du Pont-Neuf. (Acte 3, scène 7, PIERROT)
  253. J'aurai bien du plaisir d'en faire une perroquette. Qu'elle est belle ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  254. Quel air de santé ! Vous avez la mine v.12 (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  255. Un jour de rester seule à la tontine... v.13 (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  256. J'ai ma soeur qui est bien plus jolie que moi ; et si vous aviez vu ma cousine Gogo, c'est tout autre chose. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  257. Oh ! Je ne veux jamais rester seule ; j'ai trop peur. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  258. Morguenne de vous ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  259. Morguenne de vous !... (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  260. Ce n'est pas sans raison que nos anciens modernes ont dit ingénieusement que le mariage était d'une très grande ressource pour de certaines gens, et que les aigrettes, dont quelques femmes galantes faisaient présent à leurs maris, étaient semblables aux dents, qui font du mal quand elles percent et nourrissent quand elles sont venues. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  261. Cela présupposé, voyons un peu le tendron qui est destiné pour mes plaisirs ; car vous ne voudriez pas me faire acheter chat en poche. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  262. Voilà mes deux filles ; vous n'avez qu'à choisir : c'est encore trop d'honneur pour le sang des Brocantins. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  263. Oui, beau-père, je veux brocantiner avec vous ; et de peur de mal choisir, je les prendrai toutes deux. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  264. Pour vous, petite blonde d'Égypte, levez le nez, regardez-moi fixement, marchez, trottez. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  265. Monsieur, je vous la garantis tout ce qu'on peut garantir une fille. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  266. Les filles sont terriblement sujettes aux maux d'aventure ; mais l'enflure ne les prend pas toujours au pouce. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  267. Je vous avertis par avance que si je suis jamais mariée avec vous, je ne vous incommoderai point de toute la nuit ; car je suis la meilleure coucheuse du monde : je me trouve le matin comme je me suis mise le soir. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  268. Elle doit se faire une loi v.16 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  269. Lorsqu'on le ramène au logis, v.24 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  270. C'est un grand hasard s'il ne cloche ; v.25 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  271. Et s'il ne boite pas tout bas, v.26 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  272. De peur de maligne pratique ; v.30 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  273. Ils ne les touchent jamais. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  274. Viennent souvent pondre en nos nids ; v.45 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  275. C'est à cause de cela. Ces messieurs-là ne montrent pas toujours la courante et le menuet. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  276. Qu'il prenne garde que jamais v.51 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  277. Il ne s'engaigne d'une Agnès ; v.52 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  278. C'est une méchante chenille. v.53 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  279. Mais voici monsieur Bassinet fort à propos. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  280. Oh, monsieur Bassinet ! (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  281. Vous venez le plus à propos du monde ; nous ferons d'une pierre deux coups. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  282. Voilà ma fille Isabelle qui vous attend pour vous donner la main. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  283. Est-ce que vous prétendez donner votre fille à ce scorpion ? (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  284. Ne faites point cette affaire-là. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  285. Je m'en doutais bien, car j'ai eu envie de faire une selle en le voyant. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  286. Mais cet homme-là ne vaut rien pour le mariage : tenez, vous voyez bien que sa barbe ne tient point ; ce sont deux moustaches postiches. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  287. Voyez cette mine patibulaire. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  288. Je n'y manque jamais, à une heure près ; et, si vous voulez, je vous dirai quand vous le serez. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  289. Monsieur Bassinet, vous voyez bien ma fille : touchez là ; vous n'en croquerez que d'une dent, et je ne veux point de gendre dont la barbe ne tient point. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  290. Ni moi d'un beau-frère qui postule après une cravate de chanvre. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  291. Ni moi d'une fille qui a eu des détorses de neuf mois. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-BASSINET)
  292. Je venais ici pour vous dire que je ne voulais point de la fille d'un fou, et qui passe toutes les nuits avec des godelureaux. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR BASSINET)
  293. Fi, la vilaine ! (Acte 3, scène 8, MONSIEUR BASSINET)
  294. Consolez-vous, la belle, je vais vous présenter un époux qui vaudra cette vilaine égoutture de bassin. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  295. Tenez, beau- père... (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  296. Ce sera là votre second gendre ; c'est un grand seigneur de mon pays. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  297. Qu'est-ce qu'il jargonne là ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  298. Il dit qu'elle est une étoile resplendissante de perfection, et que, si la queue de son manteau était plus longue, il la prendrait pour une comète. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  299. C'est une langue qui s'apprend par infusion ; et s'il vous épousait, vous sauriez le tonquinois dans deux heures. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  300. Tout cela ne tient que par le moyen d'un ressort que je vais toucher, et vous verrez que toutes ces figures prendront mouvement. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  301. Il accompagne de la guitare on ne peut pas mieux. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  302. Vous avez pourtant la physionomie d'une guenon. Il dit qu'il va prendre sa guitare. La voilà ; écoutez. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  303. Car je suis mort, si je ne bois. v.66 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)
  304. Car je suis mort, si je ne bois. v.74 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)

LES VENDANGES (1731)

  1. Ma femme, ordonnez tout pour les bien recevoir : v.2 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  2. À faire de mon mieux les honneurs du village. v.4 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  3. Pour cela, tout exprès ils viennent de Paris : v.6 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  4. Monsieur de Bonnemain, procureur, et son père, v.7 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  5. Voyez-vous, mon mari, je vous le dis tout net, v.15 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  6. Il ne faut point de bourse à qui veut dépenser. v.24 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  7. Grandes maisons se font par petite cuisine. v.25 (Acte 1, scène 1, MADAME TRIGAUDIN)
  8. Oui, mon grand-père était fort savant en lésine ; v.26 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  9. Et beaucoup d'avocats, qui font les grands seigneurs, v.39 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  10. Faites-nous seulement bonne mine et grand'chère. v.42 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  11. On y va donner ordre. v.46 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  12. Ne gagnant rien, on doit modérer ses dépenses : v.50 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  13. De l'âge dont elle est, la garde d'une ville, v.53 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  14. Ma charge de bailli ne vaut presque plus rien. v.56 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  15. Le temps est malheureux, on ne s'assomme plus. v.60 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  16. Griffonet ! v.61 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  17. Au procureur fiscal qu'il tienne, en mon absence, v.62 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
  18. Moi, dans mon cabinet, v.63 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
  19. Dresse un plan pour ne pas devenir procureuse. v.66 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
  20. Monsieur le procureur ne tient rien. v.69 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
  21. Çà, maître Griffonet, v.71 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  22. Ne veux-tu point quitter la robe pour l'épée ? v.74 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  23. C'est d'être subalterne en quelque régiment, v.79 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  24. Où tu feras bientôt fortune, assurément. v.80 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  25. Je ne l'ai point encore ouï que dans une cause ; v.89 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  26. Aussi ne parle-t-il à chacun d'autre chose : v.90 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  27. Ah ! Griffonet, demeure ; v.94 (Acte 1, scène 6, BABET)
  28. Oh ! Monsieur Griffonet est un brave, madame, v.101 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  29. Je suis dans des frayeurs qu'on ne peut concevoir. v.107 (Acte 1, scène 7, BABET)
  30. Dans le chagrin que cette peur me donne, v.117 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  31. Je ne sais qui me tient que je vous abandonne. v.118 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  32. Prends donc garde, Toinon, que personne... v.121 (Acte 1, scène 8, BABET)
  33. Nous trouverons chez elle une sûre retraite. v.125 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
  34. Mais vous me paraissez incertaine, inquiète : v.126 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
  35. Dans une heure elle doit être aussi v.140 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
  36. Et chacune de nous, en nymphe déguisée, v.145 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  37. Pendant que Griffonet... Mais on vient nous troubler. v.147 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  38. Ne craignez rien, je prends sur moi l'affaire ; v.150 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
  39. Je le débrouillerai mieux que personne en France. v.154 (Acte 1, scène 9, TRIGAUDIN)
  40. Ayant, ces derniers jours, dans toute une audience, v.157 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  41. À la bonne heure, soit ; dépêchez seulement : v.163 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  42. Est fortement épris d'une fille très belle, v.173 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  43. Qui répond à ses feux d'une ardeur mutuelle ; v.174 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  44. (Ces pères sont toujours ennemis des plaisirs.) v.176 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  45. M'a prié, ne voulant rien faire à la légère, v.181 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  46. Et je ne sais, monsieur, qui vous donne sujet v.187 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  47. Ne croyez pas que l'intérêt m'engage v.197 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  48. Et n'était que je vois que c'est à bonne fin, v.199 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  49. Que tout cela ne tend qu'au mariage enfin, v.200 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  50. Oui, je pèse toujours mûrement une affaire, v.202 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  51. Et j'examine bien avant que m'embarquer : v.203 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  52. Cette affaire, monsieur, est de soi criminelle ; v.205 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  53. C'est là le fin, monsieur. Ce père inexorable, v.209 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  54. Un fâcheux, d'une humeur peu traitable, v.210 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  55. Ayez donc la bonté de signer votre avis. v.223 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  56. Le sujet du procès est un âne égaré. v.232 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  57. Le voilà tout trouvé, sans procès ni chicane. v.233 (Acte 1, scène 11, TOINON)
  58. En la cause, je suis pour le maître de l'âne, v.234 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  59. Et couvrirent de morts les plaines d'Apulie ; v.242 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  60. Fit rougir la campagne, inonda les sillons ; v.244 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  61. L'aigle prenant la fuite au fameux jour de Canne... v.245 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  62. Qu'a cela de commun, monsieur, avec votre âne ? v.246 (Acte 1, scène 11, TOINON)
  63. Et qu'est-il besoin là de cane ni d'oison ? v.247 (Acte 1, scène 11, TOINON)
  64. Mais de ma peine aussi j'ai recueilli le fruit, v.255 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  65. Et jamais plaidoyer ne fera plus de bruit : v.256 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  66. Aux affaires, depuis, je ne saurais suffire. v.257 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  67. Voulez-vous bien, monsieur, leur donner audience ? v.262 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  68. Ils viennent, que je crois, de faire un mauvais coup v.263 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  69. Ou bien, par la campagne, ils ont vu quelque loup ; v.264 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  70. Eh ! Tant mieux. Bonne affaire, ou je meure. v.281 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  71. J'ons morguenne arrêté l'assassin tout sur l'heure ; v.282 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  72. Si je ne demeurais pour les frais de l'enquête. v.293 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  73. Peut-être qu'on lairra sauver le criminel. v.295 (Acte 1, scène 14, MATHIEU)
  74. Le jeu ne vaudrait pas aussi bien la chandelle. v.297 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  75. Monsieur, bonne nouvelle ! v.298 (Acte 1, scène 15, GRIFFONET)
  76. Demain il fera jour ; rien encor ne se gâte. v.301 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  77. Vous ne savez donc pas que la bête a bon pied ? v.304 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  78. Dans une étable. v.309 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  79. Que ne me disiez-vous qu'il avait des cochons ? v.316 (Acte 1, scène 16, TRIGAUDIN)
  80. Eh ! Je ne pensions pas qu'il en fût plus coupable. v.317 (Acte 1, scène 16, MATHIEU)
  81. Et des cochons ! Suffit ; rien ne peut m'émouvoir ; v.319 (Acte 1, scène 16, TRIGAUDIN)
  82. Ma ly, sans barguigner, y va d'abour au fait ; v.335 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  83. En est bonne : oui, ma foi, baillons-li la poussée. v.342 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  84. Allez, ne craignez rien : v.348 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
  85. Voyez-vous, ces détours ne peuvent me surprendre, v.349 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
  86. Pour ne point parde temps ? v.352 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
  87. Monsieu, ne vous déplaise, v.354 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
  88. Je pourrions là-dessus raisonner un moment. v.355 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
  89. Quoi ! Qu'est-ce encor, Toinon ? Ne partirons-nous pas ? v.359 (Acte 1, scène 19, TRIGAUDIN)

DÉMOCRITE (1700)

  1. Il faut prendre ou laisser, et l'on ne choisit pas. v.24 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  2. Bon, tant mieux. Aujourd'hui ferons-nous bonne chère ? v.26 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  3. Depuis deux ans je jeûne en ce désert maudit. v.27 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  4. Un jeûne de deux ans cause un rude appétit. v.28 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  5. Et c'est pis qu'une noce. v.30 (Acte 1, scène 2, THALER)
  6. Ah ! La bonne nouvelle ! v.30 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  7. Une bouteille d'eau ! Le breuvage est ignoble. v.37 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  8. Dit que du vin l'on doit surtout faire abstinence v.41 (Acte 1, scène 2, THALER)
  9. C'est un homme bizarre, ennemi de la vie, v.45 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  10. Elle ne peut manquer de plaire, assurément. v.56 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  11. Qu'on ne se pique pas d'être enfant de son père ? v.62 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  12. Je vous soutiens que je ne suis pas grue : v.66 (Acte 1, scène 2, THALER)
  13. Je vois qu'il est fâché quand il ne la voit pas. v.68 (Acte 1, scène 2, THALER)
  14. Qu'importe ? Quand on voit une fille jolie... v.70 (Acte 1, scène 2, THALER)
  15. Eh ! Peut-on s'ennuyer lorsque l'on ne fait rien ? v.76 (Acte 1, scène 2, THALER)
  16. Animé d'une ardeur vraiment philosophique, v.77 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  17. De l'humaine nature. v.86 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  18. Pour les fuir, tout le jour il est dans sa caverne : v.89 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  19. Et la nuit, quand la lune allume sa lanterne, v.90 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  20. Hé bien, changeons d'état ; ce n'est pas une affaire. v.98 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  21. Que rien ne vient de rien ; et que des particules... v.101 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  22. Rien ne retourne en rien ; de plus, les corpuscules... v.102 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  23. Que l'âme et que I'esprit n'est qu'une même chose, v.105 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  24. Je ne crois pas, tout franc, que j'aille l'y chercher. v.108 (Acte 1, scène 2, THALER)
  25. Et comment as-tu fait, cela ne te déplaise ? v.114 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  26. Il condamne, il approuve, il rit, il s'inquiète ; v.134 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
  27. Je l'attendais ici ; j'en ai le coeur en peine : v.145 (Acte 1, scène 3, THALER)
  28. Elle s'est amusée au bord de la fontaine. v.146 (Acte 1, scène 3, THALER)
  29. Car je ne pense pas que nul d'entre eux jamais v.151 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  30. Et si vous ne quittez les lieux où nous voilà, v.163 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  31. Je suis un parchemin ; mon corps est diaphane. v.165 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  32. Va, fuis de devant moi ; retire-toi, profane, v.166 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  33. Je voulais te guérir de tes erreurs funestes, v.169 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  34. Te mener par la main aux régions célestes, v.170 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  35. Tu ne mérites pas la peine que je prends, v.172 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  36. Mais on ne dira pas que je sois amoureux. v.175 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  37. Pour donner, comme un autre, en l'erreur populaire ? v.181 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  38. La raison aussitôt lui donne sur les doigts. v.188 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  39. On ne saurait jamais tout à fait les abattre: v.190 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  40. L'homme fait, malgré lui, souvent ce qu'il condamne. v.193 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  41. Va, fuis de devant moi ; retire-toi, profane, v.194 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  42. Votre humeur ne m'est pas tout à fait bien connue, v.201 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  43. C'est une fleur qui sort des mains de la nature. v.206 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  44. Je cherche ici mon père, et ne le trouve pas ; v.211 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
  45. Ne l'avez-vous point vu? Dites-moi, je vous prie, v.213 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  46. Des Sylvains pétulants, des Faunes indiscrets, v.220 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  47. Et n'ont nulle pitié d'une fille égarée. v.222 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  48. Jamais je ne m'égare ; et, grâce à mon destin, v.223 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
  49. Je ne rencontre point telles gens en chemin. v.224 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  50. Je m'étais arrêtée au bord d'une fontaine v.225 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  51. Dont le charmant murmure et l'onde pure et saine v.226 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  52. Son visage est tout neuf, et n'est point frelaté. v.232 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  53. Ce fard que vous prenez au bord d'une onde claire v.233 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  54. Je tremble, et je ne sais ce que je vais lui dire. v.238 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  55. Quoi ! Vous qui raisonnez philosophiquement, v.239 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  56. Une fille vous met en l'état où vous êtes ! v.242 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  57. Tant de trouble jamais ne régna dans mon coeur. v.244 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  58. L'amour est, en effet, ce qu'on a peine à dire ; v.245 (Acte 1, scène 5, D?MOCRITE)
  59. C'est une passion que la nature inspire, v.246 (Acte 1, scène 5, D?MOCRITE)
  60. L'amour, ne vous déplaise, est un je ne sais quoi, v.251 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  61. Qui vous prend, je ne sais ni par où, ni pourquoi ; v.252 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  62. Qui va je ne sais où ; qui fait naître en notre âme v.253 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  63. Je ne sais quelle ardeur que l'on sent pour la femme : v.254 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  64. Et ce je ne sais quoi, qui paraît si charmant, v.255 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  65. Sort enfin de nos coeurs, et je ne sais comment. v.256 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  66. Vous me parlez tous deux une langue étrangère ; v.257 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
  67. Puisqu'on a tant de peine à pouvoir l'expliquer. v.260 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  68. Mon esprit est borné : je ne veux point apprendre v.261 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  69. Les choses qui me font tant de peine à comprendre. v.262 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  70. Pour moi, je ne vois rien dans leur air qui m'étonne. v.269 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  71. Approchons. Que d'appas ! Ciel ! L'aimable personne ! v.270 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  72. Tout cela ne vaut rien. Ces gens-ci, dans leur course, v.273 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  73. Ah ! Je m'en réjouis. Prendre bien de la peine, v.285 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  74. Se tuer, s'excéder, se mettre hors d'haleine ; v.286 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  75. Fatiguer de ses cris les échos des montagnes ; v.289 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  76. Passer en plein midi les guérets, les campagnes ; v.290 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  77. Pour faire fuir un cerf qu'une feuille intimide ; v.294 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  78. Cela ne vaut-il pas la peine qu'on en rie ? v.298 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  79. Mais, sans trop témoigner de curiosité, v.303 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  80. Peut-on savoir quelle est cette jeune beauté ? v.304 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  81. On ne peut voir paraître v.305 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  82. Oui, seigneur, c'est lui-même ; et voilà son élève. v.318 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  83. Pardonnez, s'il vous plaît, mes indiscrétions ; v.319 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  84. Vous venez à propos ; nous nous mettions à table : v.322 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  85. Mais il faut excuser, on ne vous attend pas. v.324 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  86. De manger à présent je ne sens nulle envie ; v.326 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  87. Je veux que dans une heure v.329 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  88. Qui ? Nous, seigneur ? v.331 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  89. M'attireraient bientôt un monde d'ennemis. v.336 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  90. Je vous demande encore une seconde grâce, v.338 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  91. C'est que ce jeune objet accompagne vos pas. v.340 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  92. Y répugneriez-vous ? v.341 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  93. Sans son consentement je ne saurais rien faire : v.342 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  94. Vous avez sur mon père une entière puissance ; v.349 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  95. Examinez-moi bien ; ai-je, du bas en haut, v.351 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  96. Ne me refusez pas. v.354 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  97. Mais, seigneur... v.355 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  98. À mes voeux daignez tout accorder ; v.355 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  99. La résistance est vaine. v.357 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  100. J'ai des gens, des chevaux dans la route prochaine ; v.358 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  101. Je vous laisse. Surtout, cette aimable personne... v.361 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  102. Qu'à mes soins diligents votre coeur s'abandonne. v.362 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  103. Pargué, j'irai fort bien, sans répugnance aucune: v.369 (Acte 1, scène 6, THALER)
  104. Pourquoi non ? M'est avis que j'y ferai fortune. v.370 (Acte 1, scène 6, THALER)
  105. Ne perdons point de temps, suivons notre projet. v.371 (Acte 1, scène 6, AGÉNOR)
  106. Que je fais une chose à mon coeur si contraire. v.374 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  107. Mais pour vous, Criséis, que ne ferait-on pas ? v.375 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  108. Adieu, forêts ; rochers ; adieu, caverne obscure, v.377 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  109. Je veux qu'une panthère, avec sa dent gloutonne, v.381 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  110. Ne fasse qu'un repas de toute ma personne. v.382 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  111. Si j'avais le secret de deviner la cause v.385 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  112. Nous nous épargnerions deux peines à la fois ; v.388 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  113. Mais, puisque sans parler je ne puis m'en instruire, v.390 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  114. Dites-moi, s'il vous plaît, depuis une heure ou deux, v.391 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  115. Il vous aime ; et, de plus, une suprême loi v.395 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  116. L'oblige à vous donner et sa main et sa foi : v.396 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  117. Et quand même il romprait une si douce chaîne, v.397 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  118. Agénor est un prince assez digne d'Ismène. v.398 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  119. Je veux bien avouer qu'un manque de couronne v.401 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  120. Est l'unique défaut qui soit en sa personne, v.402 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  121. Mais enfin un chagrin que je ne puis comprendre, v.405 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  122. Je le chasse, il revient ; et je ne sais pourquoi, v.407 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  123. On ne peut vous ôter le sceptre et la couronne ; v.409 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  124. Et le rang glorieux que le destin vous donne, v.410 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  125. Je vous l'apprends encor, si vous ne le savez, v.411 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  126. Écoutez-moi. La reine votre mère, v.413 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  127. Que, si d'aucun enfant il ne devenait père, v.417 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  128. Du trône athénien vous seriez l'héritière, v.418 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  129. La reine eut une fille ; et, l'aimant moins que vous, v.420 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  130. Et de mettre un enfant, pris d'une autre famille, v.422 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  131. Il semblait m'éviter et détourner ses pas. v.444 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  132. Ne lui fasse... v.446 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  133. C'est une étrange chose ! Il faut que les amants v.447 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  134. Voilà la jalousie aussitôt en campagne. v.453 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  135. D'une mouche on lui fait une grosse montagne : v.454 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  136. Et digne du courroux de la terre et des cieux. v.456 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  137. On doit, parfois, passer quelque fredaine aux hommes. v.458 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  138. Qu'enfin il m'a privé de sa vue importune ; v.477 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  139. Le diable l'a mené chercher ailleurs fortune. v.478 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  140. Qu'il a pris son parti, nous ne nous sommes vus ; v.480 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  141. Pour voir un animal qu'en ces lieux on amène, v.489 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  142. Et que le prince a pris dans la forêt prochaine. v.490 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  143. Tu rends assurément peu d'honneur au mérite. v.494 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  144. Et c'est mon centre, à moi. Bon vin, bonne cuisine ; v.505 (Acte 2, scène 2, STRABON)
  145. J'ai calmé les fureurs d'une guerre intestine. v.506 (Acte 2, scène 2, STRABON)
  146. Qu'on se rie à mon nez, et qu'on suive mes pas ; v.512 (Acte 2, scène 3, THALER)
  147. Morgué ! Je ne sais pas quelle graine c'est là. v.516 (Acte 2, scène 3, THALER)
  148. Jaune, gris, vert, enfin de toutes les peintures, v.518 (Acte 2, scène 3, THALER)
  149. De voir un gentilhomme avec si bonne mine, v.521 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  150. Un port si gracieux, une taille si fine. v.522 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  151. Je me donne au grand diable d'enfer v.524 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  152. Si seigneur à la cour, dans ses airs de conquête, v.525 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  153. Morguenne, il en agit rondement avec moi. v.532 (Acte 2, scène 3, THALER)
  154. Ils m'ont bien fait dîner : c'est un plaisir extrême v.533 (Acte 2, scène 3, THALER)
  155. L'on aurait plus d'honneur d'habiller un fagot. v.544 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  156. Ne tends pas tant le dos. Renfonce l'estomac. v.548 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  157. Prends d'un jeune seigneur la taille et le maintien. v.552 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  158. Que de votre intendant je prenne ici la place ; v.566 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  159. Je ne saurais souffrir toujours à mes côtés v.575 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  160. Tienne de tous mes faits un registre importun ? v.580 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  161. J'espère avec honneur remplir mon ministère, v.593 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  162. Ne vous y fiez pas, je vous en avertis. v.599 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  163. Quand je ne serais pas au rang de vos amis, v.600 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  164. Je publierais partout que l'on ne trouve guères v.601 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  165. Prenez-y garde au moins, car il ne va pas droit. v.604 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  166. On sait votre bon goût pour conduire une fête ; v.606 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  167. Nul n'entend mieux que vous à donner un repas, v.607 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  168. C'est un homme qui n'a l'âme, ni la main nette, v.609 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  169. Et qui gagne moitié sur tout ce qu'il achète. v.610 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  170. À gagner le procès le plus désespéré, v.612 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  171. À nettoyer un bien, à liquider des dettes v.613 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  172. Que dans une maison un long désordre a faites. v.614 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  173. Et ne fait pas un bail qu'il n'ait un pot-de-vin. v.616 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  174. Tu ne ris pas de ces deux bons amis ? v.623 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  175. Tu t'imagines bien que ma joie est extrême v.634 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  176. D'y voir certaines gens tout fiers de leur maintien, v.635 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  177. Qui ne déparlent pas, et qui ne disent rien ; v.636 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  178. J'ai, pour rire à plaisir, une vaste carrière. v.646 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  179. Elle veut déjà plaire et donner de l'amour. v.652 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  180. Je la voyais tantôt devant une toilette, v.654 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  181. D'une mouche assassine irriter ses attraits. v.655 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  182. Elle donne déjà le bon tour aux crochets. v.656 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  183. Une gorge timide et qui voudrait éclore. v.658 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  184. Ne ressent de l'amour quelque vive étincelle. v.662 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  185. Elle a de certains yeux, de certaines manières, v.669 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  186. Des souris attrayants, des mines meurtrières... v.670 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  187. Notre fortune ici serait faite à tous deux. v.676 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  188. L'amour est, je l'avoue, une belle manie: v.677 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  189. Il ne me manquait plus que d'être encor jaloux. v.680 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  190. Ces feux pour Criséis me donnent quelque ombrage. v.685 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  191. On ne peut faire mieux. v.688 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  192. Parlez pour vous ; d'ici je ne veux point sortir ; v.696 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  193. Qui d'un oeil curieux me tourne et me regarde ? v.702 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  194. Mon port lui paraît noble, et ma mine assez bonne ; v.705 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  195. La princesse a, je crois, dessein sur ma personne. v.706 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  196. Il ne faut point ici perdre le jugement, v.707 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  197. Mais en homme d'esprit tourner un compliment. v.708 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  198. Ces organes subtils, d'où votre esprit transpire, v.713 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  199. À votre air étranger, on devine aisément... v.715 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  200. J'en ai, sans me vanter, de la plus fine espèce. v.718 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  201. Un esprit méprisant ne m'a point fait parler ; v.719 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  202. C'est un honneur qu'il fait à peu de courtisans. v.727 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  203. Pour convive, je suis d'une assez bonne étoffe, v.729 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  204. Auprès de vos appas ne sont tout stupéfaits. v.735 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  205. À ne pas attaquer vainement une belle. v.738 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  206. Je me suis signalé par plus d'une victoire. v.753 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  207. Vous verriez tout mon coeur, par des soins éternels, v.755 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  208. Mais certaine raison, qui murmure en mon coeur, v.759 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  209. Cela ne va pas mal. J'arrive dans la cour, v.779 (Acte 2, scène 8, STRABON)
  210. Une belle me voit, je suis requis d'amour. v.780 (Acte 2, scène 8, STRABON)
  211. Courage, mon garçon ; continue ; encore une, v.781 (Acte 2, scène 8, STRABON)
  212. Et te voilà passé maître en bonne fortune. v.782 (Acte 2, scène 8, STRABON)
  213. Mais si je puis, seigneur, avec vous m'exprimer, v.785 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  214. Je ne te cache rien de l'état de mon âme. v.787 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  215. En moins d'un jour, au point de ne s'accroître plus. v.790 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  216. Ne remarques-tu point, comme moi, ses beautés ? v.793 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  217. Ses airs dans cette cour ne sont point empruntés ; v.794 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  218. Je ne sais. v.798 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  219. Mais, seigneur, quel est votre dessein ? v.798 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  220. Athènes, par un choix où chacun s'intéresse, v.800 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  221. Vous a fait souverain, sans aucune autre loi v.801 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  222. Que d'épouser Ismène, alliée au feu roi. v.802 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  223. Mais depuis le moment qu'une jeune bergère v.807 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  224. Mon penchant pour Ismène aussitôt m'a quitté. v.809 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  225. Je me sens entraîner tout d'un autre côté. v.810 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  226. Puisse à jamais régner cette nouvelle flamme ! v.812 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  227. Ont produit des objets dignes des plus grands rois ; v.814 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  228. Et le sort prend plaisir, d'une chaîne secrète, v.815 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  229. Je ne sais ce qu'annonce une telle aventure ; v.819 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  230. C'est votre honneur. v.830 (Acte 3, scène 2, THALER)
  231. Je ne veux point poursuivre, v.831 (Acte 3, scène 2, THALER)
  232. Et je ne sommes pas dignes de contredire. v.835 (Acte 3, scène 2, THALER)
  233. Ici j'ons plus d'honneur que je ne saurais dire ; v.836 (Acte 3, scène 2, THALER)
  234. Mais on nous fait un tour qui, tout franc, ne vaut rien. v.838 (Acte 3, scène 2, THALER)
  235. Il est de votre honneur de les faire tous pendre. v.847 (Acte 3, scène 2, THALER)
  236. Ne vous alarmez point, je vous le ferai rendre ; v.848 (Acte 3, scène 2, AGÉLAS)
  237. Mais tout chacun ici ne vous ressemble pas. v.853 (Acte 3, scène 2, THALER)
  238. Et qu'ici les plaisirs, les jeux, la bonne chère, v.855 (Acte 3, scène 2, AGÉLAS)
  239. Ahi ! Vous êtes, seigneur, par trop considérant. v.857 (Acte 3, scène 2, THALER)
  240. Mais, parlant par respect, l'honneur que l'on me rend v.858 (Acte 3, scène 2, THALER)
  241. Palsangué, te voilà comme une ridicule ! v.860 (Acte 3, scène 2, THALER)
  242. Que ne réponds-tu, toi ? Je m'embrouille toujours, v.861 (Acte 3, scène 2, THALER)
  243. Je ne sais, Criséis, si l'éclat de ces lieux v.865 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  244. Je ne sais si la cour vous plaît, vous dédommage v.867 (Acte 3, scène 3, AG?LAS)
  245. Seigneur, de vos bontés, qu'on aura peine à croire, v.871 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  246. Je ne me plaisais pas en des lieux pleins d'attraits, v.874 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  247. Où les dames surtout ne s'occupent qu'à plaire, v.876 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  248. Ne s'en trouve-t-il point quelqu'un assez heureux v.881 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  249. On dit qu'il ne faut point qu'avec trop de licence v.884 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  250. Une fille s'arrête à voir de tels objets, v.885 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  251. Vous prenez du plaisir en le voyant paraître ? v.891 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  252. Ne paraissent plus rien, et deviennent si laids v.894 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  253. Qu'on ne regarde plus tout ce qui l'environne. v.895 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  254. Aimeriez-vous un peu cette heureuse personne ? v.896 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  255. Je ne sais point, seigneur, ce que c'est que d'aimer. v.897 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  256. Non : l'on est dans les bois d'une froideur extrême. v.899 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  257. Qu'il m'aime, moi, seigneur ! Je me garderais bien, v.901 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  258. On parle dans ces lieux autrement qu'on ne pense ; v.903 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  259. Seigneur, je ne voulusse être déjà bien loin. v.910 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  260. Un animal venu d'une terre étrangère : v.912 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  261. Je ne suis point taillé pour habiter les cours. v.914 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  262. Non, seigneur, à tel point je ne puis m'oublier, v.917 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  263. Nous allions tous revoir notre ancienne demeure : v.920 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  264. Halte là, s'il vous plaît ; ne parlez que pour vous. v.922 (Acte 3, scène 4, STRABON)
  265. Seigneur, l'obscurité v.925 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
  266. Je ne répondrais pas mieux qu'elle vient de faire. v.932 (Acte 3, scène 4, STRABON)
  267. Où l'on ne fait jamais ce que l'on voudrait faire, v.936 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  268. Où tout le savoir-faire est un raffinement, v.938 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  269. Où les grands, les petits, sont, d'une ardeur commune, v.939 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  270. Attelés jour et nuit au char de In fortune ? v.940 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  271. Vous ne la prenez pas par ses plus beaux côtés. v.942 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  272. Convenez que toujours l'esprit, la politesse, v.944 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  273. Peuvent prétendre ici les honneurs dûs aux rois. v.950 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  274. Mais une autre raison, que près de vous j'emploie, v.951 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  275. Et qui vous comblera d'une parfaite joie, v.952 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  276. Je ne le suis que trop ! J'ai peine à me cacher. v.958 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  277. Chacun ne parvient pas à cet état heureux. v.961 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  278. Pour me déterminer j'attends peu son suffrage. v.972 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  279. Vous ne répondez rien. v.976 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  280. Mon silence, seigneur, répond assez pour moi. v.978 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
  281. Moi, seigneur ? v.982 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  282. Vos conseils ont sur elle une entière puissance ; v.983 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  283. Par grâce, de ce soin, seigneur, dispensez-moi : v.985 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  284. Je suis un faible agent auprès d'une maîtresse ; v.987 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  285. Reculerait, seigneur, plutôt que d'avancer. v.990 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  286. Puis-je, pour couronner mes amoureux desseins. v.993 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  287. Et je n'attendais pas l'honneur que je reçois. v.998 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  288. Il vient de m'ordonner de disposer votre âme, v.999 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  289. Il ne me faudrait plus qu'un caducée en main. v.1002 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  290. Je ne sais que dire. v.1007 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  291. J'étais, je vous l'avoue, en une peine extrême, v.1011 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  292. Et je ne savais pas si c'est bien ou ma1 fait : v.1014 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  293. J'ai senti dans mon coeur une flamme inconnue ; v.1020 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  294. En cessant de le voir, une tristesse affreuse v.1023 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  295. N'exciterait jamais une amoureuse flamme. v.1036 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  296. De se laisser mener par de tels animaux, v.1045 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  297. Redonner dans le piège où l'on les a vus pris : v.1050 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  298. À grand-peine échappés de leurs derniers naufrages, v.1051 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  299. Vous ne riez plus tant : quel chagrin vous tourmente ? v.1063 (Acte 3, scène 6, STRABON)
  300. Messieurs, servira-t-on ? Le dîner est tout prêt. v.1069 (Acte 3, scène 7, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  301. Allez vite. Écoutez : ferons-nous bonne chère ? v.1071 (Acte 3, scène 7, STRABON)
  302. Ils ont mis de leur art tout le raffinement. v.1074 (Acte 3, scène 7, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  303. Qui ne rirait de voir qu'avec un soin extrême v.1075 (Acte 3, scène 7, DÉMOCRITE)
  304. Et, si l'on agissait en bonne politique, v.1083 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
  305. Un homme ne fait point fortune en son pays ; v.1090 (Acte 4, scène 1, THALER)
  306. Que je sommes échus dans une bonne auberge ! v.1100 (Acte 4, scène 1, THALER)
  307. Vous ne devriez pas tenir un tel langage : v.1103 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  308. Je ne dis pas cela pour vous mettre en colère. v.1112 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  309. Dame ! On n'est pas un sot, quoiqu'on ne sache rien. v.1114 (Acte 4, scène 1, THALER)
  310. Ne va pas envers moi faire la mijaurée. v.1116 (Acte 4, scène 1, THALER)
  311. Je ne manquerai point à ce que je vous dois. v.1118 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  312. Ne va pas te gâter avec elles, v.1132 (Acte 4, scène 1, THALER)
  313. Ah ! Te voilà, Thaler ! Ta mine hétéroclite v.1136 (Acte 4, scène 2, DÉMOCRITE)
  314. Cela lui sied fort bien ; et cet air dédaigneux v.1141 (Acte 4, scène 2, DÉMOCRITE)
  315. Morguenne, elle aurait tort. J'entends, je veux, j'ordonne v.1147 (Acte 4, scène 2, THALER)
  316. Qu'elle vous y respecte autant que ma personne : v.1148 (Acte 4, scène 2, THALER)
  317. Je suis maître... une fois. v.1149 (Acte 4, scène 2, THALER)
  318. Je ne sais ; mais depuis qu'elle est en ce pays, v.1157 (Acte 4, scène 3, THALER)
  319. Aurait-on jamais cru que cette jeune plante, v.1160 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  320. A de ses faux brillants séduit son jeune coeur. v.1166 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  321. Car, sans t'en dire plus, tu t'imagines bien v.1169 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
  322. Oui, cela ne vaut rien. v.1170 (Acte 4, scène 3, THALER)
  323. Il faut abandonner la cour tout au plus vite. v.1171 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  324. Abandonner la cour ? v.1172 (Acte 4, scène 3, THALER)
  325. Il s'imagine donc que parce qu'il est roi... v.1178 (Acte 4, scène 3, THALER)
  326. Suffit, je ne dis mot. v.1179 (Acte 4, scène 3, THALER)
  327. Mais ils n'en croqueront, ma foi, que d'une dent. v.1181 (Acte 4, scène 3, THALER)
  328. Dieux ! Que fais-je ? Où m'emporte une indigne tendresse ? v.1183 (Acte 4, scène 4, DÉMOCRITE)
  329. Sur les autres répand une bile cynique : v.1188 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  330. Il ne faut point ailleurs aller chercher de quoi. v.1190 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  331. De sentir l'aiguillon d'une flamme perfide ! v.1192 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  332. Me commande, m'entraîne en dépit de moi-même. v.1196 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  333. Tu ne saurais saisir ces haines rigoureuses v.1199 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  334. Tu ne peux gourmander un penchant trop fatal, v.1201 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  335. Pour sauver notre honneur, remettons notre masque. v.1208 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  336. Et que venez-vous faire à la cour aujourd'hui ? v.1214 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  337. Prince, ni galopin, que vous ne fassiez rire. v.1224 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  338. Ismène ici m'envoie, et vous dit par ma bouche, v.1227 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  339. C'est vous, à ce qu'on dit, qui menez cette intrigue. v.1232 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  340. Vous... C'est une honte, à l'âge où vous voilà, v.1233 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  341. Je ne m'attendais pas à pareille aventure. v.1236 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  342. Vous me connaissez mal. C'est une chose étrange, v.1239 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  343. Quoi ! Le prince tantôt ne vous a pas commis v.1241 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  344. Ce jour verrait Ismène entre les bras du roi, v.1245 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  345. Mais pour ne point donner d'atteinte à votre gloire, v.1248 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  346. On voit sur votre tête une longue coiffure, v.1255 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  347. Il ne resterait pas un tiers de femme au plus. v.1258 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  348. L'affaire est en bon train pour la princesse Ismène : v.1267 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  349. Mais pour mon compte à moi, je suis assez en peine. v.1268 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  350. Il n'est rien que pour lui de bon coeur je ne fasse. v.1272 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  351. Ne s'acquiert point du tout à force d'abstinence. v.1276 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  352. Vous voyez un seigneur fort satisfait de soi, v.1281 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  353. Plus qu'à nul autre humain, cet honneur était dû. v.1285 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  354. Vous ne sauriez mieux faire : v.1287 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  355. Rien ne fait des amis comme la bonne chère, v.1288 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  356. Cet honneur, quoique grand, ne me toucherait guère, v.1291 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  357. Et l'on ne leur sert point, même en des jours de fêtes, v.1295 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  358. Qui ne sont amoureux que quand ils ont bien bu ; v.1298 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  359. De nos jeunes seigneurs c'est assez là manière. v.1303 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  360. Je ne sais quel attrait, et quel charme invisible v.1315 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  361. Mais ne puis-je savoir, en voyant tant de charmes, v.1323 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  362. Ce nous serait peut-être une source d'ennuis, v.1326 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  363. Rien de vous découvrir ne doit vous empêcher. v.1330 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  364. La femme, à mon avis, ne vaut pas beaucoup mieux. v.1334 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  365. Je ne sais. v.1337 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  366. Je ne saurais passer pour femme, à mon avis ; v.1342 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  367. Je ne suis, comme vous, homme, veuf, ni garçon : v.1346 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  368. L'aventure est très neuve. v.1350 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  369. Qui d'aucune vertu ne rachetait ses vices, v.1354 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  370. Ivrogne, débauché, scélérat, outrageux. v.1355 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  371. Jamais un tel démon ne sortit des enfers. v.1363 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  372. Bon ! Tout autre que moi ne l'eût point ménagée, v.1370 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  373. Où la fortune a-t-elle v.1373 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  374. Qui t'amène en ces lieux ? Qu'est-ce que tu prétends ? v.1388 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  375. Pourquoi n'es-tu pas morte ! Indigne, scélérat, v.1391 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  376. Pour t'amener ici, t'y remporte au plus vite. v.1398 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  377. Évite ma fureur ; retourne dans tes bois. v.1399 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  378. Il ne vous faudra pas me le dire deux fois. v.1400 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  379. J'aime mieux être ermite, et brouter des racines, v.1401 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  380. Revoyager vingt ans, nu-pieds, sur des épines, v.1402 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  381. La coquine aura su, par quelque ami présent, v.1407 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  382. Je ne veux point quitter des lieux où je suis bien. v.1412 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  383. Et puisque mon destin m'amène en ce séjour, v.1415 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  384. Mon bijou ne vient point. Voyez-vous ! Ces gens-ci v.1420 (Acte 5, scène 2, THALER)
  385. Vous promettont assez, mais ils ne tenont guère. v.1421 (Acte 5, scène 2, THALER)
  386. Vous ne savez pas ce qu'on me vient de faire ? v.1422 (Acte 5, scène 2, THALER)
  387. Bon ! Ne me l'ont-ils pas déjà pris ? v.1425 (Acte 5, scène 2, THALER)
  388. Le tour est digne de reproche. v.1430 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  389. On est si partroublé, qu'on ne sait ce qu'on fait. v.1432 (Acte 5, scène 2, THALER)
  390. L'autre une croquignole, enfin chacun s'empresse, v.1441 (Acte 5, scène 2, THALER)
  391. On me fait plus d'honneur que je ne vaux cent fois. v.1443 (Acte 5, scène 2, THALER)
  392. Morgué, j'ons de l'honneur ; v.1448 (Acte 5, scène 2, THALER)
  393. Et l'on ne m'entend point faire tant de fracas. v.1456 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  394. La fortune m'a bien joué d'un autre tour ; v.1463 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  395. Ils ne sont pas de moi. v.1472 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  396. Si mon fatal aspect ici vous importune, v.1477 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  397. Je vous permets d'aller chercher ailleurs fortune. v.1478 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  398. Où puis-je aller, pour fuir un si funeste objet ? v.1479 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  399. Ma haine, en te voyant, s'irrite dans mon âme, v.1493 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  400. Je ne vous connais point, mon ami, je vous jure. v.1497 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  401. Oui, je le soutiendrai. C'est, palsanguenne, vous v.1507 (Acte 5, scène 3, THALER)
  402. Me donner, infidèle, v.1513 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  403. C'est une belle fille, et laquelle, ma foi, v.1515 (Acte 5, scène 3, THALER)
  404. Ne vous ressemble guère. v.1516 (Acte 5, scène 3, THALER)
  405. Seigneur, il ne faut pas m'arrêter davantage : v.1517 (Acte 5, scène 4, DÉMOCRITE)
  406. Je veux que vous voyiez terminer une affaire ; v.1526 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  407. Par des noeuds éternels à Criséis m'engage. v.1530 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  408. Il ne faut point, seigneur, surprendre ma faiblesse v.1533 (Acte 5, scène 4, CRISÉIS)
  409. Par le flatteur aveu d'une feinte tendresse. v.1534 (Acte 5, scène 4, CRIS?IS)
  410. Vous respecter, seigneur, est tout ce que je dois. v.1536 (Acte 5, scène 4, CRIS?IS)
  411. Ont mis entre nous deux une vaste distance, v.1538 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  412. Ne va pas t'y fier ; ce n'est qu'un stratagème. v.1542 (Acte 5, scène 4, THALER)
  413. Seigneur, il court un bruit que je ne saurais croire ; v.1543 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  414. Le bruit qui se répand ne me fait nul outrage : v.1547 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  415. Seigneur, je vous l'apporte. v.1556 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  416. Oui ; c'est, seigneur, un bijou de famille. v.1560 (Acte 5, scène 5, THALER)
  417. Morgué, je ne suis point son père, v.1564 (Acte 5, scène 5, THALER)
  418. Je ne fais que lui prêter mon nom, v.1566 (Acte 5, scène 5, THALER)
  419. La drôlesse, un matin, s'en vint, bon jour, bonne oeuvre, v.1571 (Acte 5, scène 5, THALER)
  420. Ne dissimule rien. v.1574 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  421. Seigneur, j'ai satisfait aux ordres de la reine, v.1575 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
  422. Qui de son premier lit n'ayant pour fruit qu'Ismène, v.1576 (Acte 5, scène 5, CL?ANTHIS)
  423. Et lui voulant au trône assurer tous les droits, v.1577 (Acte 5, scène 5, CL?ANTHIS)
  424. Mais, hélas ! N'est-ce point une heureuse imposture ? v.1580 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  425. Seigneur, ce bracelet avecque ce rubis v.1581 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
  426. Il est temps qu'à présent, puisque le ciel i'ordonne, v.1583 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  427. Je remette à vos pieds le sceptre et la couronne. v.1584 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
  428. Je ne le puis tenir que de vos seuls bienfaits. v.1586 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
  429. Je ne me plaignais point du sort où j'étais née : v.1587 (Acte 5, scène 5, CRISÉIS)
  430. Le ciel ne nous a point fait naître l'un pour I'autre ; v.1592 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  431. De la perte du trône adoucir les regrets. v.1594 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
  432. Agénor à mes yeux vaut bien une couronne. v.1595 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  433. Seigneur... v.1596 (Acte 5, scène 5, AGÉNOR)
  434. Vous, dont je tiens cette aimable personne, v.1596 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  435. Demandez ; je ne puis trop vous récompenser. v.1597 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
  436. Seigneur, depuis longtemps je garde le silence ; v.1599 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  437. Un tel événement étourdit ma prudence : v.1600 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  438. J'ai peine à retrouver l'usage de la voix. v.1602 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  439. Deux yeux, deux yeux charmants, avaient, pour ma ruine, v.1607 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  440. Détraqué les ressorts de toute la machine. v.1608 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  441. La nature en nos coeurs ne perd jamais ses droits ; v.1610 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  442. Ne partez point ; il y va de ma gloire. v.1623 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  443. Faut-il que j'orne encor votre char de victoire ? v.1624 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  444. Je ne me trouve pas assez bien de la cour, v.1625 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  445. Seigneur, pour y vouloir faire un plus long séjour. v.1626 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  446. J'ai fait, en m'y montrant, une folie extrême ; v.1627 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  447. Ne soit plus exposée à cette épilepsie. v.1636 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  448. Allons pour couronner une si belle flamme. v.1640 (Acte 5, scène 6, AGÉLAS)
  449. Déjà, coquine, v.1643 (Acte 5, scène 7, STRABON)
  450. Tu voudrais me tenir, je le vois à ta mine. v.1644 (Acte 5, scène 7, STRABON)
  451. Je te pardonne tout, fais-moi grâce à ton tour ; v.1645 (Acte 5, scène 7, STRABON)
  452. Je ne serai pas seul qui, d'une âme enchantée, v.1647 (Acte 5, scène 7, STRABON)

LES FOLIES AMOUREUSES (1696)

  1. Et vous en prétendez donner effrontément v.11 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  2. Une en trois actes seulement ! v.12 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  3. Fi, fi, c'est une extravagance. v.13 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  4. M'en croirez-vous, messieurs ? Reprenez votre argent v.14 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  5. Hé ! Ne devons-nous pas nous intéresser tous v.19 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  6. À faire réussir une pièce nouvelle ? v.20 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  7. Moi, je n'y sais point de finesse ; v.25 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  8. Une heure au moins plus tôt qu'une autre pièce, v.27 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  9. On ne peut louer davantage ; v.29 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  10. Qui ne lui convient nullement. v.39 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  11. Embarrasser l'organe du génie v.45 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  12. Qu'on ne saurait parler aussi bien qu'eux. v.52 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  13. Je ne prétends point vous fâcher. v.55 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  14. J'en sais la conséquence, et je ne veux tâcher v.56 (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOUR)
  15. Que j'avertis le public bonnement v.62 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  16. Qu'une pièce n'a rien du titre qu'on lui donne... v.63 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  17. Oui, vous êtes tout-à-fait bonne ! v.64 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  18. Eh bien ! Monsieur, pourquoi me chagriner ? v.65 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  19. Moi, qui, comme un mouton, suis facile à mener. v.68 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  20. Là-dessus rien ne me peut forcer. v.72 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  21. Je ne jouerai point, Monsieur. v.74 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  22. La bonne cervelle ! v.76 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  23. Mais si vous ne jouez, la pièce tombera : v.81 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  24. Et pour ne point jouer un rôle, v.82 (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOUR)
  25. J'en ai, Monsieur, une très bonne. v.84 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  26. J'en ai, vous dis-je, et je ne suis point folle. v.85 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  27. Vous me prenez pour une idole ; v.88 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  28. Vous croyez me pétrir comme une cire molle ; v.89 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  29. Je ne saurais jouer, j'ai perdu la parole. v.93 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  30. Il ne veut point laisser jouer sa pièce. v.96 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  31. Si l'on veut l'obliger, on ne la jouera pas. v.98 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  32. On ne la jouerait pas ! Hé ! Pourquoi, je vous prie ? v.99 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  33. Oh ! Contre sa mutinerie, v.102 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  34. Venez donc lui parler. Tout le monde s'enroue v.105 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  35. Mais peut-être en a-t-il quelques unes. v.107 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  36. Ses raisons ne sont pas meilleures que les nôtres. v.108 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  37. Mardienne, monsieur, finissez ; v.112 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  38. Je suis la douceur même ; et je ne me tourmente v.116 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  39. Que quand les choses ne vont pas v.117 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  40. Que vous, vous condamnez son titre. v.130 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  41. Je ne dis jamais rien. Est-ce que je me mêle v.131 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  42. D'aller prôner mon sentiment ? v.132 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  43. Mais ce n'est qu'une bagatelle. v.137 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  44. La pièce est bonne, et je la soutiens telle. v.139 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  45. Diantre soit des censeurs et des donneurs d'avis, v.140 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  46. Puis, je ne sais ce que je dis. v.142 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  47. Ne sont-ce pas d'agréables folies, v.145 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  48. Que fait imaginer l'amour dans le moment v.147 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  49. De sottes gens qui ne peuvent se taire, v.154 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  50. On les connaît, on ne les croira guère. v.157 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  51. Il ne tiendra pas sa colère. v.160 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  52. Une personne fort jolie, v.166 (Prologue, scène 4, MONSIEUR-DUBOCAGE)
  53. Ne vous échappent pas. v.193 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  54. Seigneur Momus, votre divinité v.198 (Prologue, scène 5, MONSIEUR-DANCOUR)
  55. À notre corps fait une grace entière : v.199 (Prologue, scène 5, MONSIEUR DANCOUR)
  56. Venez-vous ménager quelque conquête sûre ? v.207 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  57. Et de n'en point changer on se fait une loi. v.213 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  58. Dans une tendre conjoncture, v.216 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  59. Ne trouvant plus là-haut de sujets de médire v.223 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  60. Et vous n'entendez plus parler de leurs fredaines), v.226 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  61. J'ai résolu, malgré les périls et les peines, v.227 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  62. J'amène une troupe choisie. v.232 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  63. Ne manquera pas de pratique, v.242 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  64. Vous venez, dites-vous, jouer la comédie ! v.245 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  65. Nous ne gagnons pas trop, le temps est malheureux. v.248 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  66. Je ne souffrirai point de concurrents semblables. v.249 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  67. Si vous m'irritez une fois, v.250 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  68. Nous ne prétendons point nuire à votre fortune. v.253 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  69. Joignons-nous de bonne amitié ; v.254 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  70. Et nous ferons bourse commune : v.256 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  71. Nous irons courir la campagne ; v.258 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  72. Nous dépensons plus qu'on ne gagne, v.260 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  73. Ne sont point artificielles, v.266 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  74. De qui les voix ne sont ni mâles ni femelles. v.268 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  75. Vous êtes, ce me semble, en peine ; v.274 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  76. Et vous auriez besoin de quelque scène, v.275 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  77. C'est une bagatelle. v.278 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  78. Je ne veux que quelques moments v.279 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  79. Nous autres dieux, nous ne saurions mal faire. v.282 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  80. Ce ne sera pas peu que de pouvoir lui plaire. v.286 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  81. Dont on peut sur la scène extraire des copies : v.292 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  82. Une savante à toute outrance, v.295 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  83. De l'Andrienne et de Térence : v.298 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  84. Qui se plaignent de l'injustice v.305 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  85. Bornent tous leurs exploits guerriers v.309 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  86. À lorgner dans une coulisse v.310 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  87. À contre-lorgner de sa part. v.313 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  88. Ne sont-ce pas là, je vous prie, v.314 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  89. Ah ! Tout beau, Monseigneur Momus ! v.316 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  90. Et ce ne sont point eux aussi que j'envisage v.321 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  91. Nous vous donnerons seulement v.323 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  92. Pour vous donner quelques plaisirs nouveaux : v.336 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  93. On ne fait pas ce chemin qu'il n'en coûte. v.337 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  94. Avec un pied de nez, et n'ayant pu vous plaire, v.339 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  95. Une troupe de dieux penauds. v.341 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  96. Si favorablement vous daignez l'écouter, v.345 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  97. Qui raille assez souvent, mais qui ne ment jamais, v.347 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  98. Que de ma veine satirique v.348 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  99. Fait pour le moins une folie. v.351 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  100. Je ne m'étonne plus que votre diligence v.361 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  101. Ait du Seigneur Albert trompé la vigilance. v.362 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  102. Que le ciel vous maintienne en ce dessein louable ! v.381 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  103. Il ne nous permet pas de fermer la prunelle ; v.393 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  104. Lui, quand il dort d'un oeil, l'autre fait sentinelle ; v.394 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  105. Brutal à toute outrance, avare, dur, hargneux. v.396 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  106. Qui depuis quelque temps et me gêne et m'accable, v.406 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  107. Tu ne sais pas encor quel est mon caractère, v.413 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  108. Il fait toute la nuit sentinelle en dedans, v.424 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  109. Pour mieux des ennemis rendre vains les efforts, v.431 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  110. Grâce au ciel, tout va bien. Une terreur secrète, v.433 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  111. Approchons. Qui va là ? Personne ne répond. v.447 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  112. Ce silence affecté ne me dit rien de bon. v.448 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  113. Est-ce donc vous, monsieur, qui faites sentinelle ? v.450 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
  114. Que venez-vous chercher en ce lieu, s'il vous plaît ? v.452 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  115. De dormir ce matin n'ayant aucune envie, v.453 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
  116. Dorment tranquillement, et ne vont point sitôt v.463 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  117. Prendre dans une cour ni le froid ni le chaud. v.464 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  118. Pour faire aux gens dormants une éternelle guerre, v.474 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  119. Commence son vacarme, et nous lutine tous. v.475 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  120. Une corde aux deux bouts fortement arrêtée : v.482 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  121. En personne d'esprit, sans bruit et sans chandelle, v.485 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  122. J'allai dans certain coin me mettre en sentinelle : v.486 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  123. Lui font avec le nez mesurer les montées. v.490 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  124. Avec une apostrophe au milieu de la face ; v.494 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  125. Et votre nez cassé me fit voir par écrit v.495 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  126. Je ne sais maintenant qui retient mon courage, v.501 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  127. Ah ! Par ma foi, monsieur, vous nous la donnez bonne, v.509 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  128. De croire qu'en quittant votre triste personne v.510 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  129. Une fille longtemps au célibat liée, v.513 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  130. Un vieux forçat qui rompt sa chaîne après trente ans ; v.516 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  131. Et je ne prétends pas te donner ce plaisir : v.524 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  132. Et vous, sans raisonner, rentrez en diligence. v.526 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  133. Je t'aime dans le fond, et plus que l'on ne pense. v.530 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  134. Et je vous aime aussi plus que vous ne pensez. v.531 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  135. Un bel amour, vraiment, à me casser le nez ! v.532 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  136. Mais je pardonne tout, et te donne promesses v.533 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  137. Si tu veux me servir dans une occasion. v.535 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  138. Vous avez trop d'esprit pour faire une sottise ; v.549 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  139. Jamais postérité de vous ne sortira : v.556 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  140. Qui t'a de deviner donné le privilège ? v.558 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  141. Mon_Dieu, je ne dis rien ; v.559 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  142. Sans dire la raison, vous la devinez bien. v.560 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  143. Ne te mets point en peine. v.561 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  144. Ce sera mon affaire, et point du tout la tienne. v.562 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  145. Sans trouver quelque embûche on ne peut faire un pas. v.564 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  146. Je tiens une brebis avec soin enfermée : v.566 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  147. Et pour ne craindre rien de leur noire furie, v.569 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  148. Et ne laisser partout qu'un peu d'entrée au jour. v.572 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  149. Je ne veux pas que cette invention v.575 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  150. Ainsi, dans ce dessein, funeste en conséquences, v.593 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  151. Pour me conduire ainsi j'ai de bonnes raisons. v.596 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  152. Si vous me choisissez pour prendre cette peine, v.601 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  153. Je vous le dis tout net, votre espérance est vaine. v.602 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  154. Je ne veux point tremper dans vos lâches desseins : v.603 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  155. Lisette ne vaut rien ; mais, de crainte de pis, v.619 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
  156. Je ne laisserai pas, quoi qu'on dise et qu'on glose, v.621 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
  157. J'aurais peine à le dire. v.630 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  158. J'ai servi volontaire un an dans la marine ; v.637 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  159. Et me sentant le coeur enclin à la rapine, v.638 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  160. J'ai porté le mousquet en Flandre, en Allemagne ; v.641 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  161. Et j'étais miquelet dans les guerres d'Espagne. v.642 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  162. Je ne sais que lui dire. v.646 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  163. Où je ne sache mettre un remède à propos ; v.656 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  164. Il ne s'en est fallu qu'un degré de chaleur v.659 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  165. Vous savez que l'habit ne fait pas la science ; v.662 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  166. Et je ne serais pas réduit d'être valet, v.663 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  167. Les Ardennes m'ont vu soutenir tout le feu, v.679 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  168. J'ai, dans le Milanais, payé de ma personne. v.681 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  169. Savez-vous bien, monsieur, que j'étais dans Crémone ? v.682 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  170. Rien. Je crois qu'on peut, quoique l'on en raisonne, v.685 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  171. Se promener ici, sans offenser personne. v.686 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  172. Oui : mais il ne faut pas trop longtemps y rester. v.687 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  173. Que l'on ne peut sitôt quitter votre entretien. v.692 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  174. De ne pas plus longtemps étourdir mon oreille. v.702 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  175. À vous dire le vrai, ce n'était pas la peine v.713 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  176. De venir de Milan ici tout d'une haleine, v.714 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  177. Pour nous en retourner d'abord du même train ; v.715 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  178. Vous pouviez m'épargner le travail du chemin. v.716 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  179. Ne badine donc point ; parle d'autre manière. v.721 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  180. Puisque vous souhaitez une phrase plus claire, v.722 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  181. Et je ne prétends point abandonner ces lieux, v.727 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  182. Que je ne sois nanti de l'objet de mes voeux. v.728 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  183. J'aurais pour le succès assez bonne espérance, v.730 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  184. C'est le nerf de la guerre, ainsi que des amours. v.732 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  185. Ne te mets point en peine ; Agathe, en mariage, v.733 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  186. Qu'une autre avec tout l'or qui séduirait tes yeux. v.736 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  187. Que rien ne pourra plus en effacer les traits. v.739 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  188. Je ne le connais point ; et lui, comme je pense, v.745 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  189. On ouvre la tranchée, on canonne la place, v.762 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  190. On avance en bon ordre, et l'on donne l'assaut ; v.764 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  191. C'est de même à peu près quand on prend une fille ; v.766 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  192. Et pour ne point donner des soupçons dangereux, v.775 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  193. La garde d'une fille est bien plus difficile. v.786 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  194. De peur qu'à cet aspect leur coeur ne s'épouvante : v.790 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  195. Venez, sous ces arbres épais, v.795 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  196. Je ne sais pas pourquoi ; mais enfin je soupire, v.805 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  197. Quand je suis près de vous, plus que je ne respire. v.806 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  198. Qui ne trouve en cela ni crime ni faiblesse, v.814 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  199. Et la plus ancienne, et la plus à la mode. v.822 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  200. En personnes d'esprit vous parlez l'une et l'autre. v.825 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  201. Oui, mignonne, v.833 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  202. J'ai déclaré l'amour qui pour moi t'aiguillonne. v.834 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  203. Pour moi tu nourrissais une sincère ardeur. v.836 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  204. Votre discrétion vraiment ne paraît guère. v.837 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  205. On ne peut être heureux, belle Agathe, et se taire. v.838 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  206. Vous ne deviez pas faire un tel aveu si haut. v.839 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  207. Et qu'on ne peut mentir avec plus d'impudence. v.841 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  208. Vous ne m'aimez donc pas ? v.842 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  209. Ne nous emportons point ; voyons tranquillement v.847 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  210. Vous n'en avez plus qu'une, encore branle-t-elle, v.854 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  211. Si j'ai pris pour lui plaire une inutile peine, v.857 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  212. Je veux, parlasambleu, mériter cette haine, v.858 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  213. Je vais en certain lieu la mener de ce pas, v.860 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  214. Que l'on me donne à moi toujours du même vin v.883 (Acte 3, scène 3, CRISPIN)
  215. On ne croira jamais qu'avec tant de beauté, v.887 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  216. Votre présence ici ne fait aucun besoin : v.899 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  217. Et ne vous y mettez qu'en bonne compagnie. v.909 (Acte 3, scène 3, AGATHE)
  218. Que le ciel enverra quelque honnête personne v.913 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  219. Pour faire enfin cesser les chagrins qu'on nous donne. v.914 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  220. Je ne veux point sitôt rentrer dans le logis, v.923 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  221. Pour donner tout le temps que les barreaux soient mis. v.924 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  222. Vous ne pouvez jamais prendre un plus beau dessein, v.931 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  223. Ne suive la manière et le train de ce temps. v.936 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  224. Et je suis si ravi, quand quelques bonnes âmes v.938 (Acte 3, scène 5, CRISPIN)
  225. Pour moi, je ne vois rien de si digne de blâme, v.941 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  226. Qu'un homme qui s'endort sur la foi d'une femme ; v.942 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  227. Croit qu'on fit pour lui seul une femme fidèle. v.945 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  228. Il faut faire soi-même, en tout temps, sentinelle ; v.946 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  229. Pour mieux déconcerter leur ruse et leur finesse. v.954 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  230. Sans être un peu jaloux, on ne peut être amant. v.963 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  231. Bien des gens cependant raisonnent autrement. v.964 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  232. Est plutôt le tyran que l'amant d'une belle : v.966 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  233. Il ne met son plaisir que dans le mal d'autrui. v.968 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  234. Assaisonner l'amour d'un peu de jalousie. v.978 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  235. Que le ciel vous maintienne en ces bons sentiments ; v.987 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  236. Et ne demeurez pas en ce lieu plus longtemps. v.988 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  237. Pauvre seigneur Albert, que vas-tu devenir ? v.991 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  238. Enfin, c'est cent fois pis que je ne puis vous dire : v.1013 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  239. On ne peut s'empêcher d'en pleurer et d'en rire. v.1014 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  240. Quel funeste malheur ! v.1015 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
  241. C'était des hurlements qu'on ne peut exprimer : v.1020 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  242. J'ai dit qu'on ouvre tout, et qu'aucun ne l'arrête. v.1022 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  243. Ne se peut-il point faire v.1029 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  244. Je l'aimerais encor mieux qu'une autre plus sage. v.1032 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  245. Ne se peut-il point faire v.1033 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  246. Qui le sait mieux que moi ? Ne vous l'ai-je pas dit ? v.1044 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  247. Elle a les yeux troublés, et la mine hagarde. v.1046 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  248. Voir une faculté faire en rond une danse, v.1061 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  249. Ne troublez pas le dieu qui me met en fureur. v.1068 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  250. Je suis seigneur Albert, qui te chéris, qui t'aime. v.1078 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  251. Une lettre, Crispin. v.1081 (Acte 3, scène 7, ERASTE)
  252. Que je n'ai point l'honneur d'être musicien. v.1091 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  253. Pourquoi donc, ignorant, viens-tu, ne sachant rien, v.1092 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  254. Vit-on jamais un âne essayer des bémols, v.1095 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  255. Tu n'es et ne seras qu'un sot toute ta vie. v.1101 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  256. Dans une sérénade, il montre son savoir ; v.1104 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  257. Qu'il fasse une musique, et prompte, et vive, et tendre, v.1105 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  258. C'est... comme qui dirait une fugue. v.1107 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  259. Une fugue, en musique, est un morceau bien fort, v.1108 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  260. Nous pourvoirons à tout, qu'aucun soin ne vous trouble. v.1110 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  261. La joie et le plaisir règnent dans ce séjour, v.1147 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  262. De grâce, ordonnez-lui v.1151 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  263. Mais vous m'avez tantôt traité d'une manière ! ... v.1158 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  264. Pardonnez mon erreur. v.1161 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  265. On ne me fit tel tour, pas même en Barbarie. v.1162 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  266. D'un objet si charmant, sans lui donner secours ? v.1164 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  267. Je ne puis exprimer mon obligation ; v.1172 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  268. Allez, je ne veux rien qu'elle ne soit guérie. v.1174 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  269. Nous sommes sans argent ; qui nous en donnera ? v.1191 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  270. Je ne puis revenir de tout ce que j'entends. v.1195 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
  271. Qu'une fille a d'esprit, de raison, de bon sens, v.1196 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
  272. Quand l'amour une fois s'emparant de son âme, v.1197 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
  273. Je ne puis demeurer en place un seul moment. v.1203 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  274. Pour ne vous pas donner ces marques d'amitié. v.1216 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  275. Mais il m'en a parlé dans des termes si nets, v.1219 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  276. Cette honnête personne exprès pour m'obliger ! v.1224 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  277. Je ne garantis point sa science profonde, v.1225 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  278. Il ne veut que la fin du jour pour tout délai. v.1231 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  279. Ah ciel ! Vous allez voir bien une autre folie. v.1237 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  280. Vous conserve gaillards, et vous maintienne en joie ! v.1242 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  281. Le chagrin ne vaut rien, et ronge les esprits ; v.1243 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  282. On trouverait encor des retours de jeunesse. v.1246 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
  283. Je fais quatre repas, et je lis sans lunettes. v.1250 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  284. Oui vraiment, du champagne encor, sans qu'il en reste. v.1254 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  285. Vienne la Saint-Martin. v.1257 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  286. La jeunesse est complète. v.1257 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  287. Et je ne laisse pas, à l'âge où me voilà, v.1259 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  288. Ils ne valent plus rien ; et pour en ramasser, v.1263 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  289. Tiens, je ne voudrais pas seulement me baisser. v.1264 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  290. Je ne paroîtrais pas la moitié de mon âge, v.1269 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  291. Si l'on ne m'avait mise à treize ans en ménage. v.1270 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  292. C'est tuer la jeunesse, à vous en parler franc, v.1271 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  293. Je ne me souviens pas d'avoir presque été fille. v.1273 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  294. La friponne, ma foi, joue, à charmer, ses rôles. v.1285 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  295. Ne me refusez pas, de grâce, cette somme. v.1294 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  296. Il ne faut pas, de front, heurter son sentiment. v.1296 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
  297. Ces cent louis prêtés donner un bon succès ! v.1304 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  298. Donne à mon procureur, Lisette, cet argent : v.1307 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  299. Qu'une veuve est à plaindre, et qu'elle a de tourments, v.1315 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  300. Quand elle a mis au jour de méchants garnements ! v.1316 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  301. J'en réponds corps pour corps, il est en bonne main. v.1320 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
  302. Votre homme ne vient point, et je m'impatiente. v.1322 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
  303. Je ne sais qui l'arrête : il devrait être ici. v.1323 (Acte 3, scène 6, ERASTE)
  304. Eh ! Monsieur, venez donc. Avec impatience v.1325 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  305. Je le vois aussi net qu'à travers un cristal. v.1336 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  306. Sans doute elle serait beaucoup mieux dans les siennes ; v.1341 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  307. Mais j'espère employer utilement mes peines. v.1342 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  308. Je guéris une fois l'infante de Congo, v.1347 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  309. Et de vous l'amener je vais prendre le soin. v.1360 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  310. Tout va bien. La fortune à nos voeux s'intéresse. v.1361 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  311. Ce malheureux Albert, qui ne la peut quitter : v.1368 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  312. Tant qu'il suivra ses pas, nous ne saurions rien faire. v.1369 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  313. Vous avez de l'esprit, je ne suis pas un sot, v.1371 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  314. J'imagine un moyen des plus fous ; mais qu'importe ! v.1373 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  315. Je m'offrirai d'abord à tout évènement. v.1379 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  316. Va, si de belle peur le vieillard ne trépasse, v.1381 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  317. Je l'instruirai de tout, je t'en donne parole. v.1385 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  318. Pour me donner le temps d'expliquer le mystère, v.1389 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  319. Albert ne peut tarder. Mais je le vois qui sort. v.1391 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  320. Un bonnet de dragon, un large cimeterre. v.1398 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  321. Elle ne parle plus que de sang, de combats : v.1399 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  322. Je ne puis plus rester inutile sur terre. v.1402 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  323. J'ai trouvé de l'argent pour faire ma campagne ; v.1405 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  324. Et cette nuit enfin je pars pour l'Allemagne. v.1406 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  325. Il ne tiendra qu'à toi de partir avec moi. v.1416 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  326. Mais quoi ! Que voulez-vous ? Je ne suis point leur fait, v.1423 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  327. Le beau sexe sur moi ne fit jamais d'effet. v.1424 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  328. La gloire est mon penchant, cette gloire inhumaine v.1425 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  329. À son char éclatant en esclave m'enchaîne. v.1426 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  330. Amène mes chevaux. L'occasion est belle ; v.1430 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  331. Je ne la quitte pas, v.1431 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  332. Ordonnez qu'on apporte un fauteuil vitement. v.1436 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  333. D'aller aux ennemis arracher la victoire ! v.1438 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  334. La baïonnette au bout du fusil. Ferme ; bon : v.1443 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  335. Son mal, à mon avis, ne provient d'autre chose v.1450 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  336. Que d'une humeur contrainte, un esprit irrité, v.1451 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  337. Je vous baise les mains, et vous donne parole v.1461 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  338. Que je n'en ferai rien : je ne suis que trop folle. v.1462 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  339. On ne saurait agir avec trop de prudence. v.1465 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  340. Et vous mettre en état de ne pouvoir répondre. v.1474 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  341. Un genou contre terre, et vous tenez bien là, v.1476 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  342. Votre main dans la sienne étroitement serrée. v.1478 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  343. Ne consentez-vous pas qu'il lui donne la main, v.1479 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  344. Ne perdons point de temps, quittons cette demeure. v.1506 (Acte 3, scène 11, ERASTE)
  345. Ce bois nous favorise ; Albert ne saura pas v.1507 (Acte 3, scène 11, ERASTE)
  346. J'apporte un élixir d'une force étonnante... v.1513 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  347. Mais je ne vois plus rien. Quel soupçon m'épouvante ? v.1514 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  348. Allons, suivons leurs pas ; ne nous arrêtons plus. v.1523 (Acte 3, scène 12, ALBERT)

LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES. (1691)

  1. Vous en avez menti, messieurs les commis de la barrière, je ne dois rien : vous êtes des fripons. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  2. On est plus assuré au milieu des bois que dans ce maudit pays-ci : on ne saurait faire un pas qu'on ne trouve un filou. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  3. Il n'y a pas une demi-heure que je suis arrivé dans Paris, et me voilà déjà presque tout déshabillé... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  4. À peine suis-je entré dans la ville, qu'on fait derrière mon cheval l'opération à ma valise ; on en tire les hardes, et on la fait accoucher avant terme. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  5. Je fais deux pas dans la rue, un fiacre me couvre de boue depuis les pieds jusqu'à la tête ; un porteur de chaise me donne d'un de ses bâtons dans le dos : il vient un homme me saluer ; je lui ôte mon chapeau, un coquin par derrière m'arrache ma perruque ; et, pour comble de friponneries, on veut me faire payer l'entrée à la porte comme bête à cornes, parce que je viens pour me marier... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  6. N'ai-je là personne ? (Acte 1, scène 3, COLOMBINE)
  7. Mademoiselle, c'est que j'achevais ma main au lansquenet. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
  8. N'est-il venu personne me demander ? (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  9. Il est venu cinq ou six personnes ; mais j'ai oublié leurs noms et ce qu'elles m'ont dit. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
  10. Venez çà ; allez chez ma couturière, et dites-lui que je veux avoir mon habit aujourd'hui. (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  11. Ne lui dirai-je pas aussi de nous faire des culottes ? (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
  12. La mienne est toute déchirée entre les jambes, et ma chemise passe, révérence parler, par... (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
  13. Hé bien, cousine, as-tu bientôt mis la dernière main à ton visage ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  14. Je sais bien, sans vanité, que j'ai quelque agrément ; mais avec un peu de beauté, et trois ou quatre mouches sur le nez, une fille ne va pas loin dans le siècle où nous sommes. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  15. Nous commençons tout doucement à monter en graine, et nous sommes assez fortes pour bien soutenir une thèse en mariage. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  16. Crois-tu, cousine, que j'aie le coeur plus dur que toi ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  17. Je sens quelquefois qu'une fille n'est pas née pour vivre seule ; je t'avouerai même que j'emploie tout mon esprit pour attirer quelque amant dans le filet conjugal. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  18. Mais les hommes sont des pestes de poissons rusés qui viennent badiner autour de l'appât, et qui mordent rarement à l'hameçon. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  19. Quoique le mariage ne soit plus guère à la mode, les hommes ont beau faire, ils ne sauraient se passer de nous. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  20. Leur répugnance pour le mariage vient de la simplicité des filles qui ne savent pas jouer leur rôle. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  21. Je ne m'applique nuit et jour à autre chose. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  22. C'est ce que je ne conçois pas. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  23. On sait bien qu'il y a de certaines avances qui accrochent quelquefois. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  24. Mais vous en aurez menti, messieurs les soupirants ; et si j'accorde quelque faveur, ce ne sera, ma foi, que par-devant notaire, et en vertu d'un bon parchemin bien signé. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  25. Cependant ce n'est pas une chose si difficile que tu le penses, d'engager un homme. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  26. Savoir risquer un billet dans son temps, marcher sur le pied à l'un, tendre la main à l'autre, se brouiller avec celui-ci, se raccommoder avec celui-là : crois-moi, avec ce petit manège-là, il faut, bon gré, mal gré, que quelque bête donne dans les toiles. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  27. Il me semble que tu copies assez bien une coquette d'après nature. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  28. Prends-y garde, au moins : on ne fait plus guère de fortune à ce métier-là. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  29. Cousine, le monde m'en a plus appris qu'à toi, et je te suis caution qu'une fille n'est piquante qu'autant qu'elle a pris sel dans la coquetterie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  30. Ce ne sont pas là les maximes de ma mère, qui me prône tous les jours que la coquetterie est l'antipode du mariage ; et j'ai ouï dire cent fois à mon oncle qu'une fille coquette ressemble à ces vins pétillants dont tout le monde veut tâter, et dont personne ne veut acheter pour son ordinaire. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  31. Voilà-t-il pas mes contes de grand'mères, qui condamnent dans leurs enfants les plaisirs que l'âge leur refuse ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  32. Je veux, moi, te donner des conseils pour le mariage, plus courts et plus faciles : et afin que tu les retiennes mieux, je vais te les lire en vers. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  33. Une fille qui veut se faire v.1 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  34. Elle sait finement, par un mélange heureux, v.9 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  35. N'en perds pas une syllabe. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  36. Portrait d'une Coquette, ou la vraie morale d'une Fille à marier. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  37. Je ne sais pas comment sera le reste, mais le début est fort vif. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  38. Un roi ne paierait pas tout ce qu'on lui promet : v.21 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  39. Rien ne se démentira. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  40. Un mari ne se prend pas comme un oiseau ; il faut bien d'autres piéges. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  41. Je te dis qu'en amour ils sont si niais, qu'une fille qui sait un peu son métier en va duper trente à la fois. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  42. Le robinet des pleurs s'ouvre et ferme à son gré ; v.29 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  43. Crois-moi, cousine, en cet état, v.31 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  44. Si quelque dupe enfin ne tâte du contrat. v.33 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  45. Il entre bien des ingrédients dans la composition d'une coquette. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  46. Je n'y gagnerais pas de l'eau : toutes les filles savent cela. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  47. Dans le fond, on n'a que de bonnes intentions. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  48. Et quel reproche peut faire un homme quand une fille ne le trompe qu'en vue de mariage ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  49. Ta mère t'attend : va, va, elle est la maîtresse, elle attendra tant qu'elle voudra : demeure ici ; tu en apprendras plus avec moi en un quart_d_heure, que tu ne feras en toute ta vie avec ta mère. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  50. C'est une façon de mari. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  51. Ne t'ai-je pas dit cent fois que j'aime tout le monde sans aimer personne. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  52. Mon père m'a défendu de le voir, parce qu'il me destine à un bailli du Maine, qui doit arriver dans peu. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  53. Ne suis-je pas bien malheureuse ! (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  54. Car imagine-toi ce que c'est qu'un bailli, et un bailli du Maine ! (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  55. Oui, mademoiselle, nous avons résolu cela : et s'il ne vous épouse, je vous épouserai, moi. (Acte 1, scène 8, MEZZETIN)
  56. Cousine, voilà un gibier à trébuchet. (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
  57. Ne parlons point d'amour, si ce n'est en chansons. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  58. Vous chantez bien : voilà ma cousine qui accompagne parfaitement du clavecin : je veux vous entendre ensemble. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  59. Mezzetin, prenez bien garde que mon père ne vienne. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  60. Tu me mets là, cousine, à une rude épreuve. (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
  61. Je ne dors ni ne veille ; je sens toujours là un tintamarre, comme s'il y avait un régiment de lutins. (Acte 1, scène 9, PIERROT)
  62. Ne vous avais-je pas prié de n'y plus venir ? (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
  63. Puisque monsieur vous l'a défendu, pourquoi y revenez-vous ? (Acte 1, scène 9, PIERROT)
  64. Mais, monsieur, encore une fois, je n'ai que faire de vos révérences : répondez à ce que je vous demande. (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
  65. Vous ferez bien, messieurs de la révérence, de ne regarder ma porte qu'avec une lunette ; je vous saluerais d'une manière... (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  66. Et vous, mademoiselle l'impertinente, ne vous ai-je pas défendu de le voir ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  67. Ne t'ai-je pas dit que je ne voulais pas que tu songeasses davantage à cet homme-là pour être ton époux ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  68. Écoutez, ne m'échauffez pas les oreilles ; il y a des maisons à Paris où l'on réduit les filles désobéissantes. (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  69. Voilà une nouvelle manière de répondre. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  70. J'attends aujourd'hui un gendre qui me vient du Bas-Maine ; je veux envoyer savoir s'il est venu. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  71. Un homme du Maine pour être le mari de votre fille ? (Acte 1, scène 11, PIERROT)
  72. Monsieur, n'en faites rien ; il ne vient que des chapons de ce pays-là. (Acte 1, scène 11, PIERROT)
  73. Une bougie ? (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  74. Est-ce que tu n'entends pas que je demande une bougie pour cacheter une lettre ? (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  75. Pardonnez-moi... mais... c'est que... en vérité... mademoiselle ; je m'en vais... (Acte 1, scène 12, PIERROT)
  76. Pour moi, je ne sais plus quelle maladie a attaqué le cerveau de cet animal-là : il ne voit plus, il n'entend plus ; il a assurément quelque chose de brouillé dans son timbre. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  77. Tu veux donc que je cachette une lettre avec un manchon ? (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  78. Je te demande une bougie, m'entends-tu ? Je crois qu'il me fera perdre l'esprit. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  79. Voilà une nouvelle folie que je ne lui connaissais pas encore. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  80. Tenez, voilà une lettre qui vous dira tout cela. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
  81. Autre chose ne peut vous dire votre très humble serviteur et fidèle amant, Pierrot. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  82. En vérité, je suis ravie d'avoir fait une pareille conquête. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  83. Mademoiselle, je sais bien que mon mérite n'est pas capable de mériter ;... mais, d'un autre côté,... voilà que l'occasion,... votre beauté... Je ne suis pas bien riche ; mais, ma foi, je suis un bon garçon. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
  84. La conquête de Pierrot n'est pas bien illustre : je sens néanmoins une secrète joie de voir que rien ne m'échappe. (Acte 1, scène 13, COLOMBINE)
  85. Quelque sévérité qu'affectent les femmes, elles ne sont jamais fâchées de s'entendre dire qu'on les aime. (Acte 1, scène 13, COLOMBINE)
  86. En vérité, monsieur Nigaudin, j'ai lieu de louer votre diligence : nous ne devons partir pour la Comédie que dans deux heures, et je suis ravie de pouvoir pendant ce temps-là profiter de votre conversation. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  87. Mademoiselle, quand il s'agira de venir vous offrir ses hommages, on n'obtiendra point de défaut contre moi : en cas de rendez-vous auprès des dames, je ne me laisse jamais contumacer, et je me rends bien vite à l'ajournement personnel. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  88. Moi, mademoiselle ! Je ne vous demande rien ; vous me prenez donc pour un escroc ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  89. Ne me parlez point des gens d'épée ; ils n'auraient jamais rien à vous dire, s'ils ne vous étourdissaient de leurs bonnes fortunes, et s'ils ne vous faisaient le calcul du nombre des bouteilles qu'ils ont vidées. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  90. Pour moi, je ne conçois pas bien la manie de la plupart des femmes d'aujourd'hui ; on ne saurait leur plaire, si l'on ne revient de Flandre ou d'Allemagne, et si l'on ne rapporte à leurs pieds un coeur tout persillé de poudre à canon. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  91. Ma foi, il y a bien de l'entêtement ; car, entre nous, il n'y a point de gens qui tiennent une procédure si irrégulière auprès des dames que les gens de guerre : ils sont brusques et entreprenants sur le fait des faveurs, et n'observent jamais les délais fixés par l'ordonnance de l'amour. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  92. Il est vrai qu'on n'est point en sûreté contre leurs entreprises ; et quand ils sont chez les dames, ils s'imaginent être dans un quartier d'hiver à vivre à discrétion. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  93. Qu'on n'ait du coeur. Je voudrais que vous me vissiez aux buvettes : je fais tout trembler ; et si tous mes confrères les praticiens me ressemblaient, il ne se recevrait pas le quart des nasardes qui se donnent tous les jours. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  94. Je gagerais, à votre air, que vous opinez l'épée à la main ? (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  95. Et je vous prendrais quelquefois pour un colonel de robe. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  96. Je sens quelquefois des convulsions de bravoure que je ne saurais retenir. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  97. J'étais né pour la guerre : mais mon père, voyant que j'avais trop d'esprit pour ce métier-là, me mit dans notre présidial de Beauvais, et m'acheta une charge d'assesseur. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  98. Tout franc, mademoiselle, je ne me plains pas de mes lumières, et je vous avoue que j'ai une pénétration d'esprit qui me surprend quelquefois. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  99. Dans tous les procès, il n'y a qu'une routine. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  100. L'une des parties m'avait envoyé un carrosse de cent pistoles, et l'autre deux chevaux gris de six cents écus ; vous jugez bien qui avait le bon droit ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  101. Je sais que deux chevaux gris mènent un procès bien rondement. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  102. Mon ami, je crois que tu ne me connais pas. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  103. Pour plus grande sûreté, vite, qu'on me donne ma robe. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  104. Je ne vais jamais sans cela : on ne sait pas ce qui peut arriver. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  105. Ne vous y fiez pas ; vous auriez toutes les robes du Palais sur le corps, qu'il... (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  106. Si tu ne me laisses entrer, je mettrai le feu à la maison. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  107. Le voilà qui entre. Tenez, cachez-vous vite sous cette table-là, et ne remuez pas. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  108. Mordi, mademoiselle : il est plus difficile d'entrer chez vous que de prendre trois demi-lunes l'épée à la main. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  109. Si vous ne changez de portier, ma foi, il faudra rompre tout commerce avec vous. (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  110. Une cravate de Malines qui n'est plus propre qu'à faire de la charpie ! (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  111. Voilà qui est fait, je ne rends plus de visites qu'à des portes bâtardes. (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  112. Il est vrai qu'une jolie personne comme vous est un redoutable ouvrage à cornes. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  113. Je ne suis pas mal fait, oui ; je dois ma taille à une douzaine de bouteilles de vin que je bois réglément par jour : un grand ventre sied bien à la tête d'un bataillon. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  114. Voilà vos inquiétudes qui vous prennent ; vous voudriez déjà être hors d'ici, et vous ne songez pas qu'il y a un siècle qu'on ne vous a vu. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  115. Je ne m'accommode point de vos neutralités. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  116. Monsieur, je ménage tout le monde pour des raisons particulières ; mais je sais donner la préférence à qui le mérite. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  117. Je me distingue en voyant des gens de cour ; les officiers me font plaisir ; je trouve des ressources avec les financiers : et pour peu qu'on aime les bagatelles, c'est le moins qu'on puisse avoir que deux ou trois petits abbés dans une maison. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  118. Pour les abbés, passe : on sait bien que cette graine-là est nécessaire aux femmes : mais j'enrage de voir à vos trousses un tas de gens de robe, qui sont pour la plupart des croquants, à qui l'esprit n'a été donné que comme le sel aux jambons pour les conserver. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  119. Et puis les affaires viennent sans qu'on y pense ; on a tous les jours, malgré soi, des procès ; et vous savez qu'auprès d'un juge sensible, l'enjouement d'une jolie femme est toujours la meilleure pièce d'un sac. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  120. Vous voyez entre autres un certain... Trigaudin... Nigaudin ; un petit friquet de chicane. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  121. Fi, monsieur, ne m'en parlez point ; je ne le saurais souffrir : c'est une éponge à sottises. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  122. Ce n'est rien, monsieur ; on ne peut pas toujours se porter si bien que vous. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  123. Je le crois, ma foi, qu'il est hon ; il y a plus de trente ans que je m'en sers jour et nuit ; je ne suis pas comme ces femmes qui le mettent le soir sur leur toilette. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  124. Mon capitaine, ne voulez-vous pas arrêter les parties de ce marchand a fourni les justaucorps de la compagnie ? (Acte 1, scène 17, LE-SERGENT)
  125. C'est-à-dire, monsieur le capitaine, que vous ne manquez pas de moyens pour trouver de l'argent. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  126. Pour une demoiselle, il me semble que vous avez là un vilain mâtin sous votre table. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
  127. Mon capitaine. (Acte 1, scène 17, LE-SERGENT)
  128. La Violette, laquais, prenez ma robe. (Acte 1, scène 17, NIGAUDIN)
  129. Mon petit ami, si vous ne dénichez au plus vite, je vous ferai amoureusement descendre par la fenêtre. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
  130. Monsieur le capitaine, vous êtes un extravagant de vous emporter sans raison. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  131. N'ai-je pas fait mon devoir de faire cacher monsieur pour vous épargner du chagrin ? (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  132. Il n'y a qu'un homme de robe et officier d'un présidial capable de tousser quand on le cache sous une table. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  133. Adieu, monsieur ; nous ne serons pas toujours seul à seul ; et s'il vous tombe jamais quelque décret sur le corps, je vous apprendrai ce que c'est que de scandaliser un juge chez des femmes. (Acte 1, scène 18, NIGAUDIN)
  134. Va, va, petit regrattier de la justice, je me moque de toi et de tes décrets ; je suis en garnison dans une bonne citadelle. (Acte 1, scène 18, LE-CAPITAINE)
  135. On ne traite pas comme cela un conseiller assesseur, et je m'en plaindrai à votre citadelle. (Acte 1, scène 18, NIGAUDIN)
  136. Monsieur, je viens de chez votre notaire ; il vous prie bien fort de l'excuser ; il ne saurait venir aujourd'hui. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  137. Il faut prendre patience, pourvu qu'il vienne demain. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  138. Ni demain non plus : il lui est survenu une petite affaire ; je ne crois pas qu'il puisse venir si tôt. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  139. Tu as raison ; je ne crois pas qu'il revienne de longtemps. C'est bien dommage ; c'était le seul honnête homme de notaire que j'aie encore trouvé. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  140. Oui, monsieur ; pour celui-là, on m'a dit qu'il était arrivé par le poulailler du Maine, et qu'il demeurait tout rasibus de chez nous. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  141. Je me déferai peut-être à la fin de ma fille, et je ne verrai plus dans ma maison des animaux de toute sorte d'espèces, et particulièrement cette assemblée de femmes, ou plutôt cette académie de folles qui s'y tenait. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  142. Tout franc, monsieur, je commençais à être bien las de toutes ces visageresses, et j'étais résolu de prendre mon congé ou de vous donner le vôtre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  143. Ma fille Colombine ? (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  144. Je ne sais, maraud, à quoi il tient que je ne t'assomme de coups. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  145. Mais, monsieur, il ne faut pas se fâcher ; cela n'est pas si inégal. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  146. Je suis un garçon, une fois, et elle est une fille ; et puis, monsieur, je ne sais ce que c'est que de faire le blêche : vous me donnez quinze écus par an ; j'aime mieux n'en gagner que dix et être votre gendre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  147. Tenez, voilà votre diable de bailli ; est-ce qu'il est mieux fait que moi ? (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  148. Vous avez une fille : ergo vous êtes pourvu d'une drogue dont vous voudriez être défait ; car une fille, c'est une fleur qui se fane, si elle n'est cueillie dans sa saison ; c'est un quartaut de vin de Champagne qui jaunit, s'il n'est bu dans sa primeur. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  149. J'espère, monsieur, que vous ne vous repentirez pas de l'affaire que vous faites ; car je puis vous assurer que je vous livre une fille toute neuve, et qui vous fera dans la suite un très bon usé. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  150. Cette marchandise-là ne dure toujours que trop. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  151. Je n'ai aucune mauvaise qualité ; je hais le vin à la mort ; j'ai une aversion incroyable pour le jeu, et je suis fort aisé à vivre : je ne crois pas avoir assommé plus de vingt paysans ; et si, ce n'était que pour des bagatelles, quelques rentes seigneuriales. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  152. Voilà cet homme si doux, qui ne joue et qui ne boit pas ! (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  153. Vous m'assurez que sa dot ne court point de risque entre vos mains, et que vous ne jouez point ? (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  154. Je porte quelquefois des cartes et des dés par complaisance ; mais je ne m'en sers qu'en compagnie, et je vous assure que si j'étais seul je ne jouerais jamais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  155. Je vous l'ai toujours dit, monsieur ; il n'y a que les mauvaises compagnies qui gâtent la jeunesse. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  156. Je vois pourtant là quelque chose qui a assez la physionomie d'une bouteille. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  157. Il l'a ; ce n'est que de l'eau-de-vie que je porte à une femme de qualité qui est en couche. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  158. Allons, allons, il faut passer par là-dessus : on ne fera pas un homme exprès pour moi. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  159. Pierrot, dis à Colombine qu'elle vienne saluer monsieur. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  160. Est-ce là cette fille si neuve ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  161. Si on me l'emprunte comme cela quand elle sera ma femme, elle ne durera pas si longtemps que je pensais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  162. En tout cas, si dans six mois ou un an je ne m'accommodais pas de votre fille, en perdant quelque chose dessus, vous la reprendriez. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  163. On ne parle point du loup qu'on n'en voie la queue. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  164. Tenez, la voilà. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  165. Ne vous avais-je pas bien dit qu'elle viendrait souper avec vous ? (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  166. Il n'y a point de fille à Paris si bien morigénée ; elle ne couche jamais en ville. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  167. Ma fille, voilà le bailli en question : tu ne voudras peut-être pas lui ouvrir ton coeur en ma présence ? (Acte 2, scène 3, TRAFIQUET)
  168. Monsieur, je ne vous rends pas un méchant office de vous laisser seul avec votre maîtresse. (Acte 2, scène 3, TRAFIQUET)
  169. Ne vous étonnez pas, mademoiselle, si vous me voyez reculer trois pas au frontispice de vos charmes : vous avez des yeux capables d'embraser tout le bailliage de mon coeur ; et depuis qu'on porte des bouches, on n'a jamais bouchonné un bouchon si bouchonnable. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  170. Il est vrai que pour des compliments, il n'y a personne dans notre province qui ose me prêter le collet. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  171. J'ai harangué une fois notre intendant pendant deux heures, avec tant d'éloquence, qu'il s'endormit tout debout, et ne s'éveilla qu'une heure après que j'eus fini. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  172. Sitôt qu'il y a un fat dans un pays, on l'y envoie ; c'est le rendez-vous de tous les sots de la France ; et, de tous les Parisiens, je ne vois que les Normands et les Manceaux qui aient un peu de brillant. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  173. À vous entendre parler, vous ne paraissez pas content des cavaliers de ce pays-ci ; et les dames, qu'en dites-vous ? (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  174. La la ; elles sont d'assez bonne amitié : j'en ai trouvé quelques unes de jolies en mon chemin ; mais, tout franc, je n'en ai point encore vu une de votre calibre. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  175. Oui-da, oui-da, je trouve qu'elles se coiffent raisonnablement haut, et je crois que leurs maris ne sont guère coiffés plus bas, (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  176. Vous voyez bien qu'il n'y a point de lieu où une femme soit si façonnière. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  177. Et, s'il vous plaît, quand une femme revient du bal à cinq heures du matin avec un cavalier, qu'elle éveille toute la maison, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  178. Ils ne disent rien ; dès que la femme est rentrée, ils se rendorment. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  179. Mais, je vous prie, lorsqu'une femme vend ses pierreries pour faire l'équipage de quelque galant homme qui va à l'armée, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  180. Je ne m'en dédis point, voila de bonnes gens que ces Parisiens-là. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  181. Vaille que vaille, puisque j'ai fait les frais du voyage, je vous épouserai ; mais à condition que, dès le lendemain de la noce, vous vous mettrez dans la carriole du Mans pour venir régenter les chapons de ma basse-cour : l'air de Paris donne trop de maux de tête. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  182. Quelque loi que vous m'imposiez, elle me paraîtra toujours douce, pourvu que je sois sûre de passer avec vous le reste de mes jours : vous me tenez lieu de tout ; et du moment que je vous ai vu, j'ai senti pour vous... (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  183. Ne m'obligez pas de m'expliquer ; j'en dirais peut-être plus que je ne veux. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  184. Les filles de ce pays-ci sont faites avec des étoupes ; il ne faut qu'une étincelle... (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  185. J'ai une grâce à vous demander : les filles, comme vous savez, ont beaucoup d'ambition sur le fait du mariage ; j'ai eu toute ma vie une noble horreur pour les baillis du Maine ; ne pourriez-vous point changer de charge, et vous faire homme de qualité ? (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  186. Mais, en achetant une charge de marquis, n'oubliez pas, s'il vous plaît, de vous faire donner les airs déhanchés de ces messieurs-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  187. Je n'en ai que faire : quand on a été toute sa vie élevé dans le Bas-Maine, les airs de cour ne sont que trop familiers. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  188. Adieu, ma belle enfant ; touchez là : dans une heure au plus tard je vous fais marquise ou baillivesse ; vous choisirez. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  189. Une fille un peu savante sur l'article le manie comme un chamois. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  190. Je vous prie, mademoiselle ma fille, de ne point m'échauffer les oreilles ; je sais ce qu'il vous faut, et c'est à vous d'obéir quand je vous ai choisi un mari, entendez-vous ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  191. Comme je suis une partie des plus intéressées dans l'affaire, je crois, mon père, que mon choix est du moins aussi nécessaire que le vôtre ; et je vous dirai franchement que cet homme-là n'est point fait pour moi. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  192. Mais voyez, je vous prie, comme cela fait la raisonneuse ! (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  193. Je vous dis encore une fois, mon père, laissez-moi mener cette affaire-là. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  194. C'est un homme qui se présente de front au mariage, et ne sait pas ce que c'est qu'un préliminaire d'amour. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  195. Oui, s'il vous plaît ; il ne faut point tant faire de gestes et de grimaces : est-ce qu'il lui manque quelque chose ? (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  196. Je ne dis pas cela. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  197. Que ne parles-tu donc ? (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  198. Voyez, je vous prie, quand on ne s'entend pas. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  199. Tu réponds dignement aux soins que j'ai pris de ton éducation. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  200. Tu me promets donc de ne plus songer à cet étourdi ? (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  201. Je ne le verrai de ma vie ; c'est un homme que je ne puis souffrir. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  202. Et moi, pour reconnaître ton obéissance, je te promets d'augmenter ton trousseau de six chemises, et d'aller te voir toutes les fêtes et dimanches quand tu seras au Maine. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  203. Au Maine, mon père ! (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  204. Accompagner ton mari. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  205. Vraiment si ; il est bailli du Maine. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  206. Octave est bailli du Maine ! (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  207. Ce n'est pas Octave que vous voulez me donner pour mari ? (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  208. Je ne ris point, et je veux... (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  209. C'est donc ainsi, coquine, que tu fais état de mes remontrances, et que tu te moques de moi ! (Acte 2, scène 8, TRAFIQUET)
  210. Va, je t'abandonne. (Acte 2, scène 8, TRAFIQUET)
  211. Je te donne ma malédiction, et tu mourras vieille fille. (Acte 2, scène 8, TRAFIQUET)
  212. Tu ne fais plus que quatre repas par jour ; tu ne saurais plus t'éveiller qu'à midi sonné : tu vois bien qu'en cet état-là tu ne peux pas faire longue vie. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  213. Il n'importe ; je ne verrai plus cette ingrate, cette.... (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  214. Je dis, mademoiselle, que quand je serai mort, je ne verrai plus goutte. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  215. Je ne connais point cela. (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
  216. Voilà de ces chiennes de visites que l'on ne saurait éviter. (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
  217. Il y a mille ans que j'ai envie de vous venir voir, et de profiter de l'honneur de votre voisinage. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  218. En vérité, mesdames, je suis dans la dernière confusion d'avoir si mai profité de l'honneur de votre visite. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  219. Vous êtes toujours dans le grand monde ; on dit que c'est vous qui faites l'honneur du quartier. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  220. Une charrette de foin a fait un embarras, ce qui nous a obligées de nous sauver chez Lamy, où nous avons bu chacune trois bouteilles de vin pour nous désennuyer. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  221. Madame la Marquise veut qu'on lui rende justice, et qu'on lui dise qu'il n'y a point de Breton qu'elle ne boive par-dessous la jambe ; c'est bien le plus hardi vin de femme ! (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  222. Avec ces talents-là, mesdames, il est à présumer que vous êtes mariées en Bourgogne ou en Champagne. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  223. Vous ne vous trompez point. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  224. À propos de mariage, ma belle voisine, on m'a dit que vous couchiez la noce en joue. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  225. Une fille comme vous peut-elle se résoudre à cette vilenie-là ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  226. Pour moi, madame, je ne trouve rien de vilain à faire tout ce que le monde fait, et ce que vous avez fait vous-même. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  227. Il est vrai ; mais je n'avais que quinze ans pour lors ; vous savez que c'est un âge terriblement scabreux pour une fille. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  228. Pourrez-vous abandonner votre taille aux accidents du mariage ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  229. J'ai assez de peine à m'y résoudre ; mais que voulez-vous ? (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  230. Faites comme moi, mademoiselle ; depuis que j'ai épousé mon mari, nous ne couchons plus ensemble. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
  231. Cela est fort bon pour vous, madame la Marquise, qui avez quantité d'enfants de votre premier lit ; mais une fille qui se marie est bien aise de savoir au juste à quoi elle est propre. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  232. En vérité, madame, l'état vous est bien obligé de lui donner tant de bons sujets. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  233. Elle est d'une finesse extraordinaire ; on croirait que vous allez rompre. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  234. Plusieurs partis me recherchent ; mais mon père me destine à un bailli du Maine, et... (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  235. Vous ne deviez jamais lâcher le mot de bailli. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  236. Non, madame, assurément je ne passerai pas, ou la peste m'étouffe ! (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
  237. Non, je ne crois pas que de mémoire d'homme on ait reçu une visite aussi impertinente. (Acte 2, scène 13, COLOMBINE)
  238. Elles n'ont que faire de me tant dégoûter du bailli ; si je l'épouse, ce ne sera qu'à mon corps défendant. (Acte 2, scène 13, COLOMBINE)
  239. Monsieur le meneur de ballets, peut-on savoir qui sont ces sauterelles-là ? (Acte 2, scène 14, ARLEQUIN)
  240. Monsieur, ce sont des filles surnaturelles, qui connaissent les astres, les langues, et tout ce qu'il y a de plus extraordinaire au monde et hors du monde ; elles ne parlent qu'en vers : enfin, ce sont des filles d'un mérite sublime. (Acte 2, scène 14, MEZZETIN)
  241. Puisque ces créatures -là savent tant de belles choses, elles pourront donc bien me déterminer sur un mariage ? (Acte 2, scène 14, ARLEQUIN)
  242. Vous ne pouvez pas mieux vous adresser. (Acte 2, scène 14, MEZZETIN)
  243. Vous saurez que je sens une convulsion, v.35 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  244. Le bridon qui retient la jeunesse fougueuse, v.52 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  245. J'en connais bien pourtant de plus d'une fabrique, v.56 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  246. Qui ne furent jamais faits dans cette boutique ; v.57 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  247. Une mer où l'honneur bien souvent fait naufrage, v.61 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  248. Une terre fertile en bois malencontreux, v.63 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  249. C'est une souricière où l'on attrape un sot. v.67 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  250. Un homme ne saurait vivre content sans femme ; v.69 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  251. Sans elle une maison irait tout de travers : v.70 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  252. Le temple de l'honneur, le chef-d'oeuvre des cieux ; v.74 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  253. La vertu son domaine, et l'honneur son partage. v.76 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  254. Par elle une maison va tout en décadence ; v.79 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  255. Elle ne met jamais de frein à sa dépense ; v.80 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  256. La femme est en tout temps un éminent danger, v.82 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  257. Oh ! Vous avez raison ; je sais qu'une femelle v.88 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  258. Si le ciel ne l'a pas faite avec un beau corps, v.93 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  259. Si des biens de fortune elle n'est point fournie, v.95 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  260. Dans une femme, enfin, toujours quelque mérite v.99 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  261. Lorsque de notre honneur elle tire intérêt ? v.102 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  262. La savante ne dit que vers, métamorphose, v.107 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  263. Et méprise un époux qui ne parle qu'en prose : v.108 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  264. Non, quelque qualité qui règne dans son âme, v.111 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  265. Quelque vertu qu'elle ait, c'est toujours une femme ; v.112 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  266. Et vous savez, casta quam nemo rogavit. v.114 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  267. Foi de fille d'honneur, sitôt que j'en saurai. v.118 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  268. Ne serai-je point,... là... v.120 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  269. Ne me déguisez rien. v.121 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  270. Bon ! Approchez, venez çà ; v.130 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  271. Regardez-moi bien. Non, vous n'avez point la mine v.131 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  272. De recevoir échec de la gent féminine. v.132 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  273. Allez, ne craignez rien. v.135 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  274. Contre les accidents qu'une femme vous garde. v.136 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  275. L'oeil, le nez, la façon, la métoposcopie v.140 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  276. Vous me portez tout l'air d'en avoir une charge. v.144 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  277. Je ne tâterai point de la cérémonie. v.155 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  278. Si vous n'en prenez pas, v.157 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  279. Et si vous en prenez, moi, je vous signifie v.159 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  280. À côté d'une femme. v.164 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  281. On ne m'a point dit, madame, que vous m'ayez fait cet honneur-là. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  282. Il est vrai que j'ai le domestique du monde le plus brutal : qu'une femme de qualité me vienne voir, on ne m'en dit rien ; qu'une procureuse frappe à ma porte, on vient m'en faire la honte en pleine compagnie. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  283. Les calendes, mademoiselle ; c'est la manière de compter des Romains, et la mienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  284. Si ma servante datait sa dépense autrement, elle ne coucherait pas chez moi deux jours de suite. (Acte 3, scène 3, MADAME PINDARET)
  285. Je veux de l'érudition jusque dans ma cuisine. (Acte 3, scène 3, MADAME PINDARET)
  286. Si j'avais l'avantage de vous voir souvent, je crois que je deviendrais une habile fille. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  287. Si vous ne vous ménagez, vous n'en aurez jamais assez pour le reste de vos jours. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  288. Cela ne coûte rien à une femme comme moi, qui se joue des auteurs ; j'entretiens commerce avec les anciens, et je fraye aussi avec les modernes. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  289. Assurément, mademoiselle ; j'en attrape assez le vrai, et je veux vous faire voir quelle est ma lecture quotidienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  290. Donnez-moi mon Juvénal. (Acte 3, scène 4, MADAME-PINDARET)
  291. Vous ne m'avez donné ni quartaut ni bouteille. (Acte 3, scène 4, LE-LAQUAIS)
  292. Qu'il vous arrive une autre fois de l'oublier ! (Acte 3, scène 4, MADAME-PINDARET)
  293. Toutes les visites de femmes me donnent la colique. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  294. Non, madame, je ne suis point d'une complexion si délicate. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  295. J'allai voir, il y a quelque temps, une marquise ; je ne fus qu'un quart_d_heure avec elle, c'était pendant la canicule : sa conversation ne laissa pas de m'enrhumer si fort, que je me suis mise au gruau pendant trois semaines pour en revenir. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  296. Cela étant, madame, quand vous allez en visite de marquise, de crainte de vous enrhumer une seconde fois, il faudrait faire porter un manteau fourré avec votre Juvénal. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  297. Vous ne sauriez vous imaginer jusqu'où va l'ignorance de cette femme-là. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  298. Une femme de qualité ignorante ! (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  299. Vous me surprenez. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  300. Croiriez-vous qu'elle ne put jamais me dire dans quelle olympiade mourut Épaminondas ? (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  301. En vérité, madame, vous fûtes bien heureuse d'en être quitte pour un rhume ; cela valait bien la peine de tomber en apoplexie. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  302. Il ne tint qu'à moi. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  303. C'est une pièce qui a déjà souffert la troisième édition, et qui a marié les trois filles de mon libraire. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  304. Ce n'est pas cela ; c'est un rondeau sur une absence, que je laisse quelque temps mitonner sur le réchaud de la réflexion... (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  305. MADRIGAL, Sur l'inconstance d'une maîtresse qui changea d'amant, parce qu'il avait soupiré par le derrière. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
  306. Oui, cela s'entend de reste ; peu s'en faut que je ne le sente. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  307. J'ai d'assez belles humanités, comme vous voyez ; mais je vais me donner à la physique. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  308. Oui, mademoiselle. C'est une des plus nobles sciences qu'il y ait ; elle a pour objet tout ce qui tombe sous les sens, et par conséquent, le corps humain, qui est la plus belle et la plus parfaite de toutes les structures humaines. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  309. Je ne me prostitue jamais à une longue conversation, et j'aime les visites brèves et laconiques. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  310. Vous allez voir comme je vous chamarre une danse sérieuse. (Acte 3, scène 6, ARELQUIN)
  311. Je vous prie, monsieur, de m'en dispenser ; je suis d'une fatigue outrée, et voilà huit nuits de suite que je cours le bal. (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
  312. Excusez-moi, s'il vous plaît ; je ne danse point, je fais des vers. (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
  313. J'aimerais mieux faire vingt sonnets que de... (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
  314. Adieu, madame ; allez vous faire tirer trois palettes d'épigrammes de la veine poétique. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  315. Hé bien, mademoiselle, ne vous avais-je pas bien dit qu'il n'y avait guère de marquis plus ridicule que moi ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  316. À vous sincèrement, pour un marquis de nouvelle impression, vous ne jouez pas mal votre rôle, et l'on croirait que vous l'auriez étudié toute votre vie. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  317. Vous ne le prenez pas mal. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  318. Vous ne savez donc pas que je suis homme de qualité ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  319. À peine sais-je écrire mon nom ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  320. Que nous faut-il à nous autres gens de cour ? Beaucoup de bonne opinion, saupoudrée de quelques grains d'effronterie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  321. Vous avez des inquiétudes horribles dans les jambes, et vous ne sauriez vous tenir un moment en place. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  322. La scène n'est jamais vide avec moi. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  323. Il y a longtemps que j'ai secoué la pudeur de ces demi-gens de qualité qui commencent à se donner au public. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  324. Je ne tâte point des coulisses ; sur l'orchestre, morbleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  325. Je ne sais pas, pour moi, quel plaisir prennent certaines gens, à la Comédie, de venir étouffer un acteur jusque sur les chandelles. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  326. Comment voulez-vous qu'un pauvre diable de comédien se fasse entendre au bout d'une salle ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  327. Mais, de bonne foi, monsieur le Marquis, croyez-vous que ce soit pour voir peigner votre perruque, prendre du tabac, et faire votre carrousel sur le théâtre, que le parterre donne ses quinze sols ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  328. N'est-ce pas bien de l'honneur pour lui de voir des gens de qualité ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  329. Ma foi, quand il n'aurait que ce plaisir-là, cela vaut bien une mauvaise comédie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  330. Savez-vous bien que cet été ils l'ont traité de monseigneur dans un placet ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  331. Le parterre monseigneur ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  332. Vous avez beau pester, le parterre fait du bien à tout le monde ; il redresse les auteurs, il tient les comédiens en haleine ; un fat ne se campe point impunément devant lui sur les bancs du théâtre : en un mot, c'est l'étrille de tous ceux qui exposent leurs sottises au public. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  333. Que ne vous mettez-vous dans les loges ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  334. On ne vous examinera pas de si près. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  335. Je vous baise les mains : je n'entends point la comédie dans une loge comme un sansonnet ; je veux, morbleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  336. Qu'on me voie de la tête aux pieds, et je ne donne mon écu que pour rouler pendant les entr'actes, et voltiger autour des actrices. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  337. Une petite créature bien émerillonnée. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  338. Que ne vous laissez-vous voir aussi, Margot, vous qui êtes si jolie ? (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  339. Monsieur, il n'y a point de ce que vous pensez à son fait : c'est un homme qui n'a que de bons desseins ; il m'a promis de m'épouser ; et pour preuve de cela, il m'a déjà envoyé une housse verte avec une bergame. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  340. Une bergame à une fille comme vous ! (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  341. Si tu voulais, Margot, m'épouser à la Harpillon, j'irais moi jusqu'à une verdure. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  342. Tenez, monsieur, pour avoir été un jour promener avec mon cousin, vous ne sauriez croire quels contes on a faits. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  343. La bonne caution ! (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  344. N'allez-vous point quelquefois au bois de Boulogne ? (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  345. Ma mère me l'a défendu, et m'a dit que c'était un vrai coupe-gorge pour une fille. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  346. Ma mie, me voudrais-tu tailler une chemise et quelques caleçons ? (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  347. Je suis votre servante, monsieur ; on ne travaille point en homme au logis. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  348. Mais il me semble, Margot, que ce manteau-là monte bien haut ; on ne voit point ma gorge. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  349. Taisez-vous, Margot ; vous êtes une sotte : tenez, remportez votre manteau ; j'y suis faite comme je ne sais quoi. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  350. Un petit mot : j'ai besoin d'une fille de chambre ; je crois que tu serais assez mon fait. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  351. Adieu, adieu, petite nymphe du bois de Boulogne. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  352. Je vous dirai, monsieur le Marquis, qu'avant que de vous épouser, je vous demande encore une grâce. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
  353. Nous sommes un certain nombre de filles qui avons fait serment de ne point prendre de mari qui n'ait été reçu auparavant dans notre académie. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
  354. Ne vous mettez pas en peine : on vous habillera en femme ; on vous fera peut-être faire serment d'être un époux commode, de laisser faire à votre femme tout ce qu'il lui plaira, de n'être point de ces maris coquets qui vivent de rapine, et laissent leurs femmes pour aller picorer sur le commun. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
  355. Quand on a de cette besogne-là toute taillée chez soi, on n'a guère envie d'aller travailler en ville. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  356. Ô toi qui veux épouser Colombine, v.180 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  357. Reçois l'honneur que sa main te destine: v.181 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  358. Tu vas être aussi beau qu'une fille v.185 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  359. Avec cet ornement, v.190 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  360. Et la brune et la blonde ; v.193 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  361. Avec cet ornement, v.194 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  362. Sur ce nez en pied de marmite ; v.200 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  363. Et nettoyez votre pinceau v.202 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  364. Sur cette trogne hermaphrodite. v.203 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  365. De couleur de pruneau ; v.207 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  366. Je suis, mon père, disposée à vous obéir ; mais je ne crois pas que vous vouliez me donner pour mari un homme qui est capable de pareilles extravagances. (Acte 3, scène 12, COLOMBINE)
  367. Voyez, ne me voilà-t-il pas bien désigné ? (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
  368. Ce que j'ai vu tantôt, et ce que je vois présentement, m'oblige de vous dire, monsieur le bailli, que vous pouvez, tout de ce pas, vous en retourner dans le Bas-Maine, manger vos chapons ; car pour ma fille, vous n'en croquerez que d'une dent. (Acte 3, scène 12, TRAFIQUET)
  369. Que d'une dent, monsieur le bailli, que d'une dent. (Acte 3, scène 12, PIERROT)
  370. Adieu, la belle ; je ne crois pas qu'il y ait au monde un animal plus méchant que vous. (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
  371. Il faut qu'un provincial ait bien le diable au corps, pour venir s'équiper d'une femme à Paris. (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
  372. Et qu'une fille à Paris soit bien près de ses pièces pour épouser un bailli du Bas-Maine. (Acte 3, scène 12, COLOMBINE)

LE DISTRAIT (1697)

  1. Quoi ! Toujours opposée à toute une famille ? v.1 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  2. Vous ne voulez point marier votre fille ? v.2 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  3. Vous ne prendrez point des sentiments plus doux ? v.4 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  4. Mais, pour mieux raisonner avec vous là-dessus, v.7 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  5. Gagne-t-on en cinq ans un million sans crime ? v.14 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  6. Et ce jeune marquis, cet homme d'importance ? v.17 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  7. Vous ne lui pouvez pas reprocher sa naissance : v.18 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  8. Dans vos brusques humeurs je ne puis vous comprendre. v.25 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  9. Qu'il ait, avec du bien, une honnête naissance ; v.29 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  10. Qu'il ne fasse point voir ces traits de pétulance, v.30 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  11. Dignes productions des cerveaux mal timbrés ; v.32 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  12. Qu'il ne soit point enfin, pour tout dire de lui, v.35 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  13. Comme les jeunes gens que je vois aujourd'hui. v.36 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  14. Et si vous ne voulez de gendre qu'ainsi fait, v.40 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  15. Non : Léandre est l'époux que je veux lui donner. v.43 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  16. Ce parti semble vous étonner ! v.44 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  17. On ne le voit jamais à lui dans nulle chose : v.50 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  18. Et que, pour m'engager à lui donner ma fille, v.58 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  19. L'oncle dont il attend sa fortune et son bien v.59 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  20. Malgré votre dédit, n'ait point une autre ardeur ; v.68 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  21. Et que, d'une autre part, votre fille Isabelle v.69 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  22. C'est une fille simple, à mes desirs sujette : v.73 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  23. On ne vit dans Paris femme si mal servie. v.78 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  24. Vous avez bonne voix. Quel bruit ! À vous entendre, v.81 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  25. Je vais vous l'amener. v.95 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  26. Et je ne dirai rien que ce qu'il faudra dire. v.98 (Acte 1, scène 3, MADAME GROGNAC)
  27. Venez, mademoiselle, et saluez les gens. v.100 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  28. Ne savoir pas encor faire la révérence, v.102 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  29. Je ne veux point chez moi gens de cette séquelle ; v.109 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  30. Ce sont courtiers d'amour pour une demoiselle. v.110 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  31. C'est du soir au matin un éternel contrôle. v.114 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  32. Vous ne rougissez pas quand on parle d'époux ! v.120 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  33. J'ignorais qu'une fille, au mot de mariage, v.121 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  34. D'une prompte rougeur dût couvrir son visage. v.122 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  35. De me donner un maître il ne m'eût pris envie. v.134 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  36. On ne fait donc point mal à se faire enlever ? v.136 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  37. Puis-je avoir jamais fait une telle imbécile ? v.138 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  38. C'est une grosse bête, et qui n'est propre à rien. v.139 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  39. Je sens là je ne sais quoi qui plaît ; v.151 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  40. Mais je ne saurais bien vous dire ce que c'est. v.152 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  41. J'apprends avec plaisir une telle aventure. v.154 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  42. Et quel est, s'il vous plaît, ce jeune adolescent v.155 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  43. C'est un petit jeune homme à quatre pieds de terre, v.161 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  44. Se peigne, chante, rit, se promène, s'agite ; v.165 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  45. Songez qu'il m'appartient. C'est un jeune homme à faire. v.170 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  46. Qu'il s'y tienne. v.172 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  47. Il est tout fait pour moi, l'on ne peut davantage. v.174 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  48. Vous êtes bien hardie et bien impertinente ! v.177 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  49. Le dédit pour Léandre en est une assurance. v.181 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  50. Que votre chevalier cherche une autre alliance : v.182 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  51. Je ne l'ai jamais vu ; mais on m'en a parlé v.183 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  52. Je ne le verrai point, vous serez obéie ; v.186 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  53. Mais c'est une eau qui dort, dont il faut se garder. v.191 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  54. Taisez-vous, péronnelle. v.194 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  55. Je ne prends point d'avis : je suis indépendante. v.197 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  56. Allons vite, rentrez : faites ce qu'on ordonne. v.205 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  57. La Madame Grognac a l'humeur hérissonne ; v.206 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  58. Et je ne vois pas, moi, son esprit se porter v.207 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  59. J'avais dessein de faire une double alliance ; v.209 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
  60. C'était pour obéir à la voix importune v.213 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
  61. D'un oncle fort âgé, dont dépend sa fortune. v.214 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
  62. Et mon neveu pourra... mais je le vois paraître. v.218 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
  63. Je ne veux de ma vie oublier celui-là. v.220 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  64. Une botte de moins quand il est arrivé. v.228 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  65. L'aventure est comique, ou je me donne au diable. v.230 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  66. Il suivit le chemin qui mène en Picardie, v.234 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  67. Et ne s'aperçut point de sa distraction v.235 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  68. Vos ris immodérés, donnent à rire aux gens ? v.244 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  69. Vous condamnez mes airs, et je blâme les vôtres ; v.246 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  70. Cidalise, qu'on sait avoir l'âme si bonne v.253 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  71. Qu'elle aime tout le monde et n'éconduit personne ; v.254 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  72. Jusque sur la frontière accompagne un amant, v.256 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  73. Ne sont pas des sujets qui doivent faire rire ? v.257 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  74. Toujours l'honneur du sexe est par vous entamé. v.260 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  75. De vos jours bien souvent vous ne les avez vues. v.262 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  76. Sur ce cruel défaut ne changerez-vous point ? v.263 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  77. Il ne prêche pas mal. Passez au second point, v.264 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  78. Vous vous faites honneur d'être un franc libertin ; v.267 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  79. Et lorsque, tout fumant d'une vineuse haleine, v.269 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  80. Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, v.270 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  81. Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : v.271 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  82. Vous laissèrent de bien une somme légère ; v.286 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  83. Mais que fais-je donc tant, Monsieur, ne vous déplaise, v.289 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  84. J'aime, je bois, je joue ; et ne vois en cela v.291 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  85. Je me lève fort tard, et je donne audience v.293 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  86. Vous donnez peu d'argent. v.295 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  87. Chez des femmes de bien dont l'honneur est entier, v.299 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  88. Là, nous perçons la nuit d'une ardeur sans égale ; v.301 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  89. Ne faire qu'un repas dans toute une journée ! v.306 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  90. Nous sommes cinq amis que la joie accompagne, v.309 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  91. Qui travaillons ce soir en bon vin de champagne. v.310 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  92. Vous voilà cinq seigneurs bien en argent comptant ! v.316 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  93. Comment gouvernes-tu cet objet de mes voeux ? v.319 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  94. S'apprête-t-elle à couronner mes feux ? v.320 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  95. C'est un petit bijou que toute sa personne, v.321 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  96. Que je veux mettre en oeuvre, et que j'affectionne : v.322 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  97. Elle est jeune, elle est riche ; et de la tête aux pieds, v.323 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  98. Elle ne prétend pas songer à cette affaire. v.326 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  99. Elle ne prétend pas ! Il faut que nous voyions v.327 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  100. Elle ne prétend pas ! Parbleu, le mot me touche ; v.329 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  101. Et vous prendrez plutôt la lune avec les dents. v.332 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  102. Elle ne prétend pas ! Ah ! Vous pouvez lui dire v.337 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  103. Je la trouve admirable ; elle ne prétend pas ! v.340 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  104. Je n'épargnerai rien pour la rendre capable v.341 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  105. Toi, fine mouche, v.345 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  106. Une affaire à présent m'empêche de le voir : v.347 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  107. Une ample effusion ; et cependant, la belle, v.349 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  108. Je ne me charge point de vos commissions : v.352 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  109. Donnez-les à quelque autre, ou faites-les vous-même. v.353 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  110. Il va tâter du vin ! Ma foi, les jeunes gens, v.359 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  111. À ne rien déguiser, aiment bien en ce temps ? v.360 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  112. Qu'il n'y retourna pas une seconde fois. v.376 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  113. Sortant d'une maison, l'autre jour, par bévue, v.377 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  114. Qu'il mène son vrai maître à son logis tout droit. v.380 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  115. Léandre arrive, il monte, il va, rien ne l'arrête ; v.381 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  116. Il entre en une chambre où la toilette est prête, v.382 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  117. Où la dame du lieu, qui ne s'endormait pas, v.383 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  118. Prend la robe de chambre et le bonnet de nuit ; v.387 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  119. Mais nos soins empressés ne nous ont rien valu ; v.399 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  120. Nous croyions hériter, du côté maternel, v.403 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  121. D'un oncle... ah ciel ! Quel oncle ! Il est oncle éternel. v.404 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  122. Passât de cette vie en une autre meilleure ; v.406 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  123. Non. Il ne fit jamais d'enfants, par avarice. v.421 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  124. Le trait est vraiment noir, et ne peut se souffrir. v.424 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  125. Et je n'en donnais pas une dose modique ; v.426 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  126. Mais par trois fois, le sort, injuste, inexorable, v.429 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  127. Et le bonhomme enfin, à quatre-vingt-neuf ans, v.431 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  128. Il doit de temps en temps nous donner des nouvelles ; v.441 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  129. Son esprit se promène encor sur quelque objet. v.448 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  130. De la plus fine fleur de la galanterie : v.454 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  131. Il ne ressemble pas à quantité d'amants ; v.455 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  132. Une femme, Monsieur ; et moi, Mademoiselle ; v.466 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  133. Si Léandre ressent une tendresse extrême v.473 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  134. Pour détourner le coup de ce dédit funeste ; v.477 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  135. Soit. Adieu donc. Mon maître est dans son cabinet ; v.480 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  136. En très bonne santé j'arriverais ici, v.484 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  137. Si je n'étais porteur d'une large écorchure. v.485 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  138. Cette friponne-là serait bien mon affaire. v.490 (Acte 2, scène 2, CARLIN)
  139. Mais mon maître paraît, il tourne ici ses pas. v.491 (Acte 2, scène 2, CARLIN)
  140. Il rêve, il parle seul, et ne m'aperçoit pas. v.492 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  141. Je ne sais si l'absence, aux amants peu propice, v.493 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  142. Ne m'a point effacé de l'esprit de Clarice. v.494 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  143. Qui, dans l'éloignement, sachent garder leurs feux : v.496 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  144. Je ne puis demeurer dans cette incertitude ; v.503 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  145. Je suis plus que jamais dans une peine extrême. v.507 (Acte 2, scène 4, LEANDRE)
  146. Je ne trouve, Monsieur, ni les gants ni l'épée. v.511 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  147. Tu ne les trouves point ! Voilà comme tu fais ! v.512 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  148. Ce qu'on te voit chercher ne se trouve jamais. v.513 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  149. Mais j'ai cherché partout, ou je me donne au diable. v.515 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  150. Ce ne sera pas là le dernier d'aujourd'hui. v.525 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  151. Son bien me remettrait en fort bonne figure ; v.530 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  152. Mais je brûle, Carlin, d'une flamme trop pure. v.531 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  153. Biens, fortune, intérêts, gloire, sceptre, grandeur, v.532 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  154. Rien ne saurait bannir Clarice de mon coeur ; v.533 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  155. Tout à souhait ici vous amène Clarice. v.543 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  156. Il oublie avec lui de ramener l'amour. v.553 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  157. Nous n'avons qu'un fauteuil ici, ne vous déplaise, v.559 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  158. Je te suis obligée, et ne veux point m'asseoir. v.561 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  159. Sur vos distractions ne me rassurent pas. v.565 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  160. Eh bien ! Ne voilà pas ? v.584 (Acte 2, scène 6, CARLIN)
  161. Ne jurez pas, monsieur ; vous êtes trop distrait. v.589 (Acte 2, scène 6, CARLIN)
  162. Vos yeux vous sont garants qu'il ne m'est pas possible v.598 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  163. Que pour quelque autre objet je devienne sensible. v.599 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  164. J'aime trop, pour ne pas toujours appréhender ; v.605 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  165. Serait de voir un jour sa fortune établie : v.615 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  166. Pour certains chevaliers ne se donnerait pas. v.633 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  167. L'oncle a donc fait la chose enfin de bonne grâce ? v.635 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  168. Ses écus, ses louis étaient-ils neufs ou vieux ? v.637 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  169. "Des rigueurs d'une Iris qui rit de ma tendresse ; v.645 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  170. Au cabaret, c'est là mourir au champ d'honneur. v.649 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  171. La scène, prend Clarice par le bras, croyant parler v.659 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  172. Et je vous veux servir de la bonne manière. v.663 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  173. Il faut vous distinguer dans un poste d'honneur. v.673 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  174. Et, si chaque famille armait une coquette, v.678 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  175. Ma soeur en vaut la peine ; elle est belle, elle est sage. v.683 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  176. Vous chantiez à l'instant ; et ne parliez-vous pas v.692 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  177. Ne m'interrogez point, et regardez ses yeux. v.697 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  178. Vous donnez une main pour l'autre par méprise. v.707 (Acte 2, scène 8, CARLIN)
  179. Demeurez, et ne me suivez pas. v.708 (Acte 2, scène 8, CLARICE)
  180. Je veux jusque chez vous accompagner vos pas. v.709 (Acte 2, scène 8, LEANDRE)
  181. Écoute... je ne sais ce que je voulais dire... v.711 (Acte 2, scène 9, LEANDRE)
  182. Souffrez ici sans peine v.714 (Acte 2, scène 10, LEANDRE)
  183. Qu'à votre appartement, Madame, je vous mène. v.715 (Acte 2, scène 10, LEANDRE)
  184. Je cherchais votre soeur, et ma peine est extrême... v.718 (Acte 2, scène 10, LEANDRE)
  185. Vous ne vous trompez pas, c'est une autre elle-même. v.719 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
  186. Une femme suffit, tenez-vous à la vôtre ; v.722 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
  187. Je cherche vainement, et ne vois point Clarice. v.727 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
  188. N'étant plus en ce lieu, vous ne sauriez la voir. v.728 (Acte 2, scène 11, CARLIN)
  189. Ne perdons point de temps ; sortons, suivons ses pas : v.732 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
  190. Je ne suis plus à moi quand je ne la vois pas. v.733 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
  191. Il me semble pourtant que j'aurai peine à plaire, v.746 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  192. La loi devrait contraindre une mère coquette, v.751 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  193. Je ne sais si ce que mon coeur sent v.761 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  194. Mais enfin c'est un mal dont vous ne guérirez v.773 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  195. Il vous faut un mari d'une humeur plus fringante, v.778 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  196. Tu sais bien que ma mère est d'une humeur étrange ; v.786 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  197. Sans se voir, on ne peut pourtant se marier. v.789 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  198. Ne vous alarmez point : nous trouverons peut-être v.790 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  199. Vous avez aujourd'hui tout l'air d'une déesse ; v.795 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  200. Ne parut point si belle aux yeux de l'univers. v.797 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  201. Je ne fais point, morbleu, l'amour comme un bourgeois ; v.805 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  202. Depuis dix ans et plus je cherche une cruelle, v.807 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  203. Je ne me trouve bien que dans un canapé. v.821 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  204. Tenez-vous sur vos pieds, Monsieur, ne vous déplaise. v.823 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  205. Couchés dans des fauteuils, barrer une ruelle. v.826 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  206. Et mort non de ma vie ! Une bonne escabelle ; v.827 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  207. Ne s'en portaient que mieux sur des meubles de bois. v.829 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  208. Paix donc ; ne lui dis rien, Lisette, qui le blesse. v.830 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  209. Bon ! Bon ! Il faut apprendre à vivre à la jeunesse. v.831 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  210. Cette maman encor fait-elle la hargneuse ? v.834 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  211. Je prétends vous combler d'une gloire parfaite ; v.838 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  212. Ces gens-là ne sauraient, dit-on, se marier. v.841 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  213. Sortez. Non, revenez. v.845 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  214. Ne vous y jouez pas. Il me vient dans la tête v.847 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  215. Elle sait votre nom, mais ne vous connaît pas : v.849 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  216. Nous attendons un maître en langue italienne ; v.850 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  217. Faites ce maître-là, pour nous tirer de peine. v.851 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  218. Ah ! Vraiment, je vous trouve en bonne compagnie. v.855 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  219. Ne le voit-on pas bien ? v.856 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  220. Il prend bien de la peine. v.858 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  221. Ma fille, pour parler, n'a que trop de la sienne. v.859 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  222. Qu'elle apprenne à se taire, elle fera bien mieux. v.860 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  223. Comme je ne veux point qu'elle parle à personne, v.866 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  224. Sa langue lui suffit, et je la trouve bonne. v.867 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  225. Tout votre italien est plein d'impertinence v.874 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  226. Ne le voulez-vous pas ? v.879 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  227. Vous ne le dites pas du ton que je demande. v.884 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  228. Vous me pardonnez bien si je la réprimande. v.885 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  229. J'ai trop bien commencé pour ne pas achever. v.896 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  230. Ah ! Je suis, mon neveu, ravi de vous trouver. v.897 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  231. Votre neveu ! Comment ! v.902 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  232. Je ne montre parfois l'italien aux filles. v.907 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  233. Comment, impertinente ! v.908 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  234. Je ne suis point, monsieur, femme que l'on plaisante. v.916 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  235. Je veux que nous dansions ensemble une courante. v.917 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  236. Voilà, je vous l'avoue, une fâcheuse affaire. v.928 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  237. Comment donc ! Vous riez, et vous ne craignez pas v.930 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  238. Il ne manquera pas d'en faire ici paraître. v.936 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
  239. Je ne te vois jamais, quand j'ai besoin de toi. v.939 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  240. Elle sonne à présent. v.945 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  241. De bon tabac d'Espagne ; en voilà pour goûter. v.947 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  242. Quel horrible tabac ! Tu veux m'empoisonner. v.950 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  243. La montre ! Ah ! Voilà bien pour la faire sonner ! v.951 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  244. Ne vous voilà pas mal ! La montre cette fois v.954 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  245. D'avoir manqué tantôt à lui donner la main. v.959 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  246. Va donc, ne tarde pas. v.962 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  247. Et que mon oncle en vain veut faire une alliance v.976 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  248. Il ne m'aime pas trop, Lisette. v.978 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  249. Cette Lisette-là lui tourne mal l'esprit ; v.980 (Acte 3, scène 9, CARLIN)
  250. C'est une babillarde, en intrigues habile, v.981 (Acte 3, scène 9, CARLIN)
  251. Que les hommes sont fous d'empoisonner leurs jours v.987 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  252. Tournez les yeux sur nous. v.1001 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  253. Jamais rien de plus beau ne s'offrit aux regards ; v.1004 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  254. Bon ! Votre coeur pour moi ne fut jamais touché ; v.1008 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  255. C'est une fausseté. v.1013 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  256. Lui faire prendre d'elle une plus juste estime : v.1015 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  257. Tu gouvernes son coeur. v.1016 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  258. Cette Lisette-là lui tourne mal l'esprit ; v.1017 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  259. C'est une babillarde, en intrigues habile, v.1018 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  260. Quel peintre ! Par ma foi, vous ne nous flattez pas. v.1021 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  261. Votre mère en personne. v.1026 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  262. Quel parti prendre, ô ciel ! Je tremble, je frissonne. v.1027 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  263. Mon cabinet pour vous doit être un sûr asile ; v.1031 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  264. Volontiers. Mais que personne au moins v.1032 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  265. Ne puisse nous y voir. v.1033 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  266. Je ne la trouve point. Monsieur, où donc est-elle ? v.1034 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  267. À venger pleinement les affronts qu'on m'a faits ! v.1037 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  268. Mais je ne perdrai pas ici toute ma peine, v.1038 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  269. Puisqu'il faut aussi bien que je vous entretienne, v.1039 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  270. Votre oncle vif ou mort, terminer votre amour. v.1041 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  271. Monsieur, à vous donner ma fille... v.1043 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  272. Je ne puis plus longtemps voir traîner cette affaire, v.1046 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  273. Et je vais ordonner qu'on m'amène un notaire : v.1047 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  274. La garde d'une fille est un trop lourd fardeau. v.1049 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  275. Et j'amène Clarice. v.1052 (Acte 3, scène 12, CARLIN)
  276. Et qu'une autre que moi ne règne en votre coeur. v.1057 (Acte 3, scène 12, CLARICE)
  277. Si dans mon cabinet vous vouliez bien écrire, v.1066 (Acte 3, scène 14, LEANDRE)
  278. Je vous vois bientôt prêts à vous donner la main : v.1073 (Acte 3, scène 15, CARLIN)
  279. Dans votre cabinet, Monsieur, j'entends du bruit. v.1076 (Acte 3, scène 17, CARLIN)
  280. Qui lutine Clarice ? v.1078 (Acte 3, scène 17, CARLIN)
  281. Carlin, tout est perdu ! J'ai fait une sottise. v.1079 (Acte 3, scène 17, LEANDRE)
  282. Quelle prospérité ! Pour une, en voilà trois. v.1085 (Acte 3, scène 18, CARLIN)
  283. Je ne veux rien savoir. v.1093 (Acte 3, scène 18, CLARICE)
  284. Allons de l'une et l'autre arrêter la colère. v.1099 (Acte 3, scène 21, LEANDRE)
  285. Je ne veux plus me marier. v.1104 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  286. Je ne me sens point propre aux soins d'une famille ; v.1110 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  287. Votre application peut-être serait vaine. v.1118 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  288. Calmez-vous ; je prétends y réussir sans peine. v.1119 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
  289. Léandre sent pour vous une sincère ardeur : v.1120 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  290. D'accord, mon cher neveu ; v.1136 (Acte 4, scène 2, VALÈRE)
  291. C'est un étrange cas. Faut-il que la jeunesse v.1138 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  292. Apprenne maintenant à vivre à la vieillesse, v.1139 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  293. Plus étourdis cent fois que nos jeunes marquis ? v.1141 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  294. Cela n'est point dans l'ordre ; et l'on sait qu'une fille, v.1147 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  295. Pour enrichir un frère, en faire un gros seigneur, v.1148 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  296. Je prétends lui donner cinquante mille écus, v.1152 (Acte 4, scène 2, VALÈRE)
  297. Et je veux aujourd'hui terminer cette affaire. v.1154 (Acte 4, scène 2, VAL?RE)
  298. Tu sais bien qu'entre-nous nous parlons assez net. v.1156 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  299. Te voilà faite au tour, nul soin ne te travaille ; v.1158 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  300. Le devoir d'une femme engage à mille choses ; v.1162 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  301. On trouve mainte épine où l'on cherchait des roses : v.1163 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  302. Au cabinet encor venez-vous prendre place ? v.1183 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  303. Vous donne-t-il ici quelque autre rendez-vous ? v.1185 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  304. Pour faire une réponse aux termes d'un billet, v.1188 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  305. Léandre a bien voulu m'ouvrir son cabinet, v.1189 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  306. Ne vous souvient-il plus du maître italien, v.1196 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  307. Nous avons fait retraite au cabinet, sans bruit : v.1200 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  308. Pour écrire une lettre ; et voilà le mystère. v.1202 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  309. L'une écrit une lettre, et l'autre fuit sa mère. v.1203 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  310. Mets-toi dans un couvent, tu ne saurais mieux faire. v.1211 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  311. Mais l'avis ne vaut pas cinquante mille écus. v.1213 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  312. Le maudit instrument qu'une langue femelle ! v.1215 (Acte 4, scène 5, LE CHEVALIER)
  313. Je crois, sans la flatter, qu'elle ne l'est pas tant. v.1225 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  314. L'erreur est pardonnable ; il ne faut point tant rire. v.1231 (Acte 4, scène 6, CARLIN)
  315. Dans le fond cependant c'est une bagatelle ; v.1235 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  316. Chacun ne peut pas être aussi sage que vous : v.1240 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  317. De ne trouver en moi qu'un défaut à reprendre. v.1243 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  318. On ne m'entend jamais censurer ni médire, v.1246 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  319. Et je ne dis ici que ce que j'entends dire. v.1247 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  320. Doit donner rarement créance à ce qu'on dit. v.1249 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  321. Au lieu qu'avec plaisir, d'une langue sans frein, v.1252 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  322. Nul dans l'univers ne peut dire, je gage, v.1258 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  323. Non, vous dis-je, monsieur ; et je ne vois personne v.1262 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  324. Qui de ces vices-là seulement vous soupçonne : v.1263 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  325. Mais on ne me dit pas de vous autant de bien v.1264 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  326. Qu'en discours vous prenez un peu trop de licence ; v.1266 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  327. Qu'on ne peut se soustraire à votre médisance ; v.1267 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  328. Que, pour vous faire croire homme à bonne fortune, v.1270 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  329. Vous passez en hiver les nuits au clair de lune, v.1271 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  330. Sur la porte d'Iris, qui ne vous connaît pas ; v.1273 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  331. Que souvent vous prenez trop de vin de champagne, v.1274 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  332. Et qu'il faut que toujours quelqu'un vous accompagne, v.1275 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  333. De cent mauvais récits que je ne veux pas croire : v.1279 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  334. De donner trop crédit à de mauvais discours. v.1281 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  335. Tu t'imagines bien que Clarice en courroux v.1288 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  336. D'une autre part aussi que peut dire Isabelle ? v.1291 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  337. Vous raisonnez parfois comme un sage de Grèce ; v.1295 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  338. Je ne veux point du tout ici vous corriger. v.1300 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  339. Ma manière est fort bonne, et n'en veux point changer. v.1301 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  340. Je ne ressemble point aux hommes de notre âge, v.1302 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  341. Je ne prépare point avec effronterie v.1306 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  342. Dans le fond de mon coeur d'indigne menterie ; v.1307 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  343. Rêver dans un fauteuil, répondre en coq-à-l'ânes, v.1314 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  344. Et voir tous les mortels ainsi que des profanes. v.1315 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  345. Un cerveau faible, étroit, qui ne tient qu'une chose, v.1318 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  346. Pour un jeune étourdi qui me rompt les oreilles v.1330 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  347. Ne me rassure pas, et je crains sa présence. v.1340 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  348. Il faudrait qu'une lettre, écrite d'un beau style, v.1343 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  349. Une lettre, Monsieur, remet bien une affaire ; v.1348 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  350. Ne brûle que pour vous d'un véritable feu ; v.1357 (Acte 4, scène 8, LÉANDRE)
  351. Et ma main, sur-le-champ, en va signer l'aveu. v.1358 (Acte 4, scène 8, L?ANDRE)
  352. Tenez, monsieur, voilà... v.1359 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  353. Votre absence d'esprit est une maladie v.1363 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  354. Qui se gagne aisément. v.1364 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  355. Ne me fatigue point par tes mauvais discours. v.1365 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  356. Donne-moi promptement. v.1368 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  357. En sonnet, en ballade, en ode, en élégie. v.1371 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  358. Je le crois bien, Monsieur ; car voilà le cornet, v.1374 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  359. Que le papier timbré ne peut rendre en quarante. v.1384 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  360. Les experts écrivains s'y donneront au diable : v.1391 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  361. Je ne plains point, Carlin, la peine que je prends. v.1394 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  362. Ne me parle point d'elle. v.1396 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  363. Soit. Quand d'une cruelle on veut toucher le coeur, v.1397 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  364. Quand une belle voit, comme par supplément, v.1401 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  365. Vous avez plus d'esprit que je ne l'eusse cru ; v.1417 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  366. Ne me jouerait-il point un tour de son métier ? v.1434 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  367. Lui donne en peu de mots son congé par écrit. v.1437 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  368. Je ne dis pas cela. v.1445 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
  369. Et de la tienne aussi ? v.1447 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
  370. Je ne l'ai pas trop rude. v.1447 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
  371. Je ne veux rien entendre. v.1452 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  372. On ne traita jamais un courrier de la sorte. v.1455 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
  373. Gagneras-tu la porte ? v.1456 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
  374. Que ce soin ne vous fasse aucune impression : v.1465 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
  375. Et l'aveu de la mère est une bagatelle. v.1471 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
  376. Nous aurons de la peine à venir à bout d'elle. v.1472 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
  377. Qu'elle me cède un bien dont mon amour est digne. v.1479 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
  378. Bon ! Bon ! Plus on la flatte, et plus elle égratigne ; v.1480 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
  379. C'est un esprit rétif, et qu'on ne réduit pas. v.1481 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
  380. Mais je vois votre soeur tourner ici ses pas. v.1482 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
  381. Eh bien ! Ma chère soeur, quel soin ici t'amène ? v.1483 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
  382. Et quelle intention est maintenant la tienne ? v.1484 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
  383. Tenez, voilà la lettre, et le cas que j'en fais. v.1494 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  384. Faire un dernier effort pour couronner ma flamme. v.1496 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
  385. Ministre impertinent d'un maître malheureux. v.1502 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  386. Voyons. Demeure là ; ne crois pas m'échapper. v.1506 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  387. « Je suis au désespoir, Mademoiselle, que l'aventure du cabinet vous ait donné quelque soupçon de ma fidélité. » (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  388. Que je lise, maraud ! Que veux-tu qu'il m'apprenne ? v.1511 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  389. De ses déloyautés ne suis-je pas certaine ? v.1512 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  390. J'ai peine, en le voyant, à tenir ma colère. v.1515 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  391. Ne parlons pas trop haut, de peur de le distraire. v.1516 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  392. Te pousse à me trahir d'une telle façon ? v.1534 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  393. Ne t'avais-je pas dit de la rendre à Clarice ? v.1540 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  394. Pardonnez mon erreur en faveur de ma flamme : v.1552 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  395. Mais je ne reçois point un grossier artifice. v.1555 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  396. « Je suis au désespoir que l'aventure du cabinet vous ait pu donner quelque soupçon de ma fidélité. (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  397. Votre rivale ne servira qu'à rendre votre triomphe plus parfait. (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  398. M'embarrasse l'esprit de ses impertinences. v.1571 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  399. Et vous ne venez plus pour étrangler les gens. v.1574 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  400. Je respire. Ah ! Carlin, c'est une joie extrême v.1575 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  401. Nul autre objet que vous ne règne dans mon âme. v.1580 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  402. C'est une vérité ; le plaisir qu'il reçoit v.1581 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  403. Fait qu'il ne vous croit pas où souvent il vous voit. v.1582 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  404. Je donne volontiers les mains à cette affaire. v.1588 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
  405. Nous nous trouvons toujours dans une peine extrême. v.1591 (Acte 5, scène 8, VAL?RE)
  406. La vieille ne songeait, dans votre engagement, v.1593 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  407. L'on peut dresser quelque machine, v.1595 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  408. Faire jouer sous main quelque secrète mine... v.1596 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  409. La mère ne sait point que je suis en ces lieux ; v.1598 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  410. Elle ne m'a point vu ; je puis aisément dire v.1599 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  411. Je vais tout préparer pour que la mine joue ; v.1603 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  412. Et vous, ne manquez pas de pousser à la roue. v.1604 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  413. Le dessein en est pris ; je ne vous quitte point v.1605 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  414. Que je ne sois enfin satisfait sur ce point. v.1606 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  415. Vous ne sauriez mieux faire ; et, pour vous en défendre, v.1608 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  416. Je ne pourrai donc pas disposer de ma fille ? v.1611 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  417. Monsieur, je ne veux point de fou dans ma famille. v.1612 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  418. Ennuyeux harangueur. C'est une affaire faite, v.1616 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  419. Il ne répond point trop aux offres que vous faites. v.1623 (Acte 5, scène 9, VALÈRE)
  420. Quand il ne voudrait point encor se marier, v.1625 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  421. Un fat dont la conduite est tout impertinente. v.1627 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  422. Cela ne rendra pas le contrat moins valide. v.1631 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  423. Jusque dans l'avenir de nos neveux derniers. v.1642 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  424. À grand'peine au bonhomme aviez-vous dit adieu, v.1645 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  425. Il a testamenté tout d'une autre manière ; v.1652 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  426. Ne vous a pas laissé de quoi porter le deuil. v.1654 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  427. Ta plainte m'importune. v.1659 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  428. Vous, Monsieur, vous pouvez chercher ailleurs fortune ; v.1660 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  429. Votre hymen à présent ne me convient en rien : v.1661 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  430. Mon neveu ne craint point la disgrâce cruelle v.1663 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  431. Je lui donne à présent mon bien après ma mort. v.1665 (Acte 5, scène 10, VAL?RE)
  432. Signez donc ce papier... une plume, Lisette. v.1671 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  433. C'est une affaire faite ; v.1672 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  434. Je signerai, pourvu que vous me promettiez v.1673 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  435. Vous, pour le prix d'une juste tendresse, v.1675 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  436. Soyez heureux, Monsieur ; je vous donne ma nièce. v.1676 (Acte 5, scène 10, VAL?RE)
  437. De donner votre nièce à qui n'a pas un sou ? v.1678 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  438. Il ne faut pas ici plus longtemps vous séduire ; v.1679 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  439. Ne nous as-tu pas dit que l'oncle, en sa colère, v.1684 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  440. Il ne faut point ici tant faire l'étonnée ; v.1688 (Acte 5, scène 10, LISETTE)
  441. Coquine ! v.1693 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  442. De bonne grâce, v.1695 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  443. Et je donne de plus cette somme à ma nièce. v.1699 (Acte 5, scène 10, VAL?RE)
  444. Que je ne donnerai pas cela pour sa dot. v.1702 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  445. Allons, embrassez-vous, vous ne sauriez mieux faire ; v.1708 (Acte 5, scène 11, LE CHEVALIER)
  446. Lorsque j'en donnerai, je serai plus secrète. v.1711 (Acte 5, scène 11, ISABELLE)
  447. Une autre fois aussi je serai plus discrète. v.1712 (Acte 5, scène 11, CLARICE)
  448. Ah ciel ! Un jour de noce oublier une femme ! v.1719 (Acte 5, scène 13, CARLIN)
  449. Cette erreur me paraît un peu digne de blâme ; v.1720 (Acte 5, scène 13, CARLIN)

LE RETOUR IMPRÉVU (1700)

  1. Elle ne fait rien que de mal ; et le pis que j'y trouve, c'est qu'elle garde auprès d'elle une coquine comme vous, qui ne lui donnez que de mauvais conseils, et qui la poussez dans un précipice où son penchant ne l'entraîne déjà que trop. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  2. Il serait à souhaiter, madame, que vous en eussiez autant : vous ne seriez pas la première à scandaliser votre nièce, et à la décrier, comme vous faites, dans le monde, par des discours qui n'ont point d'autre fondement que le dérèglement de votre imagination. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  3. Une fille qui n'a pas un sou de revenu ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  4. C'est bien à elle d'avoir seule une grosse maison, des habits magnifiques ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  5. Est-il défendu de faire fortune ? (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  6. Et comment la fait-elle, cette fortune ? (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  7. Fort innocemment : elle boit, mange, chante, rit, joue, se promène ; les biens nous viennent en dormant, je vous assure. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  8. Premièrement, ma fille unique ne veut plus être religieuse ; je m'en vais la marier : mon frère le chanoine, qui lui en veut depuis longtemps, la déshéritera ; car il est vindicatif. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  9. Patience, patience ; elle ne sera pas toujours jeune. (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
  10. À la bonne heure, je ne m'en mêle point ; je la renonce pour ma nièce, et je ne prétends pas aider tromper personne. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  11. Nous ferons bien nos affaires sans vous ; ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  12. Tu ne connais pas madame Bertrand, la tante de ma maîtresse ? (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  13. Si fait vraiment, je ne connais autre ; je ne l'avais pas bien envisagée. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  14. C'est une femme fort à son aise, qui a de bonnes rentes sur la Ville, des maisons à Paris. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  15. Il ne faut désespérer de rien ; cela peut venir. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  16. S'il lui mourait trois oncles, deux tantes, trois couples de cousins germains, deux paires de neveux et autant de nièces, elle se trouverait une fort grosse héritière. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  17. Il y aura peut-être quelque tribulation à essuyer au retour de notre bon homme de père : mais il ne reviendra pas si tôt ; nous aurons le temps de nous préparer ; et mon maître ne sera pas malheureux, s'il n'a que ce chagrin-là de son mariage. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  18. Tu es encore un plaisant visage, de croire que Clitandre puisse jamais se repentir d'avoir épousé Lucile, une fille que j'ai élevée ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  19. Une fille belle, jeune, et bien faite ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  20. Une fille aisée à vivre ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  21. La plupart des filles ne le sont que trop. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  22. Une fille sage et vertueuse ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  23. Cette alliance ne me plaît point du tout ; et je ne prévois pas que nous y trouvions notre compte ni I'un ni l'autre. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  24. Trois garçons de la Guerbois viennent d'arriver avec tout leur attirail de cuisine ; Camel, le fameux Camel, marchait à leur tête. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  25. L'illustre Forel a envoyé six douzaines de bouteilles de vin de Champagne comme il n'y en a point : il l'a fait lui-même. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  26. Tant mieux ; j'aime la bonne chère. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  27. Elle s'ennuie à la mort quand elle ne vous voit point : elle ne tardera pas, je vous en réponds. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  28. C'est vraiment bien fait, de terminer ainsi toutes ses affaires. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  29. Mais, s'il vous plaît, qu'allons-nous faire en attendant le retour de monsieur votre père, qui est en Espagne depuis un an pour les affaires de son commerce ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  30. Que tu es impertinent avec tes réflexions ! (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  31. Mon ami, jouissons du présent ; n'ayons point de regret au passé, et ne lisons point des choses fâcheuses dans l'avenir. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  32. Il n'y a que trois semaines que j'ai touché une demi-année d'avance de ce fermier à qui vous avez donné quittance de l'année entière. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  33. J'ai reçu, l'autre semaine, dix-huit cents livres de ce curieux, pour ces deux grands tableaux dont votre père avait refusé deux mille écus quelque temps avant que de partir. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  34. Voilà un petit rafraîchissement qui nous mènera quelque temps, et nous travaillerons ensuite sur nouveaux frais. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  35. Travaillez-y donc vous-même ; car pour moi je fais conscience d'être l'instrument et la cheville ouvrière de votre ruine ; c'est par mes soins que vous avez trouvé le moyen de dissiper plus de dix mille écus, sans compter douze ou quinze mille francs que vous devez encore à plusieurs quidams, usuriers ou notaires (c'est presque la même chose), qui nous vont tomber sur le corps au premier jour. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  36. Celui qui m'embarrasse le plus, c'est ce persécutant monsieur André ; et si, je ne lui dois que trois mille cinq cents livres. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  37. Il ne vous a prêté que cela ; mais vous avez fait le billet de deux mille écus. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  38. Il a, depuis quatre jours, obtenu contre vous une sentence des consuls ; et il ne serait pas plaisant que, le jour de la noce, il vous coucher au Châtelet. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  39. Nous avons fait argent de tout : les revenus sont touchés d'avance ; la maison de la ville est démeublée à faire pitié ; nous avons abattu les bois de la maison de campagne, sous prétexte d'avoir de la vue. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  40. Si mon père peut être encore cinq ou six mois sans revenir, j'aurai tout le temps de réparer, par mon économie, les premiers désordres de ma jeunesse. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  41. Et monsieur votre père, de son côté, ne travaille-t-il pas à reboucher tous ces trous-là ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  42. Il vaut mieux que vous fassiez toutes ces sottises-là de son vivant qu'après sa mort ; il ne serait plus en état d'y remédier. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  43. Monsieur votre père fera un gros profit pendant son voyage ; vous aurez fait une grosse dépense pendant son absence : quand il reviendra, de quoi aura-t-il à se plaindre ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  44. Entre nous, ce n'est pas un grand génie que monsieur votre père ; je l'ai mené autrefois par le nez, comme vous savez ; je lui fais accroire ce que je veux : et quand il reviendrait présentement, je me sens encore assez de vigueur pour vous tirer des affaires les plus épineuses. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  45. Mais voici la charmante Lucile et sa cousine. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
  46. Les démarches que vous me faites faire, Clitandre, ne peuvent être justifiées que par le succès qu'elles vont avoir ; et je serais entièrement perdue dans le monde, si le mariage ne mettait fin à toutes les parties de plaisir où je me laisse engager tous les jours. (Acte 1, scène 5, LUCILE)
  47. On dira qu'on se fait pendre par compagnie ; et par compagnie, il ne tiendra qu'à vous de vous faire épouser : mon maître a tant d'amis ! (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  48. Prenez-en quelqu'un, Madame : plus on est de fous, plus on rit. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  49. Allons, déterminez-vous. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  50. Je me donne au diable, pendant que nous sommes en train, il me prend envie d'épouser Lisette aussi par compagnie, moi ; c'est une chose bien contagieuse que l'exemple. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  51. Je voudrais que le nôtre la pût engager à nous imiter ; et j'ai un jeune homme de mes amis qui s'est brouillé depuis quelques jours avec sa famille. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
  52. Non ; ces sortes d'alliances-là ne me plaisent point. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  53. Je ne dépends de personne ; je veux prendre un mari aussi indépendant que moi. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  54. Allons, de la gaîté ; je ne me suis jamais senti de si belle humeur ; et je vous défie de m'ennuyer. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  55. Je vous assure, mesdames, qu'à moins de voler, on ne peut pas faire plus de diligence : il n'y a pas, en vérité, trois quarts d'heure que je suis parti de Versailles. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  56. Et vous, la belle cousine, qu'est-ce ? Le coeur ne vous en dit-il point ? (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  57. Ne voulez-vous point, en vous mariant, payer vos dettes à l'amour et à la nature ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  58. Que cela est vilain d'être une grande inutile dans le monde ! (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  59. L'état de fille ne m'a point encore ennuyée. (Acte 1, scène 6, CIDALISE)
  60. Je veux être déshonoré, si je ne vous trouve fort à mon g é : je me sens même de la disposition à vous aimer un jour à l'adoration, à la fureur ; mais point de mariage au moins, point de mariage ; j'aime les amours sans conséquence : vous m'entendez bien ? (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  61. Il est vrai que je n'ai pas mon pareil pour débourgeoiser un enfant de famille, le mettre dans le monde, le pousser dans le jeu, lui donner le bon goût pour les habits, les meubles, les équipages. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  62. Je le mène un peu raide ; mais ces petits messieurs-là ne sont-ils pas trop heureux qu'on leur inspire les manières de cour, et qu'on leur apprenne à se ruiner en deux ou trois ans ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  63. Je ne le vois point ici : c'est un joli garçon ; je l'aime ; je le trouve admirable pour faire une ressource, pour écarter les créanciers, amadouer des usuriers, persuader des marchands, démeubler une maison en un tour de main. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  64. Que ton père a eu de prévoyance, d'esprit, de jugement, de te laisser un gouverneur aussi sage, un économe aussi entendu ! (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  65. Oui, c'est bien dit ; ne perdons point de temps. (Acte 1, scène 7, LE-MARQUIS)
  66. Voilà, je crois, Jaquinet, le valet de notre bon homme. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  67. Monsieur Jaquinet, comment t'en va ? (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  68. Vraiment non ; je suis arrivé avec mon maître ; et pendant qu'il est allé avec le carrosse de voiture faire visiter à la douane quelques ballots de marchandises, il m'a fait prendre les devants pour venir dire à monsieur son fils qu'il est de retour en parfaite santé. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  69. Voilà une nouvelle qui le réjouira fort. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  70. Il semble que tu ne me fais guère bonne mine ; et tu ne me parais pas trop content de notre arrivée. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  71. Je ne suis pas celui qu'elle chagrinera le plus. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  72. Et, dis-moi, le bon homme a-t-il affaire pour longtemps à cette douane ? (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  73. Je ne saurais. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  74. Revenir si mal à propos, et ne pas avertir qu'il revient, encore ! (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  75. Ce retour imprévu ne dérangerait-il point un peu vos petites affaires ? (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  76. Jaquinet, mon pauvre Jaquinet, aide-moi un peu à sortir d'intrigue, je te prie. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  77. Va te reposer ; entre au logis, tu trouveras bonne compagnie : ne t'effarouche point, on te fera boire de bon vin de Champagne. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  78. Dis à mon maître que son père est de retour, mais qu'il ne s'embarrasse point : je vais l'attendre ici, et tâcher de faire en sorte que nous puissions... (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  79. Je me donne au diable, si je sais comment m'y prendre. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  80. Dis-lui qu'il se tienne en repos ; et toi, commence par t'enivrer, et tu t'iras coucher. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  81. J'exécuterai tes ordres à merveille, ne te mets pas en peine. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  82. Allons, Merlin, de la vivacité, mon enfant, de la présence d'esprit, Ceci est violent : un père qui revient en impromptu d'un long voyage ; un fils dans la débauche, sa maison en désordre, pleine de cuisiniers ; les apprêts d'une noce prochaine ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  83. Enfin, après bien des travaux et des dangers, voilà, grâce au ciel, mon voyage heureusement terminé ; je retrouve ma chère maison, et je crois que mon fils sera bien sensible au plaisir de me revoir en bonne santé. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  84. Les enfants ont bien de l'obligation aux pères qui se donnent tant de peine pour leur laisser du bien. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  85. Oui ; mais ils n'en ont guère à ceux qui reviennent si mal à propos. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  86. Je ne veux pas différer davantage à rentrer chez moi, et à donner à mon fils le plaisir que lui doit causer mon retour : je crois que le pauvre garçon mourra de joie en me voyant. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  87. Je crois, si je ne me trompe, que voilà Merlin. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  88. Nous ne vous attendions point, je vous assure ; et vous êtes tombé des nues pour nous, en vérité. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  89. Il faut que l'air du pays d'où vous venez soit merveilleux pour les gens de votre âge. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  90. Pour cela, je vous en réponds ; il s'en est servi d'une manière... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  91. Vous ne sauriez comprendre comme ce jeune homme-là aime l'argent : il a mis vos affaires dans un état... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  92. Que tu me fais de plaisir, Merlin, de m'apprendre une si bonne nouvelle ! (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  93. Je trouverai donc une grosse somme d'argent qu'il aura amassée ? (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  94. Et non, vous dis-je : ce garçon-là est bien meilleur ménager que vous ne pensez ; il suit vos traces ; il fatigue son argent à outrance ; et sitôt qu'il a des pistoles, il les fait travailler jour et nuit. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  95. Voilà ce que c'est de donner aux enfants de bonnes leçons et de bons exemples à suivre. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  96. Savez-vous bien, monsieur Merlin, que je suis las de venir tous les jours sans trouver votre maître, et que, s'il ne me paie aujourd'hui, je le ferai coffrer demain, afin que vous le sachiez. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  97. Je vous l'expliquerai tantôt : ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  98. Une affaire de deux mille écus qui me sont dûs par son maître, dont j'ai le billet, et, en vertu d'icelui, une bonne sentence par corps, que je vais faire mettre à exécution. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  99. Oui, justement, Clitandre, un enfant de famille, dont le père est allé je ne sais où, et qui sera bien surpris, à son retour, quand il apprendra la vie que son fils mène pendant son absence. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  100. Et tu dis qu'il a été d'une si bonne conduite ! (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  101. Oui, monsieur ; c'est un effet de sa bonne conduite de devoir cet argent-là. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  102. Car je vois bien, à la mine, que monsieur est du métier. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  103. Tu appelles cela l'effet d'une bonne conduite ? (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  104. Paix, ne dites mot. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  105. Quand vous saurez le fond de cette affaire-là, vous serez charmé de monsieur votre fils ; il a acheté une maison de dix mille écus. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  106. Une maison de dix mille écus ! (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  107. Qui en vaut plus de quinze ; et comme il n'avait que vingt-quatre mille francs d'argent comptant, pour ne pas manquer un si bon marché, il a emprunté les deux mille écus en question de l'honnête fripon que vous voyez. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  108. Au contraire, je ne me sens pas de joie. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  109. Ne vous mettez point en peine de vos deux mille écus ; j'approuve l'emploi que mon fils en a fait. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  110. Revenez demain, c'est de l'argent comptant. (Acte 1, scène 12, G?RONTE)
  111. Tenez, voyez-vous bien cette maison couverte d'ardoise, dont les fenêtres sont reblanchies depuis peu ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  112. Je ne saurais voir cela d'ici. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  113. Ne serait-ce point la maison de madame Bertrand ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  114. Justement, de madame Bertrand ; la voilà : c'est une bonne acquisition, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  115. On ne prévoit pas tout ce qui arrive. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  116. J'ai peine à retenir mes larmes. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  117. C'est ce qui a obligé votre fils à acheter cette autre maison ; nous ne pouvions plus demeurer dans celle-là. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  118. Il n'y a sorte de niches qu'ils ne m'aient faites ; tantôt ils me chatouillaient la plante des pieds, tantôt ils me faisaient la barbe avec un fer chaud ; et, toutes les nuits régulièrement, ils me donnaient des camouflets qui puaient le soufre... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  119. Mais, encore une fois, je crois que tu te moques de moi. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  120. Nous avons vu là-dessus les meilleures devineresses de Paris, la Duverger même ; il n'y a pas moyen de les faire déguerpir : ce diable-là est furieusement tenace ; c'est celui qui possède ordinairement les femmes, quand elles ont le diable nu corps. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  121. Une frayeur soudaine commence à me saisir. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  122. À gauche en entrant, sous une grande pierre noire qui est à côté de la porte. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  123. Sous une grande pierre noire ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  124. Oh çà, monsieur, puisque nous savons la cause du mal, il ne sera pas difficile d'y remédier ; je crois que nous en viendrons à bout : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  125. J'ai peine à me persuader tout ce que tu me dis : cependant on fait tant de contes sur ces matières-là, que je ne sais qu'en croire. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  126. On ne saurait avoir un peu de bien que les hommes ou le diable ne cherchent à vous l'attraper. (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  127. Il y a dans la cave, en entrant, à gauche, sous une grande pierre noire, un sac de cuir qui contient vingt mille francs. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
  128. Je ne la remets pas bien ; viens-t'en m'y conduire toi-même. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  129. Le diable ne s'est pas emparé de celle-1à ; mais madame Bertrand y loge encore. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  130. On est convenu qu'elle achèverait le terme ; et comme elle a l'esprit faible, elle se met dans une fureur épouvantable quand on lui parle de la vente de cette maison ; c'est là sa plus grande folie, voyez-vous. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  131. Je lui en parlerai d'une manière qui ne lui fera pas de peine. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  132. Hé bien, monsieur, parlez-lui donc ; la voilà qui vient heureusement ; mais souvenez-vous toujours qu'elle est folle. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  133. S'il s'avise de vous accoster par hasard, ne prenez pas garde à ce qu'il vous dira ; nous allons le faire enfermer. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  134. Il ne faut pas le contredire ; cela redoublerait son mal. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  135. Il ne se souvient pas que son vaisseau a péri : quelle pitié ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  136. Madame, je ne prétends point abuser de l'état où vous êtes. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  137. Elle a quelquefois de bons moments, mais cela ne dure pas. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  138. Je ne pense pas, monsieur Géronte, qu'on m'ait jamais vue autrement. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  139. Elle ne connaît pas son mal. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  140. Voilà la machine qui se détraque. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  141. La, la, ne vous chagrinez point ; je prétends que vous y ayez toujours votre appartement comme si elle était à vous, et que vous fussiez dans votre bon sens. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  142. Allez, vous êtes un vieux fou ; un vieux fou, à qui il ne faut point d'autre habitation que les Petites-Maisons ; les Petites-Maisons, mon ami. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  143. Puisque vous le prenez sur ce ton-là, vous sortirez de la maison ; elle m'appartient, et j'y ferai mettre mes ballots malgré vous. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  144. À quoi pensez-vous de vous mettre en colère contre une femme qui a perdu l'esprit ? (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  145. Je ne sais pas comment je me tirerai de cette affaire. (Acte 1, scène 19, MERLIN)
  146. Vient-on, s'il vous plaît, faire tapage à la porte d'un honnête homme, et scandaliser toute une populace ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  147. Les diables de chez vous sont un peu ivrognes ; ils se plaisent dans la cave. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  148. Il y a ici quelque fourberie ; je ne donne point là-dedans. (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  149. C'est quelque chose de beau que les voyages, et cela façonne bien un jeune homme : il faut savoir comme monsieur votre fils s'est façonné pendant le vôtre ; les jolies manières... (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  150. Ce garçon-là est bien généreux : il ne vous ressemble pas ; vous êtes un vilain, vous. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
  151. Ces lutins-là sont d'une insolence... (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  152. Que venez-vous de faire chez moi, monsieur, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  153. Ne le voyez-vous pas bien sans que je vous le dise ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  154. J'y viens de boire du bon vin de Champagne, et en fort bonne compagnie. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
  155. Le fripon me ruine. (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  156. Halte là, s'il vous plaît, je ne souffrirai pas que vous entriez là-dedans. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  157. Non ; les lieux ne sont pas disposés pour vous recevoir. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  158. Il serait beau, vraiment, qu'au retour d'un voyage, après une si longue absence, un fils qui sait vivre, et que j'ai façonné, eût l'impolitesse de recevoir son très cher et honoré père dans une maison où il n'y a que les quatre murailles ! (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  159. Une tenture comme celle-là ! (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  160. Oui vraiment ; ce sont deux originaux d'un fameux maître, qui représentent l'enlèvement des Sabines. (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  161. Il y avait là une immodeste Sabine, décolletée, qui... (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  162. Ces nudités-là sont scandaleuses pour la jeunesse. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
  163. Je ne sais ce que c'est que votre nièce ; mais mon fils est un coquin, madame Bertrand. (Acte 1, scène 21, GÉRONTE)
  164. Ne nous plaignons point les uns des autres, et ne parlons point mal des absents ; il ne faut point condamner les personnes sans les entendre. (Acte 1, scène 21, LE-MARQUIS)
  165. vous prenez les choses du bon côté... (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
  166. D'ailleurs, comme dans tout ceci il n'y a pas de votre faute, vous n'avez qu'à ne point faire de bruit, on n'aura pas le mot à vous dire. (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
  167. C'est cette coquine de Lisette et ma nièce. (Acte 1, scène 22, MADAME-BERTRAND)
  168. Il ne faut pas, mon père, abuser plus longtemps de votre crédulité. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
  169. Lucile est ma nièce ; et si votre fils l'épouse, je lui donnerai un mariage dont vous serez content. (Acte 1, scène 23, MADAME-BERTRAND)
  170. Pouvez-vous donner quelque chose, et n'êtes-vous pas interdite ? (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)
  171. Elle ne l'est que de ma façon. ? (Acte 1, scène 23, MERLIN)

ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME (1694)

  1. Vous venez d'être réformé ; il faut bien que vous réformiez votre train. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  2. Pasquin, quitter le service d'un officier, c'est se brouiller avec la fortune. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  3. Ma foi, monsieur, je me suis brouillé avec elle dès le jour que je suis entré chez vous : mais, Dieu merci, je suis au-dessus de la fortune ; je veux me retirer du monde. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  4. Oui, monsieur, j'ai fait depuis peu des réflexions morales sur la vanité des plaisirs mondains : je suis las d'être bien battu et mal nourri ; je suis las de passer la nuit à la porte d'un lansquenet, et le jour à vous détourner des grisettes ; je suis las enfin d'avoir de la condescendance pour vos débauches, et de m'enivrer au buffet, pendant que vous vous enivrez à table. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  5. Il faut faire une fin, monsieur. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  6. Je vais me rendre mari d'une certaine Lisette, qui est le bel esprit de ce village-ci. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  7. Les plus jolies filles de Poitou la consultent comme un oracle, parce qu'elle a fait ses études sous une coquette de Paris ; c'est là où elle est devenue amoureuse de moi. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  8. Mais cette digression vous fait oublier qu'il s'agit entre vous et moi d'une petite règle d'arithmétique. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  9. Il y a huit ans que je vous sers ; à vingt-cinq écus de gages, somme totale, six cents livres ; sur quoi j'ai reçu quelques coups de canne, coups de pied au cul ; partant reste toujours six cents livres, que je vous prie de me donner présentement. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  10. Va, mon cher, je veux bien encore ne te point chasser de chez moi. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  11. Non, mon coeur, tu ne me quitteras point. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  12. Tu ne sais ce qu'il te faut. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  13. La vie champêtre ne convient point à un intrigant, à un fourbe. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  14. Je sais bien que j'ai tous les talents pour faire fortune à la ville ; mais je borne mon ambition à Lisette, à qui j'apporte en mariage les six cents livres dont je vais vous donner quittance. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  15. Tu n'as que tes affaires en tête : parlons un peu des miennes. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  16. Vous n'avez que vos affaires en tête ; reparlons un peu des miennes. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  17. Agathe m'attend chez elle à quatre heures ; et, avant que d'y aller, j'ai à régler certaines choses avec le notaire. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  18. Si ce n'était pas pour une occasion aussi pressante... (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  19. Je ne vous importunerais pas. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  20. Quelque peine que cela me fasse... (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  21. Va, je te donne ton congé. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  22. Tu m'attendris, Pasquin ; je ne veux pas te voir davantage. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  23. Il y a une heure que je te cherche. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  24. Il ne s'agissait entre lui et moi que de deux articles. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  25. Il ne tient qu'à toi de rendre la joie à tout le village. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  26. Ce n'était que fêtes, danses et chansons préparées pour les noces de Colin et d'Agathe ; et depuis que ton officier réformé est venu nous enlever le coeur de cette jolie fermière, toute notre galanterie poitevine est en deuil. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  27. Je ne manque pas de bonne volonté ; mais je considère... (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  28. Et moi, je ne considère plus rien. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  29. C'est que je ne suis pas comme la plupart de celles qui font de pareils marchés. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  30. Je ne t'ai point donné d'arrhes et je romprai, si... (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  31. C'est un jeune amant à la franquette, qui n'est capable que de se trémousser à contretemps. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  32. Il va, il vient, il piétine, il peste contre son infidèle, et a toujours quelque raisonnement d'enfant qu'il veut qu'on écoute ; enfin, c'est un petit obstiné que j'ai été contrainte d'enfermer, afin qu'il me laissât en paix travailler à ses affaires. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  33. J'ai sauté par la fenêtre de la salle où tu m'avais enfermé, pour te venir dire que tout le tripotage de veuve que tu veux faire pour attraper ce Dorante, par-ci, par-là, tant y a que tout ça ne vaut rien. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  34. Laissez opiner Colin ; il me paraît homme de tête. (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
  35. J'ai trouvé un secret pour qu'Agathe me r'aime, et j'ai commencé à imaginer... (Acte 1, scène 4, COLIN)
  36. Et va-t'en achever d'imaginer ; laisse-moi exécuter. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  37. Ce ne sera pas toi qui... (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  38. C'est moi qui suis I'amoureux, une fois ; je veux parler tout mon soûl. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  39. Tenez, si Pasquin me dit que je n'ai pas pus d'esprit que toi, pour ce qui est d'Agathe, je veux bien m'en retourner dans la salle. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  40. C'est que j'ai eune ruse pour faire venir Agathe dans un endroit où je vous cacherai tous deux. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  41. Et pis, quand a sera là, je li dirai : Çà, gnia personne qui nous écoute ; n'est-y pas vrai, Agathe, qu'ou m'avez dit cent fois qu'ou m'aimiez ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
  42. N'est-y pas vrai, li redirai-je, que quand vous me dites ça, je dis, moi, que les paroles étaient belles et bonnes, mais que ça ne tient guère, à moins qui n'y ait quelque chose, là, qui signifie qu'ou n'oseriez pus prendre d'autre mari .que moi ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
  43. Je ne barguignerai point à li faire tout dire ; car si a m'épouse, l'épousaille couvre tout ; et sinon, je sis bien aise qu'on sache que la récolte appartient à sti qui a défriché la terre. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  44. A dira peut-être que c'est qu'a dormait ; mais je sais bien qu'a ne faisait que semblant ; car a se réveillit tout juste quand... (Acte 1, scène 4, COLIN)
  45. À ne voudra pas. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  46. Colin imagine mieux que nous, mais nous exécuterons mieux que Colin. (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
  47. Partant, condamné à retourner dans la salle jusqu'à ce que nous ayons besoin de lui. (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
  48. Ne vlà-t-il pas qu'il dit comme Lisette à cause que... (Acte 1, scène 4, COLIN)
  49. Va donc, ou je ne me mêle plus de tes affaires. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  50. Quand l'amour s'est une fois emparé d'un coeur aussi simple que celui d'Agathe, il est difficile de l'en chasser ; il se trouve mieux logé là que chez une coquette. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
  51. Il faut empêcher Agathe de sortir de chez elle, afin qu'elle ne vienne point rompre les mesures que nous avons prises. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  52. La coiffure seule suffit pour amuser une femme toute la journée. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
  53. Je vous avais bien dit que ses empressements ne dureraient pas. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  54. En une nuit, il arrive de grandes révolutions dans le coeur d'un Français. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  55. Oui, sur la fin de ce siècle-ci, les amants et les saisons se sont bien déréglés ; le chaud et le froid n'y dominent plus que par caprice. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  56. En Poitou nous avons une règle certaine ; c'est que le jour des noces, le thermomètre de la tendresse est à son plus haut degré ; mais le lendemain il descend bien bas. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  57. Quand Colin me disait tout simplement qu'il me serait fidèle, je le croyais ; et je ne croirais pas Dorante qui est gentilhomme, et qui fait des serments horribles qu'il m'aimera toujours ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  58. En amour, les serments d'un courtisan ne prouvent rien ; c'est le langage du pays. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  59. Si vous vouliez m'écouter une fois en votre vie, je vous ferais voir que Dorante... (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  60. Je voudrais bien l'être aussi ; niais je ne sais pas lequel je dois mettre des deux habits. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  61. Dis-moi, Pasquin, lequel aimera-t-il mieux de l'innocente ou de la gourgandine ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  62. La gourgandine a toujours été du goût de mon maître. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  63. Elles n'inventent point de modes qui ne servent à cacher quelque défaut. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  64. Je ne pourrai jamais venir à bout d'arranger tant de machines sur ma tête ; il n'y a pas de place pour en mettre seulement la moitié. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  65. Quand il s'agit de placer des fadaises, la tête d'une femme a plus d'étendue qu'on ne pensé. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  66. Il s'intitule : « Les Éléments de la toilette, ou le Système harmonique de la coiffure d'une femme. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  67. Pour le premier, il ne contient qu'une table alphabétique des principales pièces qui entrent dans la composition d'une commode, comme : (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  68. « Petits tours blonds à boucles fringantes pour les fronts étroits et les nez longs. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  69. « Suppléments ingénieux qui donnent du relief aux joues plates. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  70. « Cornettes fuyantes pour faire sortir les yeux en avant. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  71. Allez vite arranger votre toilette ; je vous, enverrai mon maître sitôt qu'il aura fini une petite affaire. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  72. Qu'il ne me fasse pas attendre au moins. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  73. Pour se venger, elle a pris plaisir à se trouver masquée à deux ou trois assemblées où il était, de faire la passionnée ; en un mot, de se moquer de lui, trouvant toujours des excuses pour ne se point démasquer. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  74. C'est une gaillarde qui fait mille plaisanteries de cette nature pour égayer son veuvage. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  75. Tant pis ; car on ne saurait bien contrefaire la veuve, qu'on n'ait contrefait la femme mariée. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  76. Amuse-le pendant que je me déguiserai ; et après, tu iras avertir Agathe qu'elle vienne nous surprendre ; tu la feras écouter notre conversation. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  77. Comment lui tournerai-je la chose ? (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
  78. Mais il ne faut pas tant de façon avec mon maître. (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
  79. Ne m'arrête point ; Agathe m'attend. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  80. Fait comme vous êtes, monsieur, je n'eusse jamais deviné que l'amour vous ferait perdre votre fortune. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  81. Ne t'ai-je pas dit que la sotte est devenue invisible à Poitiers ? (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  82. Amoureux comme vous êtes, vous ne voudriez pas rompre un mariage d'inclination pour vingt mille écus plus_ou_moins. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  83. Je serai ravi de te faire gagner cent pistoles. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  84. On est convenu avec moi que le hasard amènerait la veuve sous cet orme dans un quart_d_heure. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  85. Cachez-vous un oeil avec votre chapeau, la main dans la ceinture, le coude en avant, le corps d'un côté et la tête de l'autre ; surtout, gardez-vous bien de vous promener sur une ligne droite, cela est trop bourgeois. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  86. Si vous pouviez vous souvenir de cette mine que vous fîtes l'autre jour à la comédie, là, une certaine mine qui perdit de réputation cette femme à qui vous n'aviez jamais parlé. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  87. N'y a-t-il rien de nouveau en Catalogne ? (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  88. Que dit-on de l'Allemagne ? (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  89. Ne savez-vous point par coeur quelque impromptu de l'opéra nouveau ? (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  90. Il m'enchaîne comme un forçat. v.17 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  91. Retirons-nous donc, monsieur : il est dangereux d'interrompre les larmes d'une veuve. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  92. Un cavalier fait comme vous ne saurait en consoler une, qu'il n'en afflige mille autres. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  93. N'achevez pas, monsieur ; je crains que vous ne me fassiez des propositions que je ne pourrais entendre sans horreur ; car, enfin, il n'y a encore que huit ans que mon mari est mort. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  94. Vous allez rouvrir une plaie qui n'est pas encore bien refermée. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  95. Que je ne me remarierais point. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  96. Je ne dors point ; la fatigue du carrosse, la chaleur, la poussière, le grand jour... (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  97. Puisqu'il faut vous l'avouer, dès la seconde fois que je vous vis, je formai le dessein de faire votre fortune ; mais je voulais vous éprouver. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  98. Je l'avoue finalement ; à votre refus, j'avais baissé les yeux sur une petite fermière ; parce que je trouvais une somme d'argent pour nettoyer de gros biens que j'ai en direction : mais d'honneur je ne l'ai jamais regardée que comme un enfant, une poupée avec quoi on se joue ; et depuis les charmantes conversations de Poitiers, vous n'avez point désemparé mon coeur. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  99. Apparemment que je vous crois, puisque je veux bien vous donner ma main. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  100. Mais, avant toutes choses, il faut que vous disiez à Agathe, en ma présence, que vous ne l'avez jamais aimée. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  101. Mais enfin, dire en face à une femme que je ne l'aime point, c'est l'assassiner : le coup est mortel, madame ; et je dois avoir des ménagements pour une pauvre petite créature, qui... (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  102. Qui, puisqu'il faut vous faire la confidence, a eu pour moi certaines faiblesses. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  103. Au moins, je vous ordonne d'aller tout présentement rompre l'engagement que vous avez avec le père. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  104. Allez promptement, et revenez dans une demi-heure m'attendre sous cet orme. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  105. La jolie mignonne ! (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  106. Je ne sais pas. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  107. Ne craignez rien, ma bouchonne. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  108. Je ne suis fâchée que de ce qu'il vous vient de dire des faussetés de moi. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  109. Ne le croyez pas au moins, madame ; c'est un méchant qui en dira tout autant de vous. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  110. Est-ce que vous me soupçonnez de ce que ce menteur-là vous a dit ? (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  111. Dorante ne saurait mentir ; il est gentilhomme. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  112. Ce n'est pas sa faute, comme vous voyez, si je ne suis qu'une fausse veuve. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  113. Il fera tout comme s'il vous aimait ; et sitôt que vous lui aurez dit un mot, il ne songera plus qu'à se venger de Dorante. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  114. Qu'il ne s'y joue pas : Dorante m'a dit qu'il était bien méchant. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  115. Il s'agit d'une vengeance qui servira de divertissement à toute notre petite société galante. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  116. Il sera berné... qu'il ne manquera rien. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  117. Pasquin me vient de dire que tout allait bien, pourvu que je patientisse ; mais, quand je devrais tout gâter, je ne saurais plus me tenir en place ; je sis trop amoureux. (Acte 1, scène 15, COLIN)
  118. Ce n'est pas de vous au moins que je dis que je sis amoureux : il ferait beau var que j'aimisse encore eune... ingrate ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
  119. Eune... (Acte 1, scène 15, COLIN)
  120. Eune... (Acte 1, scène 15, COLIN)
  121. Oui, vous êtes une traîtresse. (Acte 1, scène 15, COLIN)
  122. Ne vous avais-je pas averti que je voulais aimer Dorante ? (Acte 1, scène 15, AGATHE)
  123. Eune.... (Acte 1, scène 15, COLIN)
  124. Pierrot, Nanette et Licas nous doivent aider ; ils sont là tout prêts. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  125. C'est signe qu'al' a retrouvé l'esprit qu'al' avait pardu. (Acte 1, scène 16, COLIN)
  126. Que je suis honteuse, Nanette, d'avoir été trompée par un homme ! (Acte 1, scène 16, AGATHE)
  127. Mais nous allons faire voir à ce petit coquet de Dorante qu'il ne sait pas son métier, puisqu'il donne le temps à une fille de faire des réflexions. (Acte 1, scène 16, NANETTE)
  128. Oui, je vais vous donner votre rôle. (Acte 1, scène 16, LISETTE)
  129. J'ai bien fait de ne voir ni le père ni la fille : si la veuve m'allait manquer, je serais bien aise de retrouver Agathe. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
  130. Il est vrai que je t'ai aimé ; mais c'est justement pour cela que je ne t'aime plus. (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  131. Tu m'en voulus donner une preuve certaine. v.21 (Acte 1, scène 18, NICAISE)
  132. Je ne serais plus à la peine v.23 (Acte 1, scène 18, NICAISE)
  133. Tu ne m'as pas prise au mot ; v.30 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  134. Ces poitevines sont galantes naturellement. (Acte 1, scène 19, DORANTE)
  135. La veuve est partie, monsieur ; une de ses tantes est venue l'enlever à ma barbe. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
  136. Tout ce que la pauvrette a pu faire, c'est de sortir la tête par la portière du carrosse, et de me faire signe de loin qu'elle ne laisserait pas de vous aimer toujours. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
  137. Pardon, ma charmante ; j'ai eu une affaire indispensable. (Acte 1, scène 21, DORANTE)
  138. la la, ne jurez point. (Acte 1, scène 21, AGATHE)
  139. Vous ne le connaissez pas ? (Acte 1, scène 23, AGATHE)
  140. Une noce ! (Acte 1, scène 23, PASQUIN)
  141. Vive la Poitevine ! v.39 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  142. Prenez la fillette v.42 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  143. En tout cas, il faut faire bonne contenance. (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  144. Nous sommes trahis ; on nous berne, monsieur. (Acte 1, scène 24, PASQUIN)
  145. Ne vous manqueront pas : v.53 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  146. Ne donne à l'officier v.60 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  147. Tout bellement, ou nous ferons sonner le tocsin sur vous. (Acte 1, scène 24, PIERROT)

LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX (1705)

  1. Honneur au seigneur Apollon. v.1 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  2. Ah ! Dieu vous gard', seigneur Mercure. v.2 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  3. Que je ne me tiens guère en place. v.6 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  4. Vous êtes le bras droit du grand dieu du tonnerre ; v.11 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  5. Votre peine est utile aux hommes comme aux dieux ; v.12 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  6. Qui ne songent là-haut qu'à respirer l'encens, v.17 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  7. Vous vous plaignez à tort d'un trop pénible emploi. v.19 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  8. Éclairer la machine ronde, v.21 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  9. Mener quatre chevaux quinteux, v.23 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  10. Le seigneur Jupiter, dont vous êtes l'agent, v.32 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  11. Tous vos faiseurs de vers, mal avec la fortune, v.40 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  12. En ont tous épousé quelqu'une. v.41 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  13. Une bergère, une grisette, v.44 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  14. Mais le bon Jupiter ne s'en étonne pas, v.48 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  15. On me donne cent qualités. v.64 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  16. Je suis l'agent du dieu qui lance le tonnerre ; v.65 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  17. Je donne aux chimistes la loi. v.72 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  18. Des pâles médecins la cohorte assassine v.73 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  19. Le furet de la médecine : v.75 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  20. Mon crédit est tombé, je suis de bonne foi. v.81 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  21. Me donnent, à Paris, quelque occupation ; v.89 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  22. Pour célébrer une fête publique, v.91 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  23. Hé quoi ! Sans vous donner la peine v.95 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  24. N'est-il point là d'auteurs amoureux de la scène, v.97 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  25. La comédie en pleurs, et la scène déserte, v.102 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  26. Pour paraître encore une fois. v.110 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  27. Il ne faut pas de longs discours. v.118 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  28. Qui ne mâche chez vous qu'un laurier insipide v.129 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  29. Ne pouvant me donner de pain, v.142 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  30. À tourner la meule au moulin ? v.144 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  31. Sèche sa veine et la tarit ; v.151 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  32. Vous demander une pièce comique, v.155 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  33. Elles ne trouvaient point l'hymen un esclavage ; v.166 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  34. Oh ! Ce n'est plus le temps. Une loi plus austère v.169 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  35. Fixe une femme au premier choix : v.170 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  36. Elle ne peut avoir qu'un époux à la fois ; v.171 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  37. Une troupe lâche et stérile v.178 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  38. Et qui ne cessaient de les suivre, v.181 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  39. À l'heure du dîner, font de sûres visites ? v.188 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  40. Une pièce de moi, je crois, ne plairait guère ; v.192 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  41. À moins qu'Apollon ne fit choix v.193 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  42. Porter la scène ailleurs, changer, faire et défaire : v.196 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  43. Les Ménechmes, qu'il dit avoir tiré de vous, v.203 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  44. Tout auteur que je sois, je ne suis point jaloux v.205 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  45. Messieurs, ne soyez point en peine v.215 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  46. Qu'elle paroisse sur la scène. v.218 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  47. Je ne puis plus longtemps souffrir sa négligence ; v.240 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  48. Quant à présent, monsieur, je ne vous puis rien dire ; v.244 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  49. Je ne sais qui me tient, que de vingt coups de canne... v.248 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  50. Quoi, maraud ! Pour aller jusques à la douane v.249 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  51. Ils ne répondent point que par monosyllabes. v.253 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  52. Mais, monsieur... Revenez. Faites-moi le plaisir... v.255 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  53. Toujours à la douane ? v.259 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  54. Usait depuis une heure avec moi de remise, v.261 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  55. Je me sens de bien vivre une assez bonne envie. v.268 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  56. Mais je vous aime trop, je ne puis vous quitter. v.271 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  57. De parler librement me donne l'avantage. v.273 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  58. Pour vous donner la main et vous conduire au lit : v.278 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  59. De ces petits excès je ne vous ai rien dit : v.279 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  60. Je te pardonnerais d'aimer un peu le vin, v.282 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  61. Je vous imite en tout. Vous, d'une ardeur extrême, v.292 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  62. Vous allez chaque jour, d'une ardeur vagabonde, v.296 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  63. Faisant rafle partout, de la brune à la blonde. v.297 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  64. Vous l'aimez, dites-vous : je ne sais pas pourquoi... v.299 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  65. Tu ne sais pas pourquoi ! Se peut-il qu'à ses charmes, v.300 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  66. À ses yeux tout divins on ne rende les armes ? v.301 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  67. Nous ont plus d'une fois tiré de mauvais pas, v.307 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  68. Et moi je pourchassais Finette la suivante. v.309 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  69. De la mienne elle n'a ni l'air ni la façon. v.318 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  70. C'est « À monsieur Ménechme, à présent à Paris. » v.323 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  71. Je ne reconnais point cette façon d?écrire ; v.325 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  72. Mais vous me prenez donc, monsieur, pour une bête ? v.329 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  73. Et passant à Péronne, où fut le dernier gîte, v.332 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  74. Romps chaîne et cadenas. v.342 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  75. Je ne vois là-dedans pas une de vos hardes. v.345 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  76. Et je ne crois pas, moi, que dans votre valise v.348 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  77. Nous eussions pour vingt francs de bonne marchandise. v.349 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  78. Tenez, en voilà d'autres v.352 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  79. Ce meuble de chicane appartient sûrement v.358 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  80. À quelque homme du Maine, ou quelque Bas-Normand. v.359 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  81. Quel est l'excès de cet étonnement ? v.362 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  82. L'aventure ne peut se comprendre aisément. v.363 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  83. Tu ne la croiras pas quand je te la dirai. v.366 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  84. Si vous ne mentez pas, monsieur, je vous croirai. v.367 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  85. Je suis né, tu le sais, assez près de Péronne, v.368 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  86. D'un sang dont la valeur ne le cède à personne. v.369 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  87. Las de passer mes jours dans le fond d?une terre, v.372 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  88. En différents pays j'ai brusqué la fortune, v.376 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  89. Sans que l'on ait de moi reçu nouvelle aucune ; v.377 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  90. En toute sa personne est rendu trait pour trait ; v.383 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  91. Que deux gouttes de lait ne sont pas plus semblables. v.385 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  92. Nous attachait un signe afin de nous connaître. v.389 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  93. Vous m'avez dit cela déjà plus d'une fois. v.390 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  94. Ne manquez donc point de vous rendre au plus tôt à Paris, et faites-moi la grâce de me croire votre très humble et très obéissant serviteur, (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  95. Il faut que justement je fasse une méprise, v.412 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  96. Et que notre bonheur vienne de ma sottise. v.413 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  97. Va, cours, informe-toi, ne perds pas un moment. v.426 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  98. Qui, dans une heure au plus, m'en diront des nouvelles. v.429 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  99. Ses airs et ses discours sont tous impertinents ; v.435 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  100. Enfin, c'est une folle, et qui veut qu'on la flatte : v.436 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  101. Retourne à la douane, au coche, au messager. v.439 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  102. Nous reverrons Ménechme aujourd'hui : quelle joie ! v.441 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  103. Je ne puis demeurer en place, ni chez moi. v.442 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  104. Comment me trouves-tu ? Dis, Finette. v.444 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  105. Et quel dieu près de moi vous ramène ? v.451 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  106. Non, je ne vois que vous qui, sans art, sans secours, v.454 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  107. Puissiez paraître ainsi plus jeune tous les jours. v.455 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  108. Me consolait un peu d'une absence effroyable : v.460 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  109. La nuit même ne peut vous cacher à mes yeux. v.463 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  110. Vous aviez de Vénus et l'habit et la mine : v.476 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  111. Cent mille Amours poussaient une conque marine, v.477 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  112. Mon âme, à cet aspect, d'étonnement saisie... v.481 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  113. Vous sentiez la déesse une lieue à la ronde. v.489 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  114. M'étant donc avancé pour vous donner la main, v.490 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  115. Et je me suis trouvé dans une grotte obscure, v.492 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  116. Vous vous laissiez toucher d'une bonté nouvelle, v.496 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  117. Toujours mal à propos ils viennent vous trouver. v.502 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  118. Votre bonheur toujours ne fût pas en chimère, v.505 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  119. Pût donner à vos feux plus de réalité. v.507 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  120. Rejetons loin de nous cette funeste idée ; v.517 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  121. J'ai fait, dès ce matin, inviter une amie, v.520 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  122. Et vous augmenterez la bonne compagnie. v.521 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  123. Madame, cet honneur m'est bien avantageux. v.522 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  124. Une affaire à présent m'arrache de ces lieux : v.523 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  125. L'amour qu'il a pour moi ne s'imagine pas : v.527 (Acte 2, scène 4, ARAMINTE)
  126. Un jeune homme doué d'esprit et de vertus, v.538 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  127. Moi, j'ai cinquante ans ! Moi ! Finette ? v.556 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  128. On ne la croit plus jeune ! Il est de sottes gens ! v.559 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  129. Et je raisonne ainsi : J'en ai cinquante, et passe ; v.561 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  130. Et je sais fort bien, moi, que cela ne peut être. v.564 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  131. Ma jeunesse à mon teint se fait assez connaître. v.565 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  132. Ce que je puis vous dire en termes clairs et nets, v.566 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  133. Allons, Finette, allons. v.573 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  134. Monsieur, une autre fois, ou bien ne parlez pas, v.574 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  135. Ou prenez, s'il vous plaît, de meilleurs almanachs. v.575 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  136. Ma maîtresse est encor, malgré vous, jeune et belle ; v.576 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  137. Votre frère est trouvé, mais ce n'est pas sans peine ; v.584 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  138. Vous m'en voyez, monsieur, encor tout hors d'haleine. v.585 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  139. Où quelque créancier ne m'ait choqué la vue : v.589 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  140. De m'acquitter vers lui rien ne peut m'empêcher. v.595 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  141. Tant mieux. Ne sachant plus enfin quel parti prendre, v.596 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  142. À la douane encor j'ai bien voulu me rendre ; v.597 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  143. Ce n'est qu'un ; je m'y suis trompé plus d'une fois. v.603 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  144. On doit peu s'étonner de cet air de rudesse v.608 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  145. Cet air sauvage et dur qui règne encore en lui. v.611 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  146. Il s'est même informé pour une hôtellerie. v.616 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  147. La Fortune aujourd'hui me paraît désarmée. v.621 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  148. À notre campagnard nous donnerions la tante ; v.628 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  149. Jamais succession ne m'est encor venue. v.636 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  150. Quelle délicatesse et vaine et ridicule ! v.641 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  151. Qu'elle ne me voit pas avec indifférence ; v.649 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  152. Son père n'en sait rien, et ne me connaît pas ; v.650 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  153. On se marierait plus que la loi ne permet. v.659 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  154. Ainsi vous n'aurez pas besoin d'en prendre une autre. v.665 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  155. Pour dîner avec elle Araminte m'attend. v.667 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  156. Vous dînerez demain. Je crois voir votre frère : v.669 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  157. Il vient de ce côté, je ne me trompe pas ; v.670 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  158. Ne pouvoir arriver à votre hôtellerie. v.677 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  159. On ne peut faire un pas que l?on ne trouve un piège : v.680 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  160. De leur maudit bâton me donnent dans les reins. v.687 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  161. On la change en une autre, où ce qui fut dedans, v.694 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  162. À le bien estimer, ne vaut pas quinze francs : v.695 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  163. Je ne le vois que trop. Suffit, ce coup de main v.698 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  164. C'est pourtant une affaire v.708 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  165. Que l'on ne conclut pas en un jour, d'ordinaire. v.709 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  166. Et dans tous vos desseins vous donne un plein succès ! v.719 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  167. Ne sauriez-vous me dire où loge un certain homme, v.724 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  168. Qui vous peut enseigner mieux que moi sa maison ? v.727 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  169. Vous ne pouvez pas mieux vous adresser qu'à moi : v.731 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  170. Mais j'aperçois Finette. Ah ! Juste ciel ! Je tremble v.733 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  171. Qu'elle ne vienne ici gâter ce que j'ai fait. v.734 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  172. Le dîner se morfond ; ma maîtresse s'ennuie. v.736 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  173. Voir qui peut empêcher que vous ne venez pas : v.739 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  174. Ma maîtresse ne peut en deviner la cause. v.740 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  175. Faut-il, pour un dîner, s'habiller de la sorte ? v.744 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  176. Venez-vous d'un convoi, monsieur ? v.745 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  177. Mon zèle de ces soins ne peut se dispenser : v.750 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  178. Ma maîtresse a pour vous une tendresse extrême, v.752 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  179. Ne le savez-vous pas ? v.754 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  180. Voilà, sur ma parole, une agente d'amour. v.762 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  181. Elle en a bien la mine. v.763 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  182. Mais Ménechme est le seul qui flatte sa tendresse. v.765 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  183. Je ne vous connais point. v.768 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  184. Je me nomme Finette, et sers chez Araminte ; v.769 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  185. Je ne m'y connais pas, ou bien, sur ma parole, v.772 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  186. Ma maîtresse à dîner chez elle vous attend. v.775 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  187. Belle et de bonne humeur, qui loge en son quartier. v.778 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  188. Voulez-vous, de bon sens, me dire une parole ? v.788 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  189. De me baliverner avec vos contes bleus, v.790 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  190. Et me faire enrager depuis une heure ou deux ? v.791 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  191. Qu'est-ce qu'une Araminte, un objet qui m'adore, v.792 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  192. Une amie, un dîner, et cent discours encore, v.793 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  193. Tous plus sots l'un que l'autre, à quoi l'on ne comprend v.794 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  194. Vous ne voulez donc pas être plus raisonnable, v.796 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  195. Ni dîner au logis ? v.797 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  196. Non, je me donne au diable. v.797 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  197. Adieu, digne valet d'un trop indigne maître : v.808 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  198. Je ne le connais plus, et ne sais où j'en suis. v.810 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  199. Et que vous arrivez pour toucher une somme. v.817 (Acte 2, scène 4, VALENTIN)
  200. Il ne faut pas, ma foi, que ce soit une bête. v.821 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
  201. Ne restons pas, monsieur, en ce lieu plus longtemps : v.822 (Acte 2, scène 4, VALENTIN)
  202. Non, je ne croirai point ce que tu me dis là. v.826 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  203. Vous témoignez, monsieur, bien de l'indifférence ! v.829 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  204. Le dîner vous attend ; et vous savez, je crois, v.830 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  205. Je trouve surprenant... Je ne m'attendais pas v.834 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  206. Si d'ailleurs... Par ma foi je ne sais que répondre. v.837 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  207. Ne m'annoncent-ils point de triste événement ? v.839 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  208. Parlez, mon cher enfant. Daignez ne me rien taire. v.841 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  209. Jamais je ne me bats. v.842 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  210. Tout mon bien est à vous, et ne l'épargnez pas. v.843 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  211. Quand on s'aime, et qu'on a pour but de chastes chaînes, v.844 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  212. Tout le bien et le mal, les plaisirs et les peines, v.845 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  213. Tout, entre deux amants, doit ne devenir qu'un. v.846 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  214. Et je veux avec vous courir même fortune. v.848 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  215. Je vous suis obligé de vous voir si commune ; v.849 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  216. Mais je ne comprends point quels discours sont les vôtres. v.852 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  217. Dans ses discours, parfois, il est impertinent. v.854 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
  218. Entrons donc pour dîner. v.855 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  219. Je ne puis maintenant ; v.855 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  220. Hé bien ! Peut-on plus loin porter l'impertinence ? v.860 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  221. Mais, ma foi, si jamais chez nous vous revenez, v.862 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  222. Je vous fais de la porte un masque sur le nez. v.863 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  223. Mais d'où venez-vous donc ? Ne me déguisez rien. v.866 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  224. Vous feignez l'ignorer ; mais vous le savez bien. v.867 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  225. Et de quel coche ici me venez-vous parler ? v.870 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  226. Et je ne pense pas que, de Paris à Rome, v.872 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  227. Finette, il perd l'esprit. v.874 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  228. Il ne perd pas beaucoup. v.874 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  229. Je suis las, à la fin, de tant d'impertinences. v.877 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  230. C'est pour les terminer que l'on me voit ici, v.879 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  231. Et non pas pour dîner avec des créatures v.880 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  232. Qui viennent comme vous chercher des aventures. v.881 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  233. Je ne me suis jamais senti tant de vigueur. v.887 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  234. J'aurai soin du valet ; n'épargnez pas le maître. v.888 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  235. De tout ce différend je ne veux rien connaître, v.889 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
  236. Et je ne prétends point me battre contre toi. v.890 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
  237. Finette, tu le sais ; rien ne te fut caché. v.894 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  238. Va, n'attends plus de moi que haine et que rigueurs. v.898 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  239. Mais voyez quelle rage et quel déchaînement ? v.906 (Acte 2, scène 7, MÉNESCHME)
  240. Et l'on ne peut assez louer votre vertu. v.911 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
  241. Là, si vous me jugez digne de quelque emploi, v.914 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
  242. Il n'est homme à présent dont vous ne trompiez l'oeil. v.927 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  243. On ne peut distinguer qui des deux est mon maître ; v.928 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  244. Et moi, votre valet, j'ai peine à vous connaître. v.929 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  245. Pour ne m'y pas tromper, souffrez que, de ma main, v.930 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  246. Je vous attache ici quelque signe certain. v.931 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  247. Donnez-moi ce chapeau. v.932 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  248. Je ne ris nullement : v.935 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  249. Et dans une heure il doit me compter mon argent. v.939 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
  250. Et chez elle à dîner a voulu l'introduire. v.944 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  251. Lui, surpris, interdit, et ne sachant que dire, v.945 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  252. Il ne peut du vrai fait imaginer la cause. v.953 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  253. Qui se nomme Ménechme, et qui vient de Péronne, v.960 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  254. À dessein d'épouser votre fille en personne. v.961 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  255. Souffrez aussi, monsieur, qu'une pareille joie v.964 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
  256. Un oncle que j'aimais d'une amitié bien tendre. v.973 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
  257. Mais nous parler de lui, c'est toucher une corde v.977 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  258. Il ne fut attaqué que de la maladie v.985 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  259. Qui causa de sa mort le funeste accident. v.986 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  260. Prenons une matière et plus vive et plus gaie. v.989 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  261. Et, de plus, Isabelle est une cire molle v.997 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  262. Quand vous ne seriez pas au gré de son désir v.999 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  263. Mais je ne pourrai pas, dans son ardent transport, v.1007 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
  264. Va vite ; je ne suis qu'un moment en ces lieux. v.1011 (Acte 3, scène 3, LE-CHEVALIER)
  265. Et la personne aussi sera de votre goût. v.1018 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  266. Que je ne prétends point me marier. v.1022 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  267. D'où vous vient pour l'hymen ce brusque éloignement ? v.1023 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  268. Ils veulent qu'une femme épouse leurs caprices : v.1028 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  269. Madame, il ne faut pas si fort se déchaîner v.1034 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
  270. Contre le malheureux que l'on veut vous donner : v.1035 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  271. Que vois-je ? Juste ciel ! Et quel étonnement ! v.1038 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  272. C'est Ménechme, grands dieux ! C'est lui, c'est mon amant. v.1039 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  273. Non ; ne contraignons point, monsieur, ses volontés : v.1043 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
  274. Un époux fait à peindre, un jeune homme bien né, v.1047 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  275. Eh ! Oui, si dans mon choix vous ne me traversiez. v.1051 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  276. Ne rompaient mes desseins et toutes mes visées. v.1053 (Acte 3, scène 4, D?MOPHON)
  277. À ne vous point mentir, depuis que je l'ai vu, v.1054 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  278. Vous n'avez plus pour moi cette haine sévère, v.1057 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
  279. Mon père me l'ordonne, et je suis mon devoir. v.1059 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  280. Ne crains-tu point l'effet de mon coeur irrité ? v.1063 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  281. Madame, je ne sais ce que vous voulez dire ; v.1064 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
  282. Vous me prenez ici pour un autre, je crois. v.1066 (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
  283. Tu 'abusais, hélas ! d'une feinte tendresse : v.1069 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  284. Et moi, de bonne foi, je te donnais mon coeur, v.1070 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  285. Mais je ne comprends rien à tout ce que vous dites. v.1073 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
  286. Ne vous vit, ni connut, et n'en a nulle envie ? v.1081 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
  287. Il ne me connaît pas ! Vous êtes fou, je crois ! v.1082 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  288. Il aurait tout au long fait la campagne à pied. v.1087 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  289. Oh ! J'en donne ma parole. v.1089 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
  290. Je ne veux pas ici m'exposer plus longtemps v.1090 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
  291. Ne vous arrêtez point à tout ce qu'elle dit ; v.1094 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
  292. Ne crois pas m'échapper. v.1098 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  293. Ne soit venue ici causer quelque malheur. v.1107 (Acte 3, scène 7, DÉMOPHON)
  294. Je viens vous donner le bonjour, v.1115 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  295. Épouser une fille appelée Isabelle, v.1117 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  296. Nous avions, de vous voir, une allégresse extrême, v.1129 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  297. Et ce début, tout franc, ne me satisfait guère. v.1137 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  298. Quand l'esprit ne va pas de pair avec les charmes. v.1144 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  299. Je ne le connais plus, son esprit s'est troublé. v.1147 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  300. J'aime les gens d'esprit plus que personne en France : v.1148 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  301. De gâter la jeunesse, et n'est utile à rien : v.1151 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  302. Aussi je n'ai jamais mis le nez dans un livre ; v.1152 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  303. Sait tirer en volant, boire, et signer son nom, v.1154 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  304. Prendrez-vous une charge à la cour, à l'armée ? v.1156 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  305. Si la sujétion ne me fatiguait pas. v.1159 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  306. Ne m'avaient assuré que je vivrai cent ans : v.1162 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  307. Vous avez bien la mine, et soit dit entre nous, v.1170 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  308. Pour le temps à venir ne me dit rien de bon : v.1175 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  309. Monsieur, ne craignez rien ; v.1178 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  310. Vous ne les flattez pas. v.1186 (Acte 3, scène 9, VALENTIN)
  311. Je ne me contrains pas, et dis ce que je pense. v.1188 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
  312. De ne plus demeurer autre part que chez moi ? v.1190 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  313. Vous souffrir en une hôtellerie ! v.1192 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  314. Un de nos créanciers tourne vers nous ses pas : v.1203 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  315. Et je viens des premiers vous donner le bonjour. v.1207 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  316. Nous étions tous pour vous dans une peine extrême ; v.1208 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  317. Qu'il ne vous arrivât quelque coup de malheur. v.1211 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  318. M'aimer sans m'avoir vu ! Voilà de bonnes âmes ! v.1212 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  319. Nous le devons, monsieur, pour plus d'une raison : v.1214 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  320. Une espèce de fou d'un plaisant caractère, v.1217 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  321. C'est sa folie enfin : il n'aborde personne v.1220 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  322. Qu'un mémoire à la main ; et déjà je m'étonne v.1221 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  323. Qu'il ne vous ait point fait quelque sot compliment. v.1222 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  324. Votre bonne santé, plus que l'on ne peut croire, v.1224 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  325. Sa mémoire est perdue ; il ne se souvient plus, v.1238 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  326. Ciel ! Que me dites-vous ? Quel triste événement ! v.1242 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  327. On l'a mis, à la guerre, en une batterie v.1244 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  328. Qu'il s'est fait dans sa tête une commotion v.1246 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  329. De son faible cerveau... la membrane trop tendre... v.1248 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  330. Oh ! L'effet du canon ne saurait se comprendre. v.1249 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  331. Monsieur, souvenez-vous que ce sont des habits v.1254 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  332. Et je n'ai pas le temps d'entendre vos sornettes : v.1257 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  333. Ah, monsieur ! Contre un fou ne vous emportez pas. v.1263 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  334. Plaignez l'état où le sort l'a réduit. v.1267 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  335. Ne faites point d'affaires. v.1268 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  336. C'est un crime effroyable et digne des galères. v.1269 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  337. Laissez-moi lui couper le nez. v.1270 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  338. Que feriez-vous, monsieur, du nez d'un marguillier ? v.1271 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  339. Vous causerez ici quelque accident funeste. v.1272 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  340. Oui, je pars : mais peut-être, avant qu'il soit une heure, v.1276 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  341. Pour être le plastron de ses impertinences ? v.1280 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
  342. Qu'il prenne un autre champ pour ses extravagances. v.1281 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
  343. Allons chez mon notaire, et ne différons plus. v.1282 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
  344. Je vous attendrai donc. Allez, ne tardez pas. v.1287 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
  345. Servir utilement la Fortune et l'Amour. v.1295 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
  346. Personne du logis n'est sorti dans la rue : v.1297 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  347. Ne fasse encor trop tôt découvrir le mystère. v.1301 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  348. Je les ai mis aux mains d'une ardeur assez vive. v.1304 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  349. Mais j'aperçois Finette ; et mon coeur amoureux v.1306 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  350. En attendant qu'il vienne, v.1308 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  351. Souffre que mon amour un moment t'entretienne, v.1309 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  352. Porte ailleurs tes présents ; ne me parle jamais. v.1311 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  353. Qu'il faut sur le valet que j'en prenne vengeance. v.1313 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  354. Ah ! Cela ne vaut rien. v.1314 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  355. Le cas, à mon avis, ne paraît pas égal. v.1323 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  356. (À peine pouvons-nous dire comme il se nomme) v.1329 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  357. Ont mis notre fortune en un vol bien rapide. v.1333 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  358. Tu vois bien qu'il ferait une sottise extrême, v.1341 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  359. Dans un char magnifique, allant à la campagne, v.1352 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  360. Ébranler les pavés sous six chevaux d'Espagne. v.1353 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  361. Mon buffet ne sera qu'or et que porcelaine ; v.1356 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  362. Le vin y coulera, comme l'eau dans la Seine : v.1357 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  363. Table ouverte à dîner ; et les jours libertins, v.1358 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  364. Quand je voudrai donner des soupers clandestins, v.1359 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  365. Un jour l'une, un jour l'autre ; et je veux, à ton tour, v.1362 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  366. C'est Ménechme lui-même. v.1365 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  367. Mort non pas de mes jours ! Ne vous y jouez pas. v.1387 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  368. Je ne me suis jamais ni fait graver ni peindre. v.1396 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  369. Je ne sais ce que c'est, ou l'enfer me confonde. v.1400 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  370. Ne l'ait peint de sa main, et ne vous l?ait donné. v.1403 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  371. Jamais peintre ne fit portrait si ressemblant. v.1411 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  372. Ou du moins j'entrevois quelque friponnerie. v.1413 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  373. Ces deux coquines-là m'auront fait peindre exprès v.1415 (Acte 4, scène 3, M?NESCHME)
  374. Et ne me rompez point la tête plus longtemps. v.1419 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  375. Je ne sais ce que c'est. Passe vite, et me laisse. v.1421 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  376. Vous savez ce que c'est qu'une amante en courroux : v.1426 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  377. Je ne la connais point, elle, ni sa maîtresse. v.1429 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  378. Je vais le ramener un peu par la douceur. v.1431 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  379. Quand on est, comme vous, jeune, aimable et bien fait, v.1438 (Acte 4, scène 4, VALENTIN)
  380. Entre amants, tel dépit n'est qu'une bagatelle ; v.1440 (Acte 4, scène 4, VALENTIN)
  381. Mais je vois le Marquis ; il tourne ici ses pas. v.1442 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  382. Les cent louis nous vont donner de l'embarras. v.1443 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  383. Hé ! Cadédis, mon cher, quelle heureuse fortune ! v.1444 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  384. Qué jé t'embrasse... encore... et millé fois pour une. v.1445 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  385. Pour terminer mon sort, trouver seul à mé battre. v.1449 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  386. Jamais je ne le vis. v.1455 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  387. D'un maudit lansquénet lé caprice outrageant v.1459 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  388. Excuse si jé viens ici t'importuner ; v.1462 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  389. En l'état où jé suis, on doit tout pardonner. v.1463 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  390. Je vous pardonne tout ; pardonnez-moi de même, v.1464 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  391. Je ne vous connais point. Comment auriez-vous pu v.1466 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  392. Me prêter cent louis, ne m'ayant jamais vu ? v.1467 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  393. Il né vous souvient pas qu'allant en Allémagne, v.1472 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  394. Étant vide d'argent pour fairé la campagne, v.1473 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  395. Sans âne, ni mulet, prêt à demeurer là... v.1474 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  396. Quoi ! Pour ne vouloir pas vous donner cent pistoles, v.1488 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  397. Je ne suis point pressé ; de grâce, expliquons-nous. v.1491 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  398. Vous satisfaire, moi ! Mais je ne vous dois rien ; v.1494 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  399. Faites-nous assigner, nous vous répondrons bien. v.1495 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  400. Qué jé dévienne atome, ou qu'à l'instant jé meure, v.1500 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  401. Il nous tuera tous deux. Quand vous ne serez plus, v.1502 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  402. Et vous m'aviez fait voir des sentiments d'honneur ; v.1515 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  403. Sont mes meilleurs amis, et viennent me surprendre. v.1525 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
  404. Vous ne voulez donc pas que je vous y conduise ? v.1528 (Acte 4, scène 6, VALENTIN)
  405. À tout autre qu'à moi je ne me fierai plus ; v.1531 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
  406. Il faudra qu'il décampe, ou qu'il devienne fou ; v.1535 (Acte 4, scène 7, VALENTIN)
  407. Mon bonheur est si grand qu'à peine je le crois. v.1539 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
  408. Des billets que je tiens la force et l'énergie ; v.1541 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  409. L'un de trois mille écus ; l'autre de neuf, de six, v.1543 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  410. Quelle aubaine ! Le bien vous vient de toutes parts. v.1546 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  411. De grâce, laissez-moi promener mes regards v.1547 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  412. Et qui ne sont partout pleins que de fariboles. v.1553 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  413. Mais lui, sourd aux raisons qu'il a pu lui donner, v.1562 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  414. A voulu sur-le-champ le faire dégainer. v.1563 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  415. Vos obligations ne sont pas si parfaites ; v.1569 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  416. Ainsi que j'ai tantôt eu l'honneur de vous dire : v.1572 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  417. Mais je la vois paraître. Où tournez-vous vos pas, v.1578 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  418. Où vous ne serez pas. v.1579 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  419. De vous fuir comme un monstre, et ne vous voir jamais. v.1583 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  420. Je ne reçois de vous qu'injure et qu'invective ; v.1585 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  421. Non ; je ne comprends pas, v.1587 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  422. Je ne veux rien savoir. v.1590 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  423. Mon_Dieu ! Non. Sans sujet vous en venez aux prises. v.1593 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  424. Je ne dirai plus rien, si vous parlez toujours. v.1602 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  425. L'homme qui vous a fait d'impertinents discours, v.1603 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  426. Tous les deux ne font qu'un, et cependant font deux. v.1607 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  427. Sans l'entendre parler, ne vous emportez pas. v.1611 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  428. La chose, j'en conviens, ne paraît pas trop claire : v.1612 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  429. Mais, d'une et d'autre part, oublions nos méprises. v.1625 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  430. Pour ne vous plus tromper, regardez ce signal ; v.1626 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  431. Quoi qu'aujourd'hui le ciel fasse pour ma fortune, v.1632 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  432. Sans ce coeur j'y renonce, et je n'en veux aucune. v.1633 (Acte 4, scène 9, LE CHEVALIER)
  433. Je vous dis vrai, madame, et je ne saurais croire v.1640 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  434. Que l'on puisse trouver une âme encor si noire. v.1641 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  435. Si je ne le fais pas, que le ciel me punisse ! v.1649 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
  436. Plus de loi, plus d'honneur, plus de sincérité. v.1651 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  437. Il ne faut se fier que sur un bon contrat. v.1659 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  438. Quoi donc ! Il ne tiendra, pour engager le monde, v.1664 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  439. Qu'à venir étaler une perruque blonde ! v.1665 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  440. Une tête éventée, un petit freluquet, v.1666 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  441. Non, c'est une noirceur qui crie au ciel vengeance. v.1672 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  442. Et, quand ce ne serait que pour vous en venger, v.1674 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  443. Mais, s'il ne m'aime point, quel sera l'avantage v.1676 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
  444. Et j'en vois tous les jours qui ne font pas un crime v.1680 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  445. Ce conseil bienfaisant que mon zèle vous donne, v.1684 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  446. Je voudrais l'appliquer à ma propre personne ; v.1685 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  447. Le hasard justement en ce lieu vous amène ; v.1688 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
  448. D'aller jusque chez vous il m'épargne la peine. v.1689 (Acte 5, scène 2, D?MOPHON)
  449. Vous m'épargnez des pas. v.1692 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  450. Et ne voyez-vous pas que votre passion v.1694 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
  451. N'est rien qu'une chimère et pure vision ? v.1695 (Acte 5, scène 2, D?MOPHON)
  452. nechme m'appartient, et voilà la promesse v.1700 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  453. Qui pourrait de vos mains ravir une conquête ? v.1709 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  454. Quand on est une fois frappé de vos attraits, v.1710 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  455. Vos yeux vous sont garants qu'on ne change jamais. v.1711 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  456. Vous n'amenez donc pas le notaire en ces lieux ? v.1718 (Acte 5, scène 3, DÉMOPHON)
  457. J'ai cherché son logis en vain une heure ou deux, v.1719 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  458. Je l'attends, et je crois qu'il ne tardera pas. v.1722 (Acte 5, scène 3, DÉMOPHON)
  459. Me veut mener souper au cabaret prochain ; v.1727 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  460. Celui-ci, m'arrêtant au détour d'une rue, v.1728 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  461. Me force à lui payer une dette inconnue : v.1729 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  462. Ah ! Nous y voilà donc encore une autre fois ! v.1735 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  463. Tu te fais un plaisir de ma peine cruelle ! v.1737 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  464. Sans donner seulement une larme à ma mort ! v.1739 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  465. De voir une furie attachée à mes pas ? v.1743 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  466. Et te puisse avec elle entraîner, que m'importe ? v.1749 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  467. Elle est folle à tel point qu'on ne peut l'exprimer : v.1754 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  468. Mais voilà votre nom « Ménechme. » En confidence, v.1756 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  469. Moi ! Si j'ai jamais vu ces deux friponnes-là, v.1759 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  470. Pardonnez-moi le mot ; c'est votre soeur, n'importe : v.1760 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  471. Ah ! Monsieur Robertin, vous venez justement ; v.1766 (Acte 5, scène 4, DÉMOPHON)
  472. Je crois que ma présence ici ne déplaît pas, v.1770 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  473. Mais un époux bien fait, tel que l'Amour lui donne, v.1772 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  474. Malgré tous ses attraits, manquait à sa personne : v.1773 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  475. C'est ce qui met le comble au bonheur d'une femme. v.1776 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  476. Monsieur ne pense pas aussi ce qu'il vous dit. v.1778 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  477. Rien ne presse si fort. v.1787 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
  478. Et j'en ai dans les mains une très juste cause. v.1789 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
  479. Ma soeur. Ne laissons pas d'aller notre chemin. v.1791 (Acte 5, scène 4, DÉMOPHON)
  480. Avant tout, finissons une certaine affaire v.1793 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  481. Vous m'avez fait l'honneur de me rendre visite : v.1801 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  482. Je ne ris nullement, et me fâche à la fin. v.1806 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  483. Ne vous nommez-vous pas, s'il vous plaît, Robertin ? v.1807 (Acte 5, scène 4, M?NESCHME)
  484. Oh ! C'est une autre affaire. v.1809 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  485. Je les avais ; mais je ne les ai plus. v.1811 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  486. N'est-ce pas Ménechme qu'on vous nomme ? v.1812 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  487. Et je ne sais ici qui croire de vous deux. v.1823 (Acte 5, scène 4, DÉMOPHON)
  488. Il ne m'a point quitté, je m'en rapporte à lui. v.1830 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
  489. Semblable à vous d'habit, de mine, de hauteur, v.1838 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  490. Il s'appelle Ménechme, il est de Picardie ; v.1840 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  491. Et, si vous le niez, c'est une perfidie. v.1841 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  492. Je vous embarquais là dans une belle affaire ! v.1845 (Acte 5, scène 5, ROBERTIN)
  493. Mais je vois à présent que vous ne valez rien. v.1847 (Acte 5, scène 5, DÉMOPHON)
  494. De crimes, de noirceurs dont il ne soit complice. v.1849 (Acte 5, scène 5, ARAMINTE)
  495. Non, je ne pense pas que l'enfer soit capable v.1852 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
  496. Et... je ne puis parler, tant je suis en courroux. v.1855 (Acte 5, scène 5, M?NESCHME)
  497. Madame, je ne sais si j'ai le regard trouble, v.1860 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  498. Je m'appelle Ménechme, et c'est me faire injure. v.1865 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  499. Je ne m'avise point d'aller prendre le vôtre. v.1868 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  500. La mienne est morte aussi de la même manière. v.1873 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  501. J'avais un certain frère, un mauvais garnement, v.1875 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  502. Et dont, depuis quinze ans, je n'ai nouvelle aucune. v.1876 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  503. Du mien, depuis ce temps, j'ignore la fortune. v.1877 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  504. Vous témoigne ma joie et mon ravissement. v.1883 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  505. Se peut-il qu'à mes yeux la fortune vous montre ? v.1885 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  506. Portée également de l'une et l'autre part, v.1894 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
  507. Par droit d'aubaine aussi, Finette m'appartient. v.1899 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  508. N'en soyez point en peine, et je les ai reçus. v.1903 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  509. C'est moi qui, pour la mienne, ayant pris sa valise, v.1904 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  510. Ai su me prévaloir d'une heureuse méprise. v.1905 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  511. C'est moi qui, dans l'ardeur d'une feinte tendresse, v.1908 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  512. À madame autrefois ai fait une promesse ; v.1909 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  513. Il laisse à son neveu cette succession : v.1915 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  514. Comment donc ! Voulez-vous que j'épouse une folle ? v.1921 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  515. Çà, ma reine, épousons, malgré notre discord. v.1930 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  516. Moi vous nommant friponne, et vous m'appelant traître. v.1932 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  517. Nous n'avions pas, pour lors, l'honneur de nous connaître. v.1933 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  518. Moi, quand ce ne serait que pour la ressemblance, v.1936 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  519. Lui donner tout mon bien, et vous désoler tous. v.1943 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  520. Je voulais un Ménechme : en lui donnant la main, v.1946 (Acte 5, scène 6, DÉMOPHON)
  521. Vous ne changerez rien à mon premier dessein. v.1947 (Acte 5, scène 6, D?MOPHON)
  522. Mon coeur ne peut suffire à contenir sa joie. v.1949 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  523. Chacun, Finette, ici songe à se marier ; v.1950 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  524. À ne t'en point mentir, j'en aurais grande envie ; v.1952 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  525. De faire une folie. v.1953 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  526. J'en fais une cent fois bien plus grande que toi ; v.1954 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  527. Et je ne laisse pas de te donner ma foi. v.1955 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)

LA CRITIQUE DE L'HOMME À BONNES FORTUNES. (1690)

  1. Je sors présentement de l'hôtel de Bourgogne, et j'en suis si outré, que si je trouvais à présent un comédien italien, la moindre chose qu'il lui en coûterait , ce serait une oreille. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  2. Tenez, voilà tout ce que j'ai pu sauver de mon manteau ; j'ai laissé le reste au parterre. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  3. Rien ne prouve mieux la dépravation du goût du siècle, que l'affluence des femmes, des carrosses et des chevaux qui vont à cette comédie. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  4. C'est une maladie qui gagne la Cour. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  5. Franchement, vous autres gens d'épée, vous avez quelque sujet de la fronder : il me semble que parfois on vous donne sur la crête. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  6. Ces couleurs ne crayonnent pas mal les gens d'épée, qui pendant un quartier d'hiver vous sucent une femme jusqu'au dernier bijou. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  7. Où est le mal, s'il vous plaît, à un officier qui part pour l'armée, de plumer une femme ? (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  8. Hé bien, Claudine, parviendrons-nous à souper ? (Acte 1, scène 2, NIVELET)
  9. On n'attend plus que cette Comtesse avec sa cousine, qui sont allées à ces bateleurs d'Italiens. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  10. L'auberge est tous les soirs en déroute, et nos messieurs ne reviennent plus qu'à neuf heures. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  11. Ces visages de comédiens ne sauraient-ils jouer dès le matin ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  12. La la, Claudine, tout doucement ; ne te fâche pas. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  13. La friponne ! (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  14. La belle Claudine est bien pie-grièche aujourd'hui ! (Acte 1, scène 2, NIVELET)
  15. Je vous aurais bordé le visage d'une assiette, plus vite... (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  16. Je vous dis encore que je ne ris pas. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  17. Ces frelampiers-là sont toujours à lanterner autour d'une fille. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  18. Claudine, tu es bien loup-garou ! (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  19. Je suis ce que je suis ; ce ne sont pas là vos affaires : je n'ai jamais vu une diantre de maison comme celle-ci. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  20. Enfin, si ma tante m'avait crue, je n'aurais jamais demeuré dans une auberge ; mais puisqu'on m'y a forcée, m'y voilà ; j'enrage pourtant assez. (Acte 1, scène 2, NIVELET)
  21. Mais encore, qu'as-tu donc, Claudine ? (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  22. Tu as un peu de peine, Claudine ; mais aussi tu gagnes bien de l'argent, et je m'assure que tu te fais un beau magot. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  23. Il est vrai ; voilà un gros venez-y-voir ! (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  24. Tu ferais bien mieux d'acheter un bon mari de cet argent-là ; cela est bien meilleur pour une fille. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  25. Les rues en seraient pavées, que je ne voudrais pas en ramasser un ; et puis, en cas de mari, comme vous savez, pour quinze écus on ne peut pas avoir grand'chose... (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  26. De l'eau de la reine d'Hongrie. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  27. Ma pauvre cousine, vous ne crèverez pas toute seule. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  28. Claudine ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  29. Ma cousine ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  30. Ma cousine ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  31. Monsieur Nivelet, vous qui savez la procédure, à telle fin que de raison, il faut faire assigner les comédiens en garantie de couche. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  32. Si ma cousine allait avorter ! (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  33. Si l'on ne vous a pris que cela, patience. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  34. La comédie m'a dégoûtée pour six semaines. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  35. Claudine, courez vite chez le médecin, demander une potion pour rassurer une femme qui a pensé accoucher dans la presse. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  36. Claudine, tu lui demanderas aussi s'il n'a rien pour faire retrouver ce qu'une fille a perdu à la comédie. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  37. Pour vous, mademoiselle, tenez-vous en repos dans ce fauteuil, en attendant qu'on serve. (Acte 1, scène 3, NIVELET)
  38. Je vais à la cuisine faire hâter le souper. (Acte 1, scène 3, NIVELET)
  39. Et moi, je suis si soûl de la comédie, que je m'en vais me mettre au lit sans boire et sans manger, et, qui pis est, je m´en sortirai, ou le diable m'entraîne, que lorsque l'on aura renvoyé tous ces gueux de comédiens-là en Italie. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  40. De la chandelle, du feu, une bassinoire. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  41. Je crois qu'il ne me reste de vie que pour faire mon testament. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  42. Ma foi, mademoiselle, il ne me reste présentement pas grand'chose ; je n'ai qu'un parement de manche, le cuir de mes poches, et quelques lambeaux de chemise. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  43. Un justaucorps neuf tout marbré de cambouis depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  44. Avoir résisté trois semaines à la tentation, et m'être laissé aller comme un coquin ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  45. Voilà d'ordinaire le succès des bonnes fortunes. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  46. Que maudits soient la bonne fortune, Arlequin, sa clique, et la curiosité qui m'a pris aujourd'hui ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  47. J'ai levé le nez tantôt au coin d'une rue ; j'ai vu un papier rouge, j'ai demandé à mon laquais, qui lit ordinairement pour moi, ce que c'était : le brutal m'est venu dire que c'était encore cette comédie dont tant de femmes m'avaient rompu la tête. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  48. C'est une chose qui crie vengeance que le mauvais goût de Paris, et l'âpreté que l'on a en ce pays-ci pour les sottises. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  49. Paris n'est-il pas le magasin de l´impertinence ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  50. Il ne faut que les fesses d'un singe pour mettre tous les badauds en campagne. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  51. Pour moi, je crois qu'il faudra que je retourne encore plus de vingt fois à cette comédie-là pour y trouver le mot pour rire. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  52. L'impertinente scène que celle de ce Docteur qui recommande le silence, et qui parle toujours ! (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  53. Ce qui me console de mon argent, c'est qu'il faut que Colombine crève sous ce rôle-là ; elle n'a pas encore huit jours dans le ventre. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  54. Il faut avouer que l'auteur est un brutal parrain, d'avoir nommé Bergamotte le héros de la pièce ; encore pour du tabac, je lui pardonnerais. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  55. On ne laisse pas de s'égosiller de rire ; comme, par exemple, le tuyau d'orgue, la fille de hasard, le cheval de louage, et cette autre innocente qui va dire à son père que si son apothicaire ne lui donne que quarante-cinq ans, c'est qu'il ne le voit que par derrière. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  56. Quelle grossièreté, d´aller mettre le derrière d'un vieillard sur la scène ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  57. À la fin, je ne sais ce que l'on n´y verra point. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  58. Ne parlons plus de cela. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  59. Ma foi, je ne fais pas mal la roue quand je me donne au public. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  60. Je ne vous ai point vu, car il y avait tant de monde... (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  61. Mais je ne comprends pas quel plaisir prennent certaines personnes à être toujours derrière les acteurs. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  62. C'est le bel air, et les gens de qualité ne voient plus la comédie que par le dos. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  63. Écoutez, c'est un dangereux ennemi ; je le craindrais plus avec ses sifflets, que bien des marquis avec leurs épées. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  64. Un homme qui a séance sur le théâtre ne fait point de comparaison avec des gens qui entendent la comédie debout. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  65. Allons, messieurs, ne voulez-vous point laver ? (Acte 1, scène 5, CLAUDINE)
  66. Quand je suis grosse, je ne lave jamais ; cela m'enrhume. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  67. Je vous jetterai l'aiguière par le nez. (Acte 1, scène 5, CLAUDINE)
  68. Hé bien, ma cousine, comment vous trouvez-vous de votre vapeur de couche ? (Acte 1, scène 5, LA COUSINE)
  69. Ma foi, madame, ne nous faites plus de ces frayeurs-là ; l'ai cru que vous nous serviriez votre enfant sur table. (Acte 1, scène 5, NIVELET)
  70. Pour moi, je ne saurais manger ; j'ai fait cinq ou six repas aujourd'hui, dont le moindre a duré quatre heures. (Acte 1, scène 5, LE-MARQUIS)
  71. Comme il sent son avoine ! (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  72. Pour l'ordinaire, Mademoiselle, je suis assez ponctuel au repas ; mais, pour ce soir, deux mille carrosses m'ont barré depuis l´hôtel de Bourgogne jusqu'ici. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  73. C'est-à-dire que vous venez de la Comédie italienne ; car c'est la rage de Paris. (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
  74. Et moi, quand j'étais Gascon, lorsque l'on me donnait un repas, c'était pour toute ma semaine. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  75. Le sujet de la pièce, c'est qu'il y a deux filles, dont l'une est cadette. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  76. De toute une coin6die, je n'en perdrais pas un mot. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  77. Cette fille donc, c'est l'aînée, ne veut point d'un médecin nommé Monsieur Bassinet. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  78. Est-ce que je m'amuse à voir une comédie ? (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  79. Je suis toujours dans les coulisses à badiner avec les actrices ; mais j'ai envoyé mes porteurs au parterre, qui m'ont dit que la pièce ne valait pas le diable. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  80. Et moi, je vous dis qu'elle est fort bonne. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  81. Monsieur, dans une auberge, on n'engraisse pas à faire des récits. (Acte 1, scène 6, CLAUDINE)
  82. Je suis votre serviteur, Mademoiselle ; je ne me coucherai pas bredouille ; il me faut de la viande. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  83. Tenez, allez-vous mettre au lit avec cela. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  84. Est-ce que vous me prenez pour un chien, beau Marquis de balle affamé ? (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  85. Vous avais-je pas bien dit, ma cousine, que cette enragée de comédie nous porterait guignon ? (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
  86. Ah, ma cousine ! (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
  87. Jamais je ne porterai mon fruit à terme. (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)

LA CRITIQUE DU LÉGATAIRE (1708)

  1. Messieurs, nous aurons l'honneur de vous donner demain la tragédie de... et, le jour suivant, vous aurez encore une représentation du Légataire. (Acte 1, scène 1, LE-COMÉDIEN)
  2. N'êtes-vous point las de nous donner toujours la même pièce ? (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  3. Monsieur, nous ne nous lassons jamais des pièces, tant qu'elles nous donnent de l'argent. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  4. C'est le public qui détermine le sort des ouvrages d'esprit, et le nôtre ; et, lorsque nous le voyons venir en foule à quelque comédie nouvelle, nous jugeons que la pièce est bonne, et nous n'en voulons point d'autre garant. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  5. Je ne doute point, monsieur, de votre capacité ; mais j'ai toujours ouï dire que le goût général devait l'emporter sur le particulier. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  6. Cette maxime est bonne pour les sots ; mais non pas pour moi. Je ne me laisse jamais entraîner au torrent : je fais tête au parterre ; et quand il approuve quelque endroit, c'est justement celui que je condamne. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  7. Quelque succès qu'ait notre pièce, nous n'espérons pas, monsieur, qu'elle passe aux siècles futurs : il nous suffit qu'elle plaise présentement à quantité de gens d'esprit, et que la peine de nos acteurs ne soit pas infructueuse. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  8. Si j'étais de vous autres comédiens, j'aimerais mieux tirer la langue d'un pied de long que de représenter de pareilles sottises : mourez de faim, morbleu, mourez de faim avec constance plutôt que de vous enrichir avec une aussi mauvaise pièce : et qu'est ce que c'est encore que cette Critique dont vous nous menacez ? (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  9. Je vous dirai, monsieur, par avance, que ce n'est qu'une bagatelle ; deux ou trois scènes qu'on a ajoutées pour donner à la comédie une juste longueur, et pour vous amuser jusqu'à l'heure du souper. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  10. C'est ce que je ne vous dirai pas : le public en jugera. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  11. Monsieur, je vous laisse avec lui : tâchez à le faire convenir qu'il a tort ; mais ne lui exposez que de bonnes raisons : il ne se paie pas de mauvais discours, je vous en avertis, et il a souvent imposé silence à des gens qui avaient autant d'esprit que vous. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  12. Je lui parlerais fort bien, si je me trouvais tête à tête avec lui ; mais la partie n'est pas égale : il faut remettre l'affaire à une autre fois, et voir si ces messieurs voudront me rendre ma place. (Acte 1, scène 3, LE-CHEVALIER)
  13. N'ai-je là personne ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  14. Remuez-vous donc, Monsieur Boniface ; vous voilà comme une idole : faites donc avancer mon équipage. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  15. Je ne pourrai jamais suffire à tout ce que j'ai à faire aujourd'hui. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  16. On m'attend au Marais pour faire une reprise de lansquenet ; je vais souper proche les Incurables ; nous devons courir le bal toute la nuit ; et, sur les huit heures du matin, il faut que je me trouve à un réveillon à la porte Saint-Bernard. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  17. Ma vivacité fournira à tout ; et si vous ne voulez pas me suivre, voilà Monsieur Boniface qui ne m'abandonnera point dans l'occasion : c'est un jeune poète que je produis dans le monde, un bel esprit qui fait des vers pour moi quand j'en ai besoin : je l'ai amené à la comédie pour m'en dire son sentiment. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  18. Il me sert de chaperon ; il a une mine sans conséquence : que voulez-vous qu'une femme fasse d'un visage comme le sien ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  19. Je prétends bien qu'il vienne au bal avec moi. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  20. Mon carrosse, en arrivant, a été une heure dans la rue Dauphine sans pouvoir avancer ni reculer ; le voilà présentement dans le même embarras. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  21. Cela est étrange, que dans une ville policée comme Paris les rues ne soient pas libres, et que messieurs les comédiens empêchent la circulation des voitures. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  22. Vous venez de voir cette comédie qui a fait courir tant de monde ; je serai charmé que vous m'en disiez votre sentiment : j'ai autrefois entendu des petits vers de votre façon qui n'étaient pas impertinents. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  23. Monsieur Boniface a cent fois plus d'esprit qu'il ne paraît. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  24. J'aime les gens dont la mine promet peu et tient beaucoup. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  25. C'est une source d'imagination vive, hardie, échauffée ; rien ne l'arrête, rien ne l'embarrasse : je lui trouve un fonds de science qui m'étonne, une fécondité qui m'épouvante. Croiriez-vous, monsieur le Marquis, qu'il a fait vingt-cinq comédies, et, pour le moins, autant de tragédies ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  26. Les comédiens n'en veulent jouer aucune : mais ce qu'il y a de beau, c'est que ses comédies font pleurer, et que ses tragédies font rire à gorge déployée. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  27. Je rencontrai dernièrement un auteur dans la rue, qui fit à toute force arrêter mon carrosse ; il me fatigua de ses vers pendant une heure entière ; il en récita au laquais, au cocher, aux chevaux ; et, si un autre carrosse ne fût survenu, qui lui serra les côtes de fort près, et lui fit quitter prise, je crois qu'il parlerait encore, ou qu'il serait devenu lui-même la catastrophe de sa tragédie. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  28. Je ne suis encore qu'un jeune candidat dans la république des lettres, un nourrisson des Muses ; mais je soutiens que la pièce est vicieuse a capite ad calcem, c'est-à-dire de la tête aux pieds. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  29. Un jeune candidat ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  30. Un jeune candidat ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  31. Les Muses n'ont-elles pas fait là une belle nourriture ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  32. Je ne m'arrête point à la diction, je laisse cette critique aux esprits subalternes ; c'est à l'analyse, à la conduite, à la texture d'une pièce que je m'attache ; et, par là, je vous prouverai que celle-ci est impertinente. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  33. Ne tombez-vous pas d'accord que c'est un valet ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  34. Or est-il que le code Justinien, titre douze, paragrapho primo de testamentis, nous apprend que ceux qui sont sous la puissance d'autrui ne peuvent pas tester. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  35. Voilà ce qui s'appelle saper un ouvrage par les fondements, raisonner juste, et décider comme j'aurais fait. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  36. Tu ne ris point ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  37. Tu ne ris point ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  38. Ce n'est pas, ma foi, que vous ne m'en donniez tous deux une ample matière. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  39. Qu'avons-nous affaire ici d'épopée, et de tous les grands mots grecs et latins dont Monsieur Boniface fait une parade fastueuse ? (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  40. Je voudrais avoir trouvé une douzaine de ces mots, et les avoir une pistole pièce. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  41. Apprenez, monsieur le jurisprudent hors de saison, qu'il n'est point question, dans une comédie, du droit romain ni de Justinien : il s'agit de divertir les gens d'esprit avec art ; et je vous soutiens, moi, que la conduite de cette pièce est très sensée. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  42. C'est dont nous ne convenons pas parmi nous autres savants. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  43. Le premier acte expose le sujet ; le second fait le noeud ; dans le troisième commence l'action ; elle continue dans les suivants : tout concourt à l'événement ; l'embarras croît jusqu'à la dernière scène ; le dénouement est tiré des entrailles du sujet. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  44. Tous les acteurs sont contents, et les spectateurs seraient bien difficiles s'ils ne l'étaient pas, puisqu'il me paraît qu'ils ont été divertis dans les règles. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  45. Pour moi, je n'entends point vos règles de comédie : mais mon frère le Chevalier, qui a bon goût, et qui est presque aussi sage que moi, m'a dit qu'elle ne valait rien ; il ne l'a pourtant point encore vue. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  46. C'est le moyen d'en juger bien sainement. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  47. Il n'a cependant manqué aucune représentation. La première, il ne vit rien ; la seconde, il n'entendit pas un mot ; la troisième, il ne vit ni n'entendit ; et, toutes les autres fois, il était dans les foyers occupé devant le miroir à rajuster sa personne, ranimer sa perruque, se renouveler de bonne mine, pour être en état de donner la main quelque femme de qualité, et la conduire avec succès dans son carrosse. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  48. Je ne m'étonne pas s'il en parle si bien. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  49. Pour moi, ne trouvant plus de place dans les premières loges, je l'ai vue la première fois dans l'amphithéâtre, où je me trouvai entourée de cinq ou six jeunes seigneurs qui ne cessèrent de folâtrer autour de moi : jamais jolie femme ne fut plus lutinée ; et, si la pièce n'avait promptement fini, je ne sais, en vérité, ce qu'il en serait arrivé. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  50. Pour moi, j'étais dans le parterre à la première représentation ; il ne m'en a jamais tant coûté pour voir une mauvaise comédie : une moitié de mon justaucorps fut emportée par la foule, et j'eus bien de la peine à sauver l'autre au milieu des flots de laquais qui m'inondèrent de cire en sortant, et me brûlèrent tout un côté de ma perruque. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  51. Les auteurs qui ont des habits aussi mûrs que le vôtre, Monsieur Boniface, ne doivent point se trouver dans le parterre à une première représentation. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  52. Vous êtes là un tas de mauvais poètes cantonnés par peloton (je ne parle pas de ceux qui sont avoués d'Apollon, dont on doit respecter les avis) ; vous êtes là, dis-je, comme des âmes en peine, tout prêts à donner l'alarme dans votre quartier, et à sonner le tocsin sur un mot qui ne vous plaira pas. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  53. Courage, Monsieur Boniface ; remettez-vous ; l'ennemi plie ; tenez bon, quand il devrait aujourd'hui vous en coûter votre manteau. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  54. Horrible, détestable, archidétestable ; et qu'il n'y a que les entr'actes qui la soutiennent. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  55. Voilà ce qui s'appelle des scènes d'action et de mouvement des plus comiques. Place au théâtre ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  56. Madame, vous voyez devant vous l'homme de France qui fait la meilleure chère, et qui a cinquante bonnes mille livres de rente. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
  57. Je ne connais autre que monsieur Bredouille ; j'ai été vingt fois à sa maison de campagne : c'est lui qui a inventé les poulardes aux huîtres, les poulets aux oeufs, et les cervelles aux olives. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  58. Si je n'étais pas retenue, je lui proposerais de nous donner ce soir à souper, pour nous dédommager de la mauvaise comédie que nous venons de voir. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  59. Je la trouve excellente : je ne me suis jamais tant diverti ; et monsieur Clistorel m'a guéri de toute la mauvaise humeur que j'y avais apportée. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  60. Et pleures-tu, par avance, le malheur qui nous menace de ne point avoir de glace pendant l'été ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  61. Mon cuisinier avait, à dîner, manqué sa soupe ; ses entrées ne valaient pas le diable, et le coquin avait laissé brûler un faisan qu'on m'avait envoyé de mes terres. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  62. Ne me la faites donc pas ; il n'est point ici question d'anatomie. Est-ce que le testament ne vous a pas réjouie ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  63. Il y a là deux item qui valent chacun une comédie. Et cette veuve, morbleu, cette veuve, n'est-elle pas à manger ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
  64. Et c'est justement la scène de la veuve qui m'a donné un dégoût pour la pièce ; j'ai une antipathie extrême pour cet habit ; et si mon mari mourait aujourd'hui je me remarierais demain pour n'être pas obligée de me représenter sous un si lugubre équipage. Je crois que je ne ferais pas mal dès à présent de choisir quelqu'un pour lui succéder. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  65. Et que dites-vous, s'il vous plaît, de ce gentilhomme normand, monsieur Alexandre Choupille, de l'enfant posthume, du Clistorel, et de la servante qui ne veut pas être interloquée ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  66. Pour moi, je n'y entends point tant de façon ; quand une chose me plaît, je ne vais point m'alambiquer l'esprit pour savoir pourquoi elle me plaît. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  67. Madame_la_Comtesse, par exemple, je ne la détaille point par le menu ; il suffit qu'elle me plaise en gros : je n'examine point si elle a les yeux petits, le nez rentrant, la taille renforcée ; elle me plaît, je n'en veux point davantage. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  68. Monsieur Bredouille a raison ; car, voyez-vous, une femme est comme une comédie : il y a de l'intrigue, du dénouement. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  69. Monsieur Bredouille, par exemple, je n'examine point s'il est gros ou menu, gras ou maigre ; il a de bon vin, on le va voir : en faut-il davantage ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  70. Oui, rien n'est plus clair que ce raisonnement-là. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
  71. Je vais souper à la Place Royale, où nous devons attaquer un aloyau dans les formes ; et je serais au désespoir que la scène commençât sans moi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  72. C'est très bien fait, monsieur Bredouille ; ne manquez pas d'en couper une douzaine de tranches à mon intention, et de boire autant de rasades à ma santé. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  73. Les comédiens sont bien plaisants, de jouer sur leur théâtre un corps aussi illustre que celui des apothicaires ; et ce petit myrmidon de Clistorel bien impertinent de s'attaquer à un homme comme moi ! (Acte 1, scène 7, CLISTOREL)
  74. C'est donc vous, mon petit ami, qui empruntez mon nom et ma personne pour les mettre dans vos comédies ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  75. Parbleu, figure vous-même ; je serais bien fâché que la mienne fût aussi ridicule que la vôtre. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  76. Et moi, je serais au désespoir de vous ressembler : ne voilà-t-il pas un petit gentilhomme bien tourné ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  77. Je suis jeune encore, comme vous voyez ; mais quand j'ai bu du vin de Champagne, j'ai le lendemain le coloris obscur, les nuances brouillées, et des erreurs au teint, qui me vieillissent de dix années. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  78. Je puis l'assurer que mon visage ne lui fera point d'affront, et qu'il en aura de l'honneur. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  79. Savez-vous que personne n'approche de plus près que nous les princes et les grands seigneurs ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  80. Vous ne les voyez que par derrière ; mais nous leur parlons face à face. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  81. J'ai joué, en campagne, les rois et les empereurs. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  82. Ne voilà-t-il pas un Mithridate bien fourni pour faire fuir des légions romaines ? (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  83. Je vous prie, monsieur Clistorel le sérieux, de nous dire seulement deux vers, pour voir comment vous vous y prenez. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
  84. Il faut dire la vérité : voilà une belle taille pour faire un empereur ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  85. Cela est faux, je lui en ai fait dix-neuf. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  86. Apprenez que, sur l'honneur, madame Clistorel n'a jamais fait de quiproquo. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  87. Elle ne vous ressemble donc pas ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  88. Doucement, messieurs, doucement : je ne souffrirai point qu'il arrive de malheur, et que deux Clistorels se coupent la gorge en ma présence. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  89. Vous, monsieur Clistorel l'apothicaire, retournez dans votre boutique, et vous, monsieur Clistorel le comédien, je veux que vous me meniez au bal, et que nous dansions ensemble le rigaudon, la chasse, les cotillons, la jalousie, et toutes les autres danses nouvelles, où j'excelle assurément ; et je puis me vanter qu'il n'y a point de femme qui se trémousse dans un bal avec plus de noblesse, de cadence, de vivacité, de légèreté et de pétulance. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  90. Allons, monsieur Clistorel, donnez-moi la main. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
  91. Voilà ce qui s'appelle une comédie dans les règles ! (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
  92. Cela vaut mieux que l'autre ; et je vous jure que l'on ne la jouera point que je n'y revienne. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)

LE LÉGATAIRE UNIVERSEL (1704)

  1. Aussi, sans me targuer d'une vaine science, v.21 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  2. Il ne me donne rien ; mais j'ai, pour récompense, v.25 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  3. Je lui dis, à son nez, des mots assez piquants : v.27 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  4. Je ne puis t'exprimer où va sa vilenie. v.30 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  5. Et qu'attendu sa taille, il ne paiera pas tant. v.36 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  6. Déjà ne sont-ils pas assez de concurrents, v.47 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  7. Il a tant d'héritiers, le bon seigneur Géronte, v.49 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  8. Des oncles, des neveux, des nièces, des cousins, v.51 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  9. J'en comptai l'autre jour, en lignes paternelles, v.53 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  10. Une Bretonne vive, et coquette surtout, v.59 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  11. Que par là je ne fusse un arrière-neveu. v.64 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  12. Oui-da ; tu peux passer pour parent de campagne, v.65 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  13. Ou pour neveu, suivant la mode de Bretagne. v.66 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  14. Qu'à faire un testament Géronte prenne soin. v.68 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  15. Madame Argante, avant de couronner ses feux, v.72 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  16. Fasse ledit neveu légataire de tout. v.75 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  17. Que le susdit neveu soit nommé légataire ; v.82 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  18. J'ai brillé dans l'étude avec assez d'honneur, v.87 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  19. La boutique était bonne. Eh ! Pourquoi la quitter ? v.91 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  20. Sur sa femme il m'a fait des chicanes de diable. v.94 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  21. Ne lui serviront guère, ou je me trompe fort. v.104 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  22. L'amour... On sent cela bien mieux qu'on ne l'exprime. v.118 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  23. Je ressens pour mon oncle une amitié sincère ; v.121 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  24. Je donne dans son sens en tout pour lui complaire ; v.122 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  25. C'est pour instrumenter avecque plus d'honneur. v.128 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  26. Hé ! Dis-moi, mon enfant, en pleine confidence, v.129 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  27. Est de tous mes désirs une cause plus belle, v.142 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  28. Une succession qui doit, par parenthèse, v.149 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  29. Je lui dis tous les jours qu'il n'a point de neveux v.155 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  30. Vous ne sauriez, ma foi, trop payer son ardeur. v.160 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  31. Regardez-la, monsieur ; elle est et jeune et belle : v.162 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  32. Ah ! Bonjour, mon neveu. v.171 (Acte 1, scène 3, GÉRONTE)
  33. Le Laquais apporte une chaise. v.173 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
  34. Nettoyer l'estomac par de bons purgatifs, v.186 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  35. Enfin ne vous laisser manquer de nulles choses. v.187 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  36. Mais il faut tant d'argent pour se faire soigner, v.189 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  37. Que, puisqu'il faut mourir, autant vaut l'épargner. v.190 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  38. De son vivant, sans doute, épargnerait beaucoup. v.194 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  39. Oui, vous avez raison ; c'est une tyrannie : v.195 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  40. La maison ne vaut pas la réparation. v.202 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  41. Je veux, mon cher neveu, mettre ordre à mes affaires. v.203 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  42. Qui, d'un regard avide, et d'une dent de loup, v.210 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  43. Une succession qui fait leur espérance. v.212 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  44. Ne me confondez pas, mon oncle, s'il vous plaît, v.213 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  45. Choisir une personne honnête et qui me plaise, v.219 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  46. Non, je ne comprends pas de plus charmant plaisir v.222 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  47. Que de voir d'héritiers une troupe affligée, v.223 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  48. Le maintien interdit, et la mine allongée, v.224 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  49. On leur laisse un bonsoir avec un pied de nez. v.226 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  50. Que j'endure les maux d'une âcre sciatique, v.232 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  51. Je suis plus vigoureux que l'on ne s'imagine, v.235 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  52. Et je vois bien des gens se tromper à ma mine. v.236 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  53. Vous ne paraissez pas plus malade que moi. v.238 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  54. C'est une fille sage, et qui charme d'abord. v.246 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  55. Les qualités qu'on doit chercher en une femme ? v.248 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  56. Je ne vois point d'objet plus digne d'aucuns voeux, v.249 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  57. J'en ai, je vous l'avoue, une allégresse extrême. v.252 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  58. Je lui donne, à ma mort, tout mon bien en partage. v.256 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  59. Vous ne pouvez mieux faire, et j'en suis très content : v.257 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  60. Et ne faire qu'un saut de la noce au tombeau ! v.262 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  61. Je sais ce qu'il me faut : apprenez, je vous prie, v.263 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  62. Je prends une compagne, et de qui tous les jours v.265 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  63. Que me sert-il d'avoir une avide cohorte v.267 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  64. Une femme, au contraire, à son devoir fidèle, v.271 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  65. Mon oncle parle juste, et ne saurait mieux faire v.275 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  66. Une femme économe et pleine de raison, v.277 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  67. Et tu ne seras pas frustré de ton attente. v.283 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  68. Je vais les amener. v.285 (Acte 1, scène 5, ÉRASTE)
  69. On va vous les donner. v.286 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  70. Ne va pas leur parler, je te prie, v.287 (Acte 1, scène 6, GÉRONTE)
  71. Elles ont toutes deux bon nez ; dans un moment v.289 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  72. Qui nous ont mis pour vous en des peines mortelles. v.292 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
  73. Je ne me suis jamais mieux porté, je vous jure : v.296 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  74. Si des yeux aussi beaux ne me rendaient la vie. v.300 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  75. Qui doit le nettoyer de ce qu'il a d'impur : v.306 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  76. Je ne sais pas, monsieur, pour quoi vous me prenez ; v.309 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  77. Mais ce choix m'interdit, et vous me surprenez. v.310 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  78. Ne trouvera-t-il pas en moi ce qu'il espère. v.316 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  79. Il se trompe bien fort, s'il prétend, sur ma mine, v.319 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  80. Devoir trouver en moi toute la médecine : v.320 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  81. Je connais bien mes yeux ; ils ne feront jamais v.321 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  82. Une si belle cure et de si grands effets. v.322 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  83. Avant qu'il soit neuf mois, sans trop me signaler, v.325 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  84. De ses airs ne soyez point blessées : v.343 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  85. Je ne sais ce que c'est que de flatter les gens. v.346 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  86. Quoi ! Refusera-t-il une aimable personne v.351 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  87. Que son heureux destin lui réserve et lui donne ? v.352 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
  88. Je crois qu'en vérité vous ne sauriez mieux faire. v.356 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  89. Ma fille sait toujours obéir quand j'ordonne. v.359 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
  90. Oui, je vous soutiens, moi, qu'une jeune personne, v.360 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  91. Je ne les aurai qu'à la Saint-Jean prochain. v.366 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  92. Qui ne sont, par bonheur, que deux paralysies ; v.368 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  93. Je ne suis médecin non plus qu'apothicaire, v.375 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  94. Et dussiez-vous crever, ne le témoignez point. v.378 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  95. Mon neveu, je n'y puis résister davantage. v.380 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  96. Si je ne puis rester plus longtemps avec vous. v.385 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  97. Madame, accordez-moi l'honneur de vous conduire. v.392 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
  98. Le bon homme m'attend, et ne fait rien sans moi. v.394 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  99. Pour le premier début d'une noce conclue, v.395 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  100. Voilà, je vous l'avoue, une belle entrevue ! v.396 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  101. Je ne puis vous quitter ni vous laisser sortir v.398 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  102. Que vous ne me flattiez d'un rayon d'espérance. v.399 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
  103. Je voudrais vous pouvoir donner la préférence. v.400 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  104. Et ne venez-vous pas de me dire vous-même v.411 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  105. Qu'une fille, malgré la répugnance extrême v.412 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  106. Et ne voyez-vous pas que, par cet artifice, v.415 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  107. Et que, heurtant de front, vous ne gagnez jamais. v.418 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
  108. Que vous sacrifiiez une fille si chère ? v.420 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
  109. Donnez-moi votre foi v.421 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  110. De tourner aujourd'hui son esprit de manière v.423 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
  111. Que sa frêle santé répugne au mariage ; v.428 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  112. Je me fais d'obéir une joie infinie. v.431 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  113. Que mon sort est heureux ! Qu'il est digne d'envie ! v.432 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  114. Je ne veux pas rester dans une nonchalance v.459 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  115. Monsieur a fait pour vous les honneurs jusqu'au bout : v.466 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  116. Mon oncle fera mieux une seconde fois : v.469 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
  117. De songer, à mon âge, à faire une alliance : v.472 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  118. Ne vous contraignez point ; v.473 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  119. J'ordonne sur ce point bien mieux qu'un médecin. v.481 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
  120. Ne va pas m'embarquer dans un si grand festin. v.482 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  121. M'a dit de vous donner le billet que voici. v.490 (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
  122. Lisons. Va me chercher, Lisette, mes lunettes. v.492 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  123. Donnez-moi le billet, je vais le déchiffrer. v.494 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  124. Depuis notre entrevue, monsieur, j'ai fait réflexion sur le mariage proposé, et je trouve qu'il ne convient ni à l'un ni à l'autre ; ainsi vous trouverez bon, s'il vous plaît, qu'en vous rendant votre parole, je retire la mienne, et que je sois votre très humble et très obéissante servante, (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  125. Mon neveu, v.497 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  126. Je m'en étonne peu. v.498 (Acte 2, scène 5, ÉRASTE)
  127. Je ne sais pas comment, ennemi de moi-même, v.503 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  128. Attends un peu là-bas, et que rien ne te presse ; v.511 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  129. Voilà ce qui s'appelle une action virile. v.516 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  130. Du flambeau de l'hymen une torche funèbre. v.520 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  131. Épargnez cette idée à mon âme attendrie : v.528 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  132. Je ne puis, sans soupir, vous ouïr prononcer v.529 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  133. Et le malheur auquel je ne pourrai survivre : v.532 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  134. Et l'autre est une veuve avec peu de richesse, v.539 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  135. Qui jadis dans le Maine épousa, quoique vieux, v.541 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  136. Un neveu bas-normand, une nièce du Maine, v.547 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  137. Pour acheter chez eux des procès par douzaine, v.548 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  138. Je ne les vis jamais ; ce que je puis vous dire, v.551 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  139. Pour me voir, m'embrasser, et retourner contents. v.554 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  140. Mais vous ne songez pas que le laquais attend. v.561 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  141. Avez-vous oublié qu'une paralysie v.563 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  142. Et que vous ne sauriez écrire ni signer ? v.565 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  143. Il est vrai : mon neveu viendra m'accompagner ; v.566 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  144. Et je vais lui dicter une lettre d'un style v.567 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  145. Nos affaires vont prendre une face nouvelle, v.571 (Acte 2, scène 7, LISETTE)
  146. Et la fortune enfin nous rit et nous appelle. v.572 (Acte 2, scène 7, LISETTE)
  147. Avec dames qui m'ont paru de bonne mine. v.579 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  148. Je crois qu'ils passaient là quelque acte à la sourdine. v.580 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  149. Mais dans une heure au plus ils seront ici. v.581 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  150. Et, frustrant des neveux l'espérance uniforme, v.587 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  151. Mais le ciel, par bonheur, en ordonne autrement ; v.589 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  152. Pour lui, comme pour nous, il ne pouvait mieux faire. v.592 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  153. La nouvelle est trop bonne ; il faut qu'en sa faveur v.593 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  154. Et que tout ne va pas au gré de nos souhaits, v.602 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  155. Il met au testament une fâcheuse clause. v.603 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  156. Vous en aurez menti, cela ne sera pas, v.610 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  157. L'autre est une baronne et veuve sans douaire, v.615 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  158. Qui dans le Maine fait sa demeure ordinaire, v.616 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  159. Puisque pour les procès elle a si bonne chance, v.620 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  160. Il a su seulement, par une lettre écrite, v.627 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  161. Géronte, tu le sais, ne t'a presque point vu : v.630 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  162. Il ne le sait que trop : dans son coeur il enrage, v.635 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  163. Ne nous reprochons rien. v.647 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  164. On sait de tes fredaines. v.647 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  165. Nous sommes but à but, ne sais-je point des tiennes ? v.648 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  166. Vous ne sauriez, monsieur, me donner plus de joie. v.668 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
  167. Dis-leur de bouche encor qu'elles ne pensent pas v.669 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  168. Te donner tout mon bien. v.673 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  169. Je viens, vraiment, d'apprendre une belle nouvelle, v.687 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  170. Et, si dans mes travaux la mort ne me surprend, v.705 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  171. Virgo libidinosa senem jugulat. (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  172. Moi ! Le ciel m'en préserve ! Et ce sont tous des ânes, v.715 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  173. Ou du moins les trois quarts : ils m'ont fait cent chicanes v.716 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  174. Et que tous nos garçons ne fussent qu'assistants. v.721 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  175. Il m'aurait fait beau voir, avecque des lunettes, v.723 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  176. Faire, en jeune apprenti, ces fonctions secrètes ! v.724 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  177. Je suis, quand je m'y mets, plus têtu qu'une mule. v.732 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  178. Prendre une femme, vous ! Allez, vous êtes fou. v.737 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  179. Prenez-moi de bonnes médecines, v.739 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  180. Avec de bons sirops et drogues anodines ; v.740 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  181. Voilà ce qu'il vous faut : mais une femme !... v.745 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  182. Une goutte de miel, ou de décoction... v.749 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  183. Non, non, je ne veux plus de commerce avec vous. v.754 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  184. Non, je ne vis jamais animal de la sorte : v.756 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  185. Ces petits avortons ont tous l'humeur mutine. v.759 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  186. Il ne reviendra plus ; son départ me chagrine. v.760 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
  187. Souvenez-vous toujours, quand vous serez tranquille, v.772 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  188. Je t'en ferai, pourvu qu'il ne m'en coûte rien. v.774 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
  189. Éraste ne vient point me rendre de réponse. v.775 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
  190. Et monsieur Clistorel a fort bonne raison. v.782 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
  191. J'ai beau heurter, crier, aucun ne se présente. v.788 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  192. Dieu me pardonne ! C'est Crispin ; c'est lui, ma foi ! v.793 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  193. Tu ne te trompes pas, ma chère enfant ; c'est moi. v.794 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  194. Au point que je ne puis assez vous le montrer. v.801 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  195. Je vois que vous avez peine à me reconnaître ; v.804 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  196. C'est que vous ne m'avez jamais vu. v.806 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  197. Gentilhomme normand, prit pour femme une fille v.808 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  198. Et qu'elle ne manquait qu'à la chronologie. v.816 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  199. Une femme, en effet, v.817 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  200. Ne peut pas calculer comme un homme aurait fait. v.818 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  201. M'a fait votre neveu, puisqu'elle est votre soeur. v.822 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  202. Apprenez, mon neveu, si par hasard vous l'êtes, v.823 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  203. Ma soeur fut sage ; et nul ne peut lui reprocher v.825 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  204. Que jamais sur l'honneur on l'ait pu voir broncher. v.826 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  205. Je suis votre neveu, quoi qu'en dise l'envie ; v.831 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  206. Mon oncle, soyez sûr que je ne partirai v.837 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  207. Vous avez un neveu, monsieur, ne vous déplaise, v.840 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  208. Qui dit ses sentiments en pleine liberté. v.841 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  209. Que je vais manier de l'or à pleine main ; v.845 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  210. Je sais que, pour un sou, d'une ardeur héroïque v.847 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  211. Savez-vous, mon neveu, qui tenez ce langage, v.851 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  212. Ah, ciel ! Quel garnement ! v.859 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  213. Au bel appartement mène-moi, je te prie. v.860 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  214. Bonne chère, grand feu : que la cave enfoncée v.863 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  215. Nous fournisse, à pleins brocs, une liqueur aisée : v.864 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  216. Cent louis neufs comptant, en avance d'hoirie ; v.868 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  217. Ce n'est pas un neveu, monsieur ; mais c'est un diable. v.872 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  218. Mon neveu, c'est à tort qu'avec tant de hauteur v.874 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  219. Vous venez tourmenter un oncle à l'agonie ; v.875 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  220. L'impitoyable mort s'obstine à me poursuivre ; v.879 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  221. Je vous en donne six ; mais après, ventrebleu, v.881 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  222. Mon oncle, encore un coup, tenez votre promesse, v.884 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  223. Ou je tiendrai la mienne. v.885 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  224. Quel neveu vos parents vous ont-ils donné là ? v.886 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  225. Ce n'est point mon neveu ; ma soeur était trop sage v.887 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  226. Dans ses yeux, dans ses traits, un je ne sais quoi brille ; v.891 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  227. Par ma foi, s'il en tient, il lui fait peu d'honneur. v.893 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  228. De laisser votre bien, une si belle somme, v.895 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  229. Que monsieur le neveu, si j'en crois mon présage, v.899 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  230. Si c'est sur mon bien seul qu'il fonde sa cuisine, v.903 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  231. Je t'assure déjà qu'il mourra de famine, v.904 (Acte 3, scène 3, G?RONTE)
  232. Voilà comme sont faits tous ces neveux avides, v.907 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  233. Qui ne peuvent cacher leurs naturels perfides : v.908 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  234. Un malheureux neveu m'est tombé sur les bras. v.914 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  235. Il vient de m'accoster là-bas tout hors d'haleine, v.915 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  236. Et m'a dit en deux mots le sujet qui l'amène. v.916 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  237. Pour réprimer l'excès de son impertinence ; v.920 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  238. J'ai bien changé d'avis : je te donne parole v.923 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  239. On a montré d'abord une âme indifférente ; v.928 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  240. Dont elles ne seront de six mois bien remises. v.936 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  241. M'a proposé, tout franc, de me donner sa fille, v.940 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  242. La parole donnée et d'une et d'autre part. v.942 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  243. Que je ne voulais point aller sur vos brisées, v.944 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  244. Ne t'embarrasse point encor de mariage. v.947 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  245. Il est tel qu'il le faut, et j'y donne ma voix. v.950 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  246. Je ne sais pas, monsieur, au vrai ce qu'il en est ; v.954 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  247. Qu'errant près du tombeau, vous n'êtes plus qu'une ombre, v.956 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  248. Vous ne vous êtes pas encor fait enterrer. v.958 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  249. Je ne sais point, monsieur, farder la vérité, v.961 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  250. Une dame, là-bas, monsieur, avec sa suite, v.963 (Acte 3, scène 5, LE LAQUAIS)
  251. Et vous ne devez pas lui refuser la porte. v.968 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
  252. Contraignez-vous un peu : v.969 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  253. La nièce aura l'esprit mieux fait que le neveu. v.970 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  254. S'il ne s'en trouvait pas quelqu'un de raisonnable. v.972 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  255. Vous témoigne ma joie et mon ravissement : v.974 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  256. Qu'on donne promptement un fauteuil à ma nièce. v.980 (Acte 3, scène 7, GÉRONTE)
  257. Ne bougez, s'il vous plaît ; le respect m'interdit. v.981 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  258. J'ai fait du mariage une assez triste épreuve. v.991 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  259. Mais du pauvre défunt la mémoire funeste v.996 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  260. Ne m'arracheront point de noires perfidies ; v.1000 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  261. Un coeur qui ne brûla que de ses premiers feux. v.1002 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  262. On ne poussa jamais plus loin la foi promise. v.1003 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
  263. Voilà des sentiments dignes d'une Artémise. v.1004 (Acte 3, scène 8, ?RASTE)
  264. Ne vous a pas laissé, je crois, beaucoup d'enfants. v.1006 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  265. Rien que neuf ; mais, le coeur tout gonflé d'amertume, v.1007 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  266. On ne le croira pas dans la postérité. v.1010 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  267. Peut-on vous demander, sans vous faire de peine, v.1011 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  268. Quel sujet si pressant vous fait quitter le Maine ? v.1012 (Acte 3, scène 8, G?RONTE)
  269. Une femme d'honneur se voir interloquée ! v.1023 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  270. Mais juge, de ses jours, ne m'interloquera : v.1026 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  271. Et je ne veux jamais souffrir qu'on m'interloque. v.1028 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  272. Elle ne parle pas si bien que vous procès v.1030 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  273. Ce procès n'est pas seul le sujet qui m'amène, v.1031 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  274. Et qui m'a fait quitter si brusquement le Maine. v.1032 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  275. Ayant appris, monsieur, par gens dignes de foi, v.1033 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  276. Un ivrogne, un joueur... v.1036 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  277. Je ne sais où j'en suis. v.1042 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  278. Vous meniez une vie indigne et criminelle, v.1044 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  279. Je ne sais qui retient l'effet de ma colère. v.1048 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  280. Nous avons résolu, d'une commune voix, v.1053 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  281. Et voulons empêcher qu'il ne vous soit permis v.1057 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  282. Remettre le pied il ne vous prenne envie ; v.1060 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  283. Comment ! Battre une veuve et la violenter ! v.1062 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  284. Au secours ! Aux voisins ! Au meurtre ! On m'assassine. v.1063 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  285. Voilà, je vous avoue, une grande coquine. v.1064 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  286. Ne faites point le fière ; v.1067 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  287. La mauvaise famille et du Maine et de Caen ! v.1081 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  288. Je ne me trompe point. v.1086 (Acte 3, scène 9, ÉRASTE)
  289. Vous venez de me faire une rude algarade. v.1087 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  290. Ta pudeur a souffert d'une telle incartade. v.1088 (Acte 3, scène 9, ÉRASTE)
  291. Plus d'intrépidité que je ne puis vous dire : v.1100 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  292. Enfin de ses neveux l'oncle se désabuse ; v.1104 (Acte 3, scène 9, ÉRASTE)
  293. Ah, monsieur ! Apprenez un accident terrible ; v.1107 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  294. Il ne vaut guère mieux, tant le pauvre homme est bas. v.1110 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  295. Arrivant dans sa chambre et se traînant à peine, v.1111 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  296. Il s'est mis sur son lit sans force et sans haleine ; v.1112 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  297. Moi, monsieur ! De sa mort je ne suis point la cause ; v.1119 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  298. Ne désespérons point encore de sa vie ; v.1123 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
  299. Il tombe assez souvent dans une léthargie v.1124 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
  300. Et qu'il ne peut jamais aller encore une heure. v.1128 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  301. Ah ! Juste ciel ! Crispin, quel triste événement ! v.1129 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
  302. Fortune, je sens bien l'effet de ton courroux ! v.1133 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
  303. Et présenter un front digne de la tempête : v.1136 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  304. Il faut premièrement, d'une ardeur salutaire, v.1140 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  305. Courir au coffre-fort, sonder les cabinets, v.1141 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  306. Personne n'entrera sans ma permission. v.1146 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  307. Plutôt que tant de bien passe en des mains profanes, v.1151 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  308. De Géronte défunt j'évoquerai les mânes ; v.1152 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  309. Mon oncle ne saurait reprendre connaissance : v.1156 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  310. Le pauvre homme n'a pas à vivre une heure au plus. v.1158 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  311. Comme tu vois, Crispin, ne m'enrichira guère. v.1160 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  312. Nos soins ne seront pas infructueux et vains ; v.1165 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  313. Pourra nous consoler d'un coup aussi funeste. v.1172 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  314. Que cela ne fait pas presque le quart du bien v.1174 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  315. Me fissent ressentir leurs indignes faiblesses ; v.1180 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  316. Ô mort ! Tu devais bien attendre encore une heure ; v.1192 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  317. Ne saurais-tu, Crispin, parer ce coup fatal, v.1197 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  318. Les Notaires, monsieur, viennent là-bas d'entrer ; v.1214 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  319. Et qu'il ne peut parler ? v.1220 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
  320. Et je ne vois plus rien que par confusion. v.1233 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  321. Ne rêve donc point tant ; v.1238 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  322. Tout ici ne dépend que de la diligence. v.1240 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  323. Ne troublez pas l'enthousiasme où je suis. v.1250 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  324. Un grand bonnet fourré jusque sur les oreilles ; v.1251 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  325. Sa robe de malade, et son bonnet de nuit : v.1258 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  326. Cependant une terreur secrète v.1267 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
  327. Géronte ne pouvait se servir de ses doigts ; v.1274 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
  328. Et tu déclareras que tu ne peux signer. v.1277 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
  329. À de bonnes raisons je me laisse gagner ; v.1278 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
  330. Ne perdons point de temps, que l'on m'habille en hâte. v.1283 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  331. Ne crains rien, arme-toi de résolution. v.1293 (Acte 4, scène 4, ÉRASTE)
  332. Je ne sais si la peur est un peu laxative, v.1295 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  333. Je vais dans un moment les amener ici. v.1301 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  334. Tirez bien les rideaux, que rien ne nous trahisse. v.1307 (Acte 4, scène 5, CRISPIN)
  335. Et ne me quittez pas, monsieur, à l'agonie. v.1312 (Acte 4, scène 5, CRISPIN)
  336. Je ne songerais guère à faire un testament. v.1321 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  337. Cela ne vous doit point chagriner un moment ; v.1322 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  338. Certaine quiétude et douce et balsamique, v.1328 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  339. Il serait à propos que monsieur prît la peine v.1335 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  340. D'aller, avec madame, en la chambre prochaine. v.1336 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR GASPARD)
  341. Moi, je ne puis quitter monsieur un seul moment. v.1337 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  342. Ces personnes, messieurs, sont sages et discrètes ; v.1339 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  343. À dire vrai, messieurs, il ne m'importe guère. v.1352 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  344. De quelque procureur chicaneur et mauvais ; v.1354 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  345. Il ne manquerait pas de me faire querelle ; v.1355 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  346. Et n'épargnerai rien pour la rendre célèbre. v.1360 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  347. Non, mon neveu, je veux que mon enterrement v.1361 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  348. Je nomme, j'institue Éraste, mon neveu, v.1370 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  349. Parents, nièces, neveux, nés aussi bien qu'à naître, v.1376 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  350. Item. Je donne et lègue à Lisette présente... v.1383 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  351. Soutiens-la, mon neveu. v.1386 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  352. Et vous paie au centuple une oeuvre méritoire ! v.1396 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  353. Il m'avait bien promis de ne pas m'oublier. v.1397 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  354. Vous ne connaissez pas, mon oncle, ce Crispin : v.1405 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  355. C'est un mauvais valet, ivrogne, libertin, v.1406 (Acte 4, scène 6, ?RASTE)
  356. Je suis persuadé, mon neveu, du contraire ; v.1408 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  357. Trouvez-vous, mon neveu, v.1413 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  358. Ne l'obstinez point, je connais son esprit. v.1421 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  359. Soit, je ne dirai mot ; cependant, de ma vie, v.1423 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  360. Je n'aurai de parler une si juste envie. v.1424 (Acte 4, scène 6, ?RASTE)
  361. Il ne me laissera plus rien, s'il continue. v.1428 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  362. Vous plaît-il de signer ? v.1431 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  363. Que de signer son nom il est dans l'impuissance, v.1435 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  364. Nous ne pouvons, monsieur ; cet acte est un dépôt v.1441 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  365. Pour vous en apporter moi-même une copie. v.1443 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  366. Et veut récompenser votre peine et vos soins. v.1445 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  367. De laisser à Lisette une somme semblable ? v.1452 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  368. Il ne faut point, monsieur, s'estomaquer si fort : v.1465 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  369. Ne peut avoir l'honneur d'obtenir votre aveu, v.1469 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  370. Certain remords cuisant, certaine syndérèse, v.1475 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  371. Le laurier dont tu viens de couronner ton front v.1481 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  372. Ne peut avoir un prix ni trop grand, ni trop prompt. v.1482 (Acte 4, scène 7, ?RASTE)
  373. Il faut donc, s'il vous plaît, m'avancer une année v.1483 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  374. Vous ne sauriez me faire un plus charmant plaisir. v.1485 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  375. Ah ! Prenez garde à moi. v.1492 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  376. Et, montant l'escalier, j'ai trouvé nez pour nez, v.1501 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  377. Enfin criant, courant, sans détourner la vue, v.1507 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  378. N'est qu'une léthargie, et qu'il n'en est que mieux. v.1510 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  379. La fortune ennemie et me berce et me joue ! v.1512 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  380. Je ne sais où j'en suis, et j'abandonne tout. v.1518 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  381. Reprends des sentiments qui soient dignes de toi : v.1521 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  382. Vous, rentrez chez mon oncle, et prenez bien le soin v.1529 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  383. Pour retourner plus tôt, je pars en diligence, v.1531 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  384. Ne me voilà pas mal avec mon testament ! v.1533 (Acte 4, scène 9, CRISPIN)
  385. Tout ceci ne vaut rien, et m'inquiète fort : v.1537 (Acte 4, scène 9, CRISPIN)
  386. On me soupçonnerait d'avoir prêté les mains v.1541 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  387. Les nobles sentiments qui règnent dans votre âme : v.1548 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  388. Nous ne prétendons point, vous ni moi, retenir v.1549 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  389. Un bien qui ne nous peut encore appartenir. v.1550 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  390. Mais on pardonnera ces transports amoureux : v.1557 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  391. Votre personne seule est le bien qui me flatte ; v.1563 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  392. Et tous les vains brillants dont la fortune éclate v.1564 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  393. Ne sauraient éblouir un coeur comme le mien. v.1565 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  394. Si je l'obtiens ce coeur, non, je ne veux plus rien. v.1566 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  395. L'amour seul, tel qu'il soit, ne donne point à vivre : v.1568 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  396. Et je vous apprends, moi, que l'on ne s'aime bien, v.1569 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  397. Mais ne craignez-vous rien de son ressentiment ? v.1574 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  398. Ces billets détournés ne peuvent-ils point faire v.1575 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  399. Qu'il prenne à vos désirs un sentiment contraire ? v.1576 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  400. Mais je ne sais, monsieur, en cette occasion, v.1585 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  401. Souffrez que je vous mène à mon appartement. v.1594 (Acte 5, scène 2, ÉRASTE)
  402. J'ai de la peine encore à m'offrir à sa vue : v.1595 (Acte 5, scène 2, ?RASTE)
  403. Je ne puis revenir encor de ma faiblesse : v.1603 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  404. Je ne sais où je suis : l'éclat du jour me blesse ; v.1604 (Acte 5, scène 4, G?RONTE)
  405. Une agitation, un soin, un mouvement v.1610 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
  406. La peine que j'ai prise, et les soins nécessaires v.1615 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  407. Vous seriez étonné, mais d'un étonnement v.1617 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  408. Où donc est mon neveu ? Son absence m'ennuie. v.1619 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  409. Quand il a vu vos yeux tourner droit à la mort, v.1622 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  410. Va donc lui redonner et le calme et la joie ; v.1627 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  411. Je vous l'amène ici. v.1633 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  412. J'ai donc, Lisette, été plus mal que je ne crois ? v.1634 (Acte 5, scène 5, GÉRONTE)
  413. Nous vous avons cru mort pendant une heure entière. v.1635 (Acte 5, scène 5, LISETTE)
  414. Hélas ! Mon cher neveu, je n'en suis guère mieux : v.1646 (Acte 5, scène 6, GÉRONTE)
  415. De te donner mon bien par un bon testament. v.1649 (Acte 5, scène 6, G?RONTE)
  416. Nous en avons, tous trois, eu notre bonne part. v.1654 (Acte 5, scène 6, CRISPIN)
  417. Certes, je suis ravi, monsieur, qu'en moins d'une heure v.1659 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  418. Vous jouissiez déjà d'une santé meilleure. v.1660 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  419. C'est votre testament que vous venez de faire. v.1668 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  420. Je frissonne de peur. v.1670 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  421. Je ne rêve, monsieur, en aucune façon ; v.1673 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  422. Est-il vrai, mon neveu ? Parle, je t'en conjure. v.1680 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  423. Ah ! Ne me parlez point, monsieur, de testament ; v.1681 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
  424. Nul ne sait mieux que moi la vérité du fait. v.1686 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  425. On ne peut pas vous dire v.1687 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  426. Ne vous souvient-il pas que, pour certaine affaire, v.1699 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  427. Qu'il est arrivé dans votre cabinet ; v.1701 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  428. Qu'il a pris aussitôt sa plume et son cornet, v.1702 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  429. Je ne m'en souviens point. v.1704 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  430. Ne vous souvient-il pas, monsieur, bien nettement, v.1705 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  431. Qu'il est venu tantôt certain neveu normand, v.1706 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  432. Et certaine baronne, avec un grand tumulte v.1707 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  433. Ou quelque bonne rente au moins pendant ma vie ? v.1711 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  434. Je ne m'en souviens point. v.1712 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  435. Ne vous souvient-il pas que monsieur Clistorel... v.1714 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  436. Ne se fendrait en quatre, en entendant ces mots ? v.1729 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  437. Hélas ! Je ne saurais arrêter mes sanglots. v.1730 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  438. Considérant que rien ne reste en même état, v.1733 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  439. Ne voulant pas aussi décéder intestat... v.1734 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  440. Considérant que rien ne reste en même état, v.1737 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  441. Ne voulant pas aussi décéder intestat... v.1738 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  442. Si vous pleurez toujours, je ne pourrai rien dire. v.1740 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  443. Je ne dois rien. v.1748 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  444. Je dois quatre cents francs ! C'est une fourberie. v.1751 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  445. Je ne sais pas au vrai si vous les lui devez ; v.1753 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  446. Quand ils y seraient tous, on ne les plaindrait guère. v.1756 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  447. Éraste mon neveu. v.1758 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  448. Parents, nièces, neveux, nés aussi bien qu'à naître, v.1760 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  449. Item. Je donne et lègue, en espèce sonnante, v.1767 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  450. Je ne suis point l'auteur de ces sottises-là. v.1774 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  451. Une fille nubile, exposée au malheur, v.1777 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  452. Qui veut faire une fin en tout bien, tout honneur, v.1778 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  453. Item. Je donne et lègue... v.1785 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  454. Qu'il rend à mon neveu dans divers exercices, v.1788 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  455. Quel éclaircissement voulez-vous qu'on vous donne ? v.1799 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  456. Et je n'écris jamais que ce que l'on m'ordonne. v.1800 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  457. Quoi ! Moi, j'aurais légué, sans aucune raison, v.1801 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  458. Ne vous repentez pas d'une oeuvre méritoire ; v.1804 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  459. Ne m'a-t-on point vole mes billets dans mes poches ? v.1807 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  460. Quel funeste embarras ! v.1809 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
  461. Vous les cherchez en vain, vous ne les avez pas. v.1810 (Acte 5, scène 7, ?RASTE)
  462. Je ne m'en souviens point. v.1813 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  463. Qu'on me fasse raison. Quelles friponneries ! v.1815 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  464. Ne vous alarmez point, je viens pour vous les rendre. v.1819 (Acte 5, scène 8, ISABELLE)
  465. De plus, ce legs ne peut en rien vous faire tort. v.1829 (Acte 5, scène 8, CRISPIN)
  466. Ah ! Monsieur mon neveu... v.1836 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  467. Je crois que vous et moi nous ne saurions mieux faire. v.1839 (Acte 5, scène 8, MADAME-ARGANTE)
  468. Si tu ne me les rends, je vous ferai tous pendre. v.1844 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  469. Et donne à votre hymen un plein consentement. v.1854 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  470. Qui puissent hériter de vous en droite ligne ; v.1859 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  471. De tous collatéraux l'engeance est trop maligne. v.1860 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  472. Détestez à jamais tous neveux bas-normands, v.1861 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  473. Et nièces que le diable amène ici du Mans ; v.1862 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  474. Fléaux plus dangereux, animaux plus funestes v.1863 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  475. Que ne fusent jamais les guerres ni les pestes. v.1864 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)

LE DIVORCE (1688)

  1. Que diable, messieurs, ne sauriez-vous mieux prendre votre temps pour être malades ? (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  2. Cela est de la dernière impertinence, de se trouver mal quand il faut gagner de l'argent. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  3. Messieurs, ce que je vais vous dire vous déplaira peut-être ; mais, en vérité, j'en suis plus fâché que vous, et personne n'y perd tant que moi. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  4. Nous ne pouvons pas jouer la comédie aujourd'hui ; voilà notre portier qui vient de se trouver mal, et Pantalon, qui devait faire un rôle de Patrocle, est indisposé. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  5. Vous voyez, messieurs, que nous ne suivons pas les mauvais exemples, et que nous rendons l'argent, quoique la comédie soit commencée. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  6. Terminez vos regrets, que votre douleur cesse ; v.1 (Prologue, scène 2, MERCURE)
  7. Je descends exprès des cieux pour voir une répétition de la pièce nouvelle qu'il y a si longtemps que tu promets. (Prologue, scène 3, JUPITER)
  8. On dit que l'on y sépare un mari d'avec sa femme ; et comme Junon est une carogne qui me fait enrager, je pourrai bien en faire venir la mode là-haut. (Prologue, scène 3, JUPITER)
  9. Nous ne la savons pas encore : il va venir un débordement de sifflets de tous les diables. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  10. Ne te mets pas en peine ; j'ai fait provision de quantité de foudres de poche ; et le premier siffleur qui branlera, par la mort ! (Prologue, scène 3, JUPITER)
  11. Tout doucement, Monsieur Jupiter ; ne choquons point le parterre, s'il vous plaît ; nous en avons besoin : cela ne se gouverne pas comme votre tête. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  12. Messieurs, puisque Jupiter l'ordonne, et que d'ailleurs... l'occasion... de la faveur... votre bonté... votre argent... qu'on a de la peine à rendre ; ... vous voyez bien, messieurs, que nous vous allons donner "Le Divorce". (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  13. Je me suis amusé, en venant, à jouer à la boule aux petits-carreaux, contre quatre procureurs qui ne m'ont laissé que trente sous. (Prologue, scène 3, JUPITER)
  14. Ces messieurs-là savent aussi bien rouler le bois que ruiner une famille. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  15. Monsieur Jupiter, si vous vouliez me laisser votre monture, je la ferais mettre à la daube : aussi bien les dieux de l'opéra, qui sont bien montés quand ils viennent, s'en retournent toujours à pied. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  16. Je le sais bien ; j'étais la chambre de madme votre soeur quand son mari, monsieur Sotinet, mon maître et votre beau-frère, la surprit comme elle vous écrivait la dernière lettre que vous avec reçue d'elle, où elle vous mande de venir au plus tôt à Paris, afiun de prendre des mesures avec vous pour se mettre à couvert du chagrin que son vieux mari lui fait tous les jours. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  17. T'assicurio, Mezzetino, ch'il matrimonio di mia sorella con Sotinetto non è stato mai mio gusto ; e se ne fossi stato creduto, egli non si sarreba mai conchiuso. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
  18. Mais quand on ne peut pas changer sa condition, et qu'elle est mauvaise, il faut tâcher de l'adoucir autant qu'il est possible. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  19. Ma per addolcir la stato de mia sorella, io non veda altro mezzo, ch'une bonissima separazione. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
  20. Mais malheureusement mais vous êtes gueux comme un rat, et il y a longtemps que votre noblesse serait tombée par terre, si la roture ne l'avait soutenue. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  21. Sotinetto ? (Acte 1, scène 1, AURELIO)
  22. Oui, Sotinet. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  23. J'ai une dent contre lui, pour certains coups de bâton qu'il me donna une fois, à cause qu'il me surprit à la cave avec la servante du logis. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  24. Tu arrives fort à propos pour rendre service à Monsieur Aurélio, dans une affaire de conséquence. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  25. Tant pis ; car je ne suis pas aussi sot que je l'ai été, moi ; et je ne m'emploierai jamais pour qui que ce soit, qu'auparavant je ne sois assuré de la récompense. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  26. Va, va, le seigneur Aurélio est honnête homme. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  27. Sers-le bien, et ne te mets point en peine ; tes gages te seront bien payés ; et si l'affaire que j'ai en tête réussit, je te réponds d'une bonne récompense. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  28. Point du tout ; je me porte le mieux du monde : il est vrai que j'ai eu quelque petite indisposition, et que j'ai été sur le point de mourir de la courte haleine ; mais je m'en suis bien guéri. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  29. Tu sais bien que j'ai toujours aimé les grandes choses : dès le temps même que nous avions l'honneur de servir ensemble le roi sur ses galères... (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  30. Ne parlons point de cela ; je sais que tu as toujours été homme d'esprit. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  31. Non, dans les médailles ; c'est-à-dire que quand je n'avais rien à faire, pour me désennuyer, je m'amusais à mettre le portrait du roi sur des pièces de cuivre, que je couvrais d'argent, et que je donnais à mes amis pour du pain, du vin, de la viande, et autres choses nécessaires : mais comme il y a toujours des envieux dans le monde (voyez, je vous prie, comme on empoisonne les plus belles actions de la vie !), on fut dire à la justice que je me mêlais de faire de la fausse-monnaie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  32. Nenni, diable ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  33. Et moi, j'eus beau dire que j'avais affaire, que je ne pouvais pas sortir, que j'irais une autre fois, il me fut impossible de résister aux honnêtetés et aux empressements de ces messieurs-là. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  34. L'un m'avait pris par un bras, aussi m'avait fait l'autre, en me disant le plus obligeamment du monde : "Oh ! Puisque nous avons été assez heureux que de vous trouver, vous ne nous échapperez pas, et nous aurons le plaisir de vous emmener avec nous" ; et à force de civilités, ils m'entraînèrent dans leur carrosse, et me conduisirent à la justice. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  35. Et ces messieurs ne vous prièrent-ils point de vous asseoir ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  36. Sur une petite chaise de bois qu'on avait mise à côté de moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  37. Je leur répliquai qu'oui, que je leur demandais excuse si je ne faisais pas aussi bien que je l'aurais souhaité ; mais que j'avais grande envie de travailler, et qu'avec le temps, j'espérais devenir plus habile. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  38. Je remarquai que mon discours les avait réjouis ; mais cela n'empêcha pas qu'ils ne me condamnassent sur l'heure à être pendu et étranglé à la Croix Du Trahoir. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  39. Je ne suis qu'un jeune homme qui ne fais que d'entrer dans le monde ; et d'ailleurs, je n'ai pas l'âge compétent pour être pendu. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  40. C'était une bonne raison celle-là. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  41. Aussi y eurent-ils beaucoup d'égard ; et, pour faire les choses dans l'ordre, ils me firent expédier une dispense d'âge. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  42. Je ne disais mot ; mais j'enrageais comme tous les diables. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  43. Nous arrivons enfin à la Croix Du Trahoir, au pied de cette fatale colonne qui devait être le non-plus-ultrà de ma vie, et qu'on appelle vulgairement la potence. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  44. Je dis que non, et que cela pourrait par la suite me donner la gravelle ; je priai seulement les archers de me laisser boire à la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  45. On se range en haie ; je m'approche de la fontaine ; je donne un coup d'oeil autour de moi, et zest, je m'élance la tête en avant dans le robinet de la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  46. Les archers, surpris, courent à moi, et me tirent par les pieds ; et moi je m'enfonce toujours avec les mains, de manière que j'entrai tout entier dans le tuyau de la fontaine, et il ne resta aux archers que mes souliers pour les pendre. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  47. Du robinet de la fontaine, je descendis dans la Seine ; de là, je fus à la nage jusqu'au Havre-de-Grace ; au Havre-de-Grace, je m'embarquai pour les Indes, d'où me voilà présentement de retour ; et voici mon histoire achevée. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  48. Il ne me reste qu'une difficulté, qui est de savoir comment, gros comme tu es, tu as pu te fourrer dans le robinet de la fontaine. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  49. Va m'attendre au Petit Trianon ; dans un moment je suis à toi, et je te ménerai chez Monsieur Aurélio. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  50. Je le fais exprès pour épargner les semelles. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  51. Je tire bon augure de l'affaire de Monsieur Aurélio, et la fortune ne nous a pas renvoyé Arlequin pour rien. (Acte 1, scène 3, MEZZETIN)
  52. Mon maître m'a ordonné tantôt de lui amener un barbier : il ne faut pas manquer cette occasion pour lui voler sa bourse ; elle servira à mettre nos affaires en train. (Acte 1, scène 3, MEZZETIN)
  53. Oui, monsieur ; vous me dites d'empêcher que madame n'entre dans la maison, et de lui fermer la porte au nez. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  54. Animal, c'est tout le contraire : je te dis de ne laisser entrer personne pour voir ma femme, et de fermer la porte au nez de tous ceux qui se présenteront. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  55. Ce ne sont pas là tes affaires. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  56. Ne savez-vous pas bien qu'un vieux mari est comme ces arbres qui ne portent point de bons fruits, et qui ne servent que d'ombre ? (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  57. Impertinent, tes épaules te démangent bien. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  58. Ne vous mettez pas en peine, monsieur ; dans deux petites heures votre affaire sera faite. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  59. Que cela ne vous étonne pas : j'ai bien été trois mois entiers après une barbe, et tandis que je rasais d'un côté, le poil revenait de l'autre : mais présentement je suis plus habile ; vous allez voir. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  60. Allons, toi, donne-moi le linge, vite. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  61. Venez, maître Jacques, repassez-moi ce rasoir pour faire la barbe à monsieur. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  62. La bourse est de ce côté-ci ; ne la manque pas. (Acte 1, scène 5, MEZZETIN)
  63. Me prenez-vous pour un cheval ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  64. Point du tout, monsieur ; mais c'est qu'il y a des gens qui sont terriblement rétifs sous le fer, et avec cet instrument-là, on leur couperait la gorge, qu'ils ne diraient mot. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  65. Tenez-vous donc, si vous voulez ; croyez-vous que je n'aie que vous à raser ? (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  66. Il faut filer doux ; ce coquin-là le ferait comme il le dit : il a une mauvaise physionomie. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  67. Je crois aussi être le premier de mon pays qui ait embrassé le parti de la savonnette. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  68. Ce sont de petits talents qu'on reçoit de la nature, et dont un honnête homme ne doit pas se glorifier. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  69. Tant, que je n'y saurais suffire. C'est moi qui fais la barbe et les cheveux à tous les limousins qui viennent ici travailler, et j'ai une pension de la ville pour faire tous les quinze jours le crin au cheval de bronze. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  70. Une colique épouvantable qui me prend... (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  71. Point du tout, Monsieur ; cela n'en valait pas la peine : j'ai changé d'avis, et j'ai mieux aimé insulter la doublure de ma culotte que de vous faire attendre plus longtemps. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  72. Chacun ne fait-il pas de sa culotte ce qu'il lui plaît ? (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  73. Colombine, quel bruit épouvantable ! (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  74. Non, je ne crois pas qu'il soit encore midi ; il n'y a pas trois heures que je suis rentrée. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  75. Je crois, Colombine, que je suis faite d'une jolie manière. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  76. Il ne tiendra qu'à vous de l'avoir comme il vous plaira. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  77. Que ne me laissez-vous faire ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  78. Je ne veux qu'une petite couche de rouge pour réparer de trente méchantes nuits la plus obstinée. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  79. Fi, Colombine, avec ton rouge ! (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  80. Crois-tu que je puisse me résoudre à donner tous les jours un habit neuf à mes appas ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  81. J'ai une conscience si délicate, que je me reprocherais les conquêtes qui ne se seraient pas faites de bonne guerre, et je crois que je mourrais de honte d'avoir dix années de plus que mon visage. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  82. Qu'importe que vos joues portent les couleurs d'un marchand ou les vôtres, pourvu que cela vous fasse honneur ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  83. Les femmes ne sont-elles pas assez déguisées sans se masquer encore ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  84. Pour moi, je ne suis point de ce nombre-là ; j'aime mieux qu'on me trouve un peu moins jolie, et être un peu plus vraie. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  85. Par ma foi, voilà une belle délicatesse de sentiments. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  86. Il n'y a plus que le rouge qui se met à la toilette qui marque la pudeur des femmes d'aujourd'hui ; elles ne rougiraient jamais sans cela. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  87. Et que serait-ce donc, madame, s'il vous fallait peler avec de certaines eaux, comme la dernière maîtresse que je servais, qui changeait tous les six mois de peau. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  88. Tu te moques, Colombine : est-ce que tu as vu cela ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  89. Si je l'ai vu ? C'étoit moi qui faisois l'opération ; elle me faisait prendre la peau de son front, que je tirais de toute ma force ; elle criait comme un beau diable, et moi je riais comme une folle ; il me semblait habiller un levraut : mais ce qui est de meilleur, c'est qu'elle portait toujours sur elle, dans une boîte, la peau de son dernier visage calcinée, et disait qu'il n'y avait rien de si bon pour les élevures et les bourgeons. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  90. Tu veux t'égayer, Colombine. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  91. Je crois, mademoiselle, que vous n'avez pas l'honneur de me connaître ; mais quand vous saurez que je m'appelle Monsieur De La Gavotte, sieur de Trotenville, vous devinerez aisément que je suis maître à danser. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  92. Votre nom, monsieur, est assez connu dans Paris ; et j'espère devenir une bonne écolière, ayant pour maître le plus habile homme du métier. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  93. Il est vrai que voilà une pensée qui est tout-à-fait bien mise en oeuvre ; c'est un brillant. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  94. Je sors présentement de chez la femme d'un élu, où je me suis fait admirer par mon esprit ; j'ai deviné une énigme du Mercure galant. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  95. Car la moitié du Mercure n'est remplie que des noms de ceux qui les devinent. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  96. Pour vous, monsieur, vous n'avez pas besoin que l'on imprime le vôtre, pour faire connoître votre mérite au public ; on sait assez que vous êtes l'honneur de l'escarpin. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  97. J'avais autrefois un carrosse à un cheval ; mais mes amis m'ont conseillé de changer de voiture, afin de ne pas causer une erreur dans le public, qui prend souvent, dans cet équipage-là, un maître à danser pour un lévrier d'Hippocrate. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  98. Vous devriez bien avoir un carrosse à deux chevaux : depuis que l'on ne joue plus, il y a tant de chevaliers qui en ont à vendre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  99. Je ne donnerais pas ce petit cheval-là pour les deux meilleurs chevaux de Paris ; c'est un diable pour aller. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  100. Toutes les fois que je veux aller à la Bastille, il m'emmène à Vincennes. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  101. Est-ce que vous ne savez pas " qu'un tendre engagement va plus loin qu'on ne pense ? " (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  102. Vous dis-je : j'en ai été autrefois ; mais il m'a fallu plus de vingt lavements et autant de médecines pour me purifier du mauvais air que j'y avais respiré. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  103. Vous me surprenez, monsieur : j'avais toujours cru que l'opéra était le lieu du monde où l'on prenait le meilleur air. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  104. Quand on me donnerait un tiers dans l'opéra, je n'y rentrerois pas. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  105. Il n'y a pas aussi une meilleure condition au monde. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  106. Je ne conçois pas l'entêtement des jeunes gens. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  107. C'est une fureur, mademoiselle, et toutes les coquettes s'en plaignent hautement, et disent que l'opéra leur enlève les meilleures pratiques, et qu'elles sont ruinées de fond en comble. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  108. Je le crois bien : ces personnes-là ont grande raison ; et si j'étais d'elles, je leur ferais rendre jusqu'à la moindre petite faveur qu'elles auraient reçue. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  109. Là, là, donnez-vous patience ; on leur fera peut-être tout rendre : mais cependant elles usent en toute rigueur de leurs privilèges ; et un amant qui n'exprime son amour qu'avec des fontanges et des bas de soie, se morfond dix ans derrière leur porte. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  110. Vous vous moquez ; c'est une guenille. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  111. Je voudrais que vous vissiez ma garde-robe ; elle est des plus magnifiques, et si, sans vanité, elle ne me coûte guère. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  112. Ho bien, monsieur, nous la verrons une autre fois ; mais présentement je vous prie de danser un menuet avec moi. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  113. Tel que vous le voyez, il n'y a point d'homme au monde qui gourmande une chanterelle comme lui ; il ferait danser, s'il l'avait entrepris, tous les invalides et leur hôtel. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  114. Ne voulez-vous point que j'aie l'honneur de danser avec vous ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  115. Pour aujourd'hui, monsieur, il n'y a pas moyen ; je suis d'une fatigue, cela ne se conçoit pas. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  116. Mais avant que de me quitter, je vous prie de me dire combien vous prenez par mois. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  117. On me donne une marque chaque visite ; et je veux vous montrer quel a été le travail de cette semaine. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  118. C'est le travail d'une semaine ; et si, ce que je vous montre-là, c'est de l'argent comptant. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  119. Un demi-louis d'or pour une leçon ! (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  120. On ne donnait autrefois aux meilleurs maîtres qu'un écu par mois. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  121. Il est vrai ; mais dans ce temps-là les maîtres à danser n'étaient pas obligés d'être dorés dessus et dessous, comme à présent ; et une paire de galoches était la voiture qui les menait par toute la ville. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  122. Mais présentement on ne nous regarde pas, si nous n'avons le cheval et le laquais. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  123. Ne vous en allez pas, monsieur, je vous prie. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  124. Ne dirait-on pas que ce serait là un siamois échappé d'un écran ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  125. Voilà une voix d'un assez beau métal ; cela n'est pas mal. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  126. Tout doucement, s'il vous plaît ; je ne sais point faire de ces cabrioles-là. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  127. Voyez-vous, mademoiselle, je ne suis point de ces gens qui louent à plein tuyau. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  128. Monsieur apparemment n'aime pas l'italien ; mais j'ai fait depuis peu un petit duo en français, que je veux chanter avec lui, et je suis sûr qu'il ne lui déplaira pas. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  129. Qu'est-ce donc, s'il vous plaît, que tous ces pieds de mouche qui sont au commencement des lignes ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  130. Je ne compose jamais que sur ce ton, et c'est pour cela que j'en porte le nom. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  131. Je vous trouve bien admirable de me donner des sobriquets. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  132. Je ne dis pas cela... (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  133. Cupidon ne sait plus de quel bois faire flèche. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  134. Cela ne vaut pas le diable. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  135. Est-ce que je ne vois pas bien qu'il faut marquer là une dissonance, et que l'octave s'entrechoquant avec l'unisson, vient à former un dièse bémol. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  136. Monsieur, avec votre permission, si les musiciens n'en savent pas plus que vous, ce sont de grands ânes. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  137. Mesdames, je vous donne le bonsoir. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  138. Je vous dis encore une fois que nous nous brouillerons, si vous ne me tenez parole. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  139. J'ai fait le barbier ; j'ai volé la bourse ; il y avait cent louis d'or dedans ; vous m'en avez promis dix : je prétends les avoir, ou je ne me mêle plus de rien. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  140. Je te les ai promis, et tu les auras ; et de plus, je te promets de te faire épouser Colombine ; mais il faut faire encore une petite fourberie. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  141. Pour épouser Colombine, j'en ferais cinquante, des fourberies. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  142. Tiens-toi un peu en repos, et laisse-moi rêver au moyen de t'introduire chez Monsieur Sotinet, pour rendre cette lettre à Isabelle. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  143. J'aurai Colombine, au moins. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  144. Et Colombine m'aura-t-elle aussi ? (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  145. Je l'aurai, je ne l'aurai pas ; je l'aurai, je ne l'aurai pas ; je l'aurai, je ne l'aurai pas : je ne l'aurai pas. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  146. Je n'aurai pas Colombine : hi, hi, hi ! (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  147. Je t'assure, encore une fois, que tu auras Colombine, le colombier, les pigeons, et tout ce qui a relation à elle. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  148. Console-toi donc, et ne m'interromps pas davantage. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  149. Voilà Colombine. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  150. Colombine répond : bonjour, mon pigeonneau... (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  151. Tu ne veux donc pas te tenir un moment en repos ? (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  152. Pour vous empêcher de complimenter davantage, venez çà. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  153. Si vous ôtez vos mains de là, vous n'épouserez point Colombine. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  154. Ne te tairas-tu jamais ? (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  155. On dansera à ma noce, et je danserai avec Colombine ! (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  156. Imaginez-vous que vous êtes dans un lit, et que vous dormez. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  157. Oui, dans un lit, et Colombine est couchée avec vous. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  158. Donnez-moi le pot-de-chambre. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  159. Ma chère Colombine, que je t'embrasse, mon petit coeur, m'amour. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  160. Tenez, tenez ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  161. J'habillerai Arlequin en chevalier ; il ira heurter à la porte de Sotinet : d'abord, voilà Colombine... (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  162. Colombine ! (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  163. Madame, je vous déclare, pour la dernière fois, que je ne veux plus voir tout ce train-là dans ma maison. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  164. Je ne sais plus qui y est maître. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  165. Que ne payez-vous les gens à qui vous devez ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  166. Et pourquoi faut-il que j'aie tous les jours la tête rompue de vos folles dépenses, qui me mènent à l'hôpital ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  167. Je ne vois ici que des marchands qui apportent des parties, ou des maîtres qui demandent des mois. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  168. Et depuis quand les maris prennent-ils ces hauteurs-là avec leurs femmes ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  169. Sachez, s'il vous plaît, monsieur, qu'un homme comme vous, qui a épousé une fille de qualité comme moi, est trop heureux quand elle veut bien s'abaisser à porter son nom. Mon mérite n'est-il pas bien soutenu d'avoir pour piédestal le nom de Monsieur Sotinet ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  170. Madame Sotinet ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  171. Je sens un soulèvement de coeur, quand j'entends seulement prononcer le nom de Monsieur Sotinet. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  172. Taisez-vous, impertinente ; on ne vous parle pas. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  173. Est-ce à vous à mettre là votre nez ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  174. Ne sait-on pas assez dans le monde l'honneur que je vous ai fait, quand je vous ai épousé ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  175. Mais vous devez vous mettre en tête que je vous ai plutôt pris pour mon homme d'affaires que pour mon mari ; et je vous prie de ne plus vous mêler de ma conduite. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  176. Vous devriez mourir de honte de la vie que vous menez. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  177. Nous demeurons dans la même maison, et il y a huit jours que je ne vous ai rencontrée. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  178. Vous vous allez promener quand je me couche, et vous ne vous couchez que quand je me lève. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  179. Colombine, ne te souviens-tu point de ce petit air que m'apprit hier monsieur le marquis ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  180. Te tairas-tu donc, coquine ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  181. Il y a longtemps que je suis las de tes impertinences. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  182. C'est toi qui me la gâtes, et un grand traîneur d'épée qui ne bouge d'ici. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  183. Mais j'empêcherai bien que cela ne dure, et je veux que tu sortes tout présentement de chez moi. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  184. Est-ce que je ne suis pas le maître ici ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  185. Pardonnez-moi. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  186. Je ne pourrai pas mettre dehors une coquine de servante quand il me plaira ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  187. Je ne dis pas cela. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  188. Pourquoi dis-tu donc que tu ne sortiras pas ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  189. Je ne veux pas que tu m'aimes, moi ; je veux que tu me haïsses. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  190. Il m'est impossible ; je sens pour vous une tendresse... (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  191. Allez, cela n'est guère bien de n'avoir pas plus de naturel pour des gens qui vous affectionnent. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  192. La bonne bête ! (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  193. Savez-vous que je ne m'accommode point de tous vos dialogues. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  194. Sitôt que je suis un moment avec vous, mes vapeurs me prennent d'une violence épouvantable. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  195. Colombine, je n'en puis plus. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  196. De l'eau de la reine d'Hongrie. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  197. Hé ! Monsieur, retirez-vous ; voilà madame qui trépasse, et je la garantis morte, si vous ne décampez tout-à-l'heure. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  198. Là, là, revenez ; il est parti : cela vaut bien mieux qu'une bouteille d'eau de la reine d'Hongrie. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  199. Madame, je ne sais pas ce que vous faites de cet homme-là ; mais je sais bien, moi, ce que j'en ferais, si j'étais à votre place. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  200. À te dire vrai, Colombine, je suis bien lasse de la vie que je mène. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  201. Voilà une belle affaire ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  202. Il ne tiendra donc qu'à faire impunément enrager les femmes, sous prétexte qu'elles sont douces et qu'elles n'aiment pas le bruit ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  203. Donnez-moi la conduite de cette affaire-là ; vous verrez comme je m'y prendrai. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  204. Colombine, je voudrais bien n'en point venir là : je fais même tout ce que je puis pour avoir quelque estime pour Monsieur Sotinet ; mais je ne saurais en venir à bout. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  205. Je voudrais, Colombine, que tu fusses mariée ; tu verrais si c'est une chose si aisée que d'aimer un mari. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  206. Est-ce que je ne le sais pas bien ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  207. N'allez pas aussi vous mettre en tête de le vouloir faire ; vous y perdriez vos peines et votre temps. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  208. Et va, va ; je n'y tâche que de bonne sorte. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  209. Je dois aller passer l'après-dînée chez la marquise : viens achever de m'habiller dans mon cabinet. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  210. Un dévoiement, madame, causé à ma bourse par les fréquentes crudités d'une fortune indigeste, m'a obligé d'avoir recours au remède astringent d'un petit billet payable au porteur, que j'apportais à monsieur votre époux ; mais n'y étant pas, j'ai cru qu'un homme de ma qualité pouvait entrer de volée chez les dames, et que vous ne seriez pas fâchée de connaître le chevalier De Fondsec. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
  211. Je suis ravie, monsieur, de l'honneur que je reçois ; mais je voudrais que ce ne fût pas une suite de votre malheur, et devoir à ma bonne fortune, et non pas à votre mauvaise, la visite que je reçois : mais il faut espérer que vous serez plus heureux. (Acte 2, scène 4, ISABELLE)
  212. Car nous autres chevaliers de Gascogne, nous n'avons jamais connu ni patrimoine, ni revenu. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
  213. Il est vrai que de mémoire d'homme on n'a jamais vu venir une lettre-de-change de ce pays-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  214. Ma foi, madame, je ne sais pas si je pourrai me prostituer à votre visite ; car c'est aujourd'hui mon grand jour de femmes. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
  215. Le mercredi, à cinq heures, chez Dorimène. (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  216. Vouloir que je rende une visite pour une épée qui ne pèse que soixante louis ! (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  217. Madame, voyez là-bas s'il y a quelque chose de reste, et qu'on leur donne seulement pour les empêcher de crier. (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
  218. Dites là-bas qu'on leur donne à manger. (Acte 2, scène 5, ISABELLE)
  219. Il faut dire la vérité ; monsieur le chevalier est d'un bon naturel : il ôterait volontiers le morceau de sa bouche pour le donner à ses gens. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  220. C'est une commission que de me servir. (Acte 2, scène 6, LE-CHEVALIER)
  221. Ils sont quelquefois trois jours sans manger ; mais aussi je crois que vous leur donnez de gros gages. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  222. Je le crois, vraiment ; au bout de trois ans je leur donne congé pour récompense. (Acte 2, scène 6, LE-CHEVALIER)
  223. Ils ne sont pas malheureux. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  224. Quand je n'ai plus que deux ou trois plaisirs à prendre dans le reste du jour, je suis dans une langueur mortelle ; et je m'ennuie presque toujours, dans la crainte que j'ai de m'ennuyer bientôt. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  225. Allez voir ce que l'on joue aujourd'hui à l'hôtel de Bourgogne. (Acte 2, scène 7, ISABELLE)
  226. Je ne sais, madame, ce que vous voulez faire ; mais je vous avertis que monsieur a enfermé une roue du carrosse dans son cabinet, pour vous empêcher de sortir. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  227. Cela ne se peut pas, madame ; mon cocher s'en sert : c'est que je lui donne mon carrosse un jour la semaine pour ses gages ; c'est aujourd'hui son jour, et il l'a loué à des dames qui sont allées au bois de Boulogne. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
  228. Cela ne doit pas nous arrêter. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  229. Fi, Colombine, avec ton opéra. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  230. J'y allai dès deux heures à la première représentation ; j'eus tout le temps de m'ennuyer avant que l'on commençât ; mais ce fut bien pis, quand on eut une fois commencé. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  231. Je ne conçois pas comment on peut s'ennuyer à l'opéra ; les habits y sont si beaux ! (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  232. Je vois bien que nous ne sommes pas engouées de musique aujourd'hui, et qu'il faudra nous en tenir à la comédie italienne. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  233. En vérité, madame, je ne sais pas quel plaisir vous trouvez à vos comédies italiennes ; les acteurs y sont détestables. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
  234. C'est une pitié. (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
  235. Excepté cet homme qui parle normand dans l'empereur de la lune, tout le reste ne vaut pas le diable. (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
  236. J'étais dernièrement à une pièce nouvelle ; elle n'était pas encore commencée, que j'entendis accorder les sifflets au parterre, comme on fait les violons à l'opéra. (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
  237. Ne voit-on pas bien d'abord à ces indices-là qu'une pièce ne vaut rien ? (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
  238. Ne vous l'avais-je pas bien dit, madame ? (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
  239. Ces gens-là ne jouent que de vilaines choses. (Acte 2, scène 9, LE CHEVALIER)
  240. Non. Ne savez-vous pas bien que monsieur ne mange point à table quand il y a compagnie ? (Acte 2, scène 9, ISABELLE)
  241. Parle, mon ami ; mets deux couverts pour moi ; je mangerai bien pour deux personnes. (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
  242. La gueule du juge en pètera, et je ne souffrirai pas que vous soyez plus longtemps le rendez-vous des violences de Monsieur Sotinet. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  243. Vous ne serez plus Madame Sotinet, ou j'y perdrai mon latin. Je viens de consulter un avocat de mes amis sur votre affaire. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  244. En vérité, Colombine, j'ai eu bien de la peine à me résoudre à ce que tu as voulu. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  245. On va me tympaniser par la ville, et je vais donner la comédie à tout Paris. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  246. Dites-moi, je vous prie, auroit-on tant d'empressement à lire l'histoire galante de certaines femmes, si une séparation ne les avait rendues célèbres ? (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  247. On avance plus par là en un jour d'audience qu'en vingt années de galanterie ; et vous me remercierez dans peu des bons avis que je vous donne. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  248. Il fallait donc, Colombine, que j'apprisse de longue main à mépriser, comme ces femmes dont tu me parles, les chimères et les fantômes de réputation et d'honneur qui font peur aux esprits simples comme le mien. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  249. Je conviens, avec toi, qu'il y a beaucoup d'honnêtes femmes qui sont lasses de leur métier et de leur mari ; mais, du moins, elles n'en instruisent pas la ville par la bouche d'un avocat, et ne se font point déclarer fieffées coquettes par arrêt de la cour. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  250. Vous êtes trop bonne, et vous gâtez les maris. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  251. Une bonne séparation, madame, une bonne séparation ; et le plus tôt, c'est le meilleur. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  252. Il y a déjà près de deux ans que vous êtes femme de Monsieur Sotinet ; et quand ce serait le meilleur mari du monde, il serait gâté depuis le temps. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  253. Mais, faudra-t-il que j'aille solliciter toutes ces jeunes barbes de juges, qui me riront au nez, et qui sont ravis d'avoir des affaires de cette nature-là ? (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  254. Madame, ne vous mettez point en peine, vous n'irez point aux juridictions ordinaires : le dieu d'Hymen est arrivé depuis quelque temps en cette ville, pour démarier toutes les personnes qui sont lasses du mariage. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  255. Laissez-moi faire ; j'ai une peste de tête... (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  256. Tenez, madame, voilà l'avocat que je vous veux donner. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  257. Il me fit une fois plaider en sa place pour un homme qui avait fait quelque petite friponnerie. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
  258. Il n'en faut pas davantage pour gagner le procès le plus désespéré. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  259. Je ne sais pas, Colombine, dans quelle affaire tu m'embarques là. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  260. Ne vous mettez pas en peine, madame ; je vous en tirerai. Je ne vous dis pas ce que j'ai envie de faire. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  261. Colombine m'a dit que tu avais servi chez un avocat. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  262. Je ne puis pas. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  263. Voilà une buvette qui te tient bien au coeur ! (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  264. Monsieur, il est bien malade ; il ne pourra pas venir : en taillant sa plume, il s'est coupé un peu le doigt ; il dit qu'il ne pourra pas plaider dans l'état où il est. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  265. Il m'a dit qu'il allait envoyer un jeune homme en sa place, qui plaide comme un diable, et qui vous fera aussi bien perdre votre procès que lui-même. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  266. Cette affaire-là me fera mourir ; je n'en sortirai jamais à mon honneur. (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  267. Ma femme m'a fait assigner devant le dieu d'Hymen ; on n'est guère favorable aux maris à ce tribunal-là. (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  268. Pour Messire Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, contre la dame Sotinet, sa femme, demanderesse en séparation. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  269. Je ne suis pas surpris, messieurs, de voir à ce nouveau tribunal une femme qui veut secouer le joug d'un mari ; mais je m'étonne de n'y pas voir avec elle la moitié des femmes de Paris. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  270. Donnez-vous un peu de patience ; nous n'aurons pas plus tôt démarié la première, qu'elles y viendront toutes les unes après les autres. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  271. En effet, messieurs, une jeune femme qui épouse un vieillard, dans l'espérance de l'enterrer six mois après, n'est-elle pas en droit de lui demander raison de son retardement ; et n'est-elle pas bien fondée à faire rompre son mariage, puisque son mari n'a pas satisfait à l'article le plus essentiel du contrat, par lequel il s'est obligé tacitement à ne pas passer l'année ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  272. Celui pour qui je parle, après avoir longtemps contemplé du port les naufrages de tant de malheureux époux, s'embarqua enfin sur la mer orageuse du mariage ; et quand il fit ce solécisme en conduite, qu'il souffrit cette léthargie de bon sens, cette éclipse de raison, s'il se fût mis une corde au cou, ou qu'il se fût jeté dans la rivière, il n'auroit jamais tant gagné en un jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  273. Il fit ce qu'ont accoutumé de faire les gens sur le retour, quand ils épousent de jeunes filles, c'est-à-dire qu'il confessa avoir reçu vingt mille écus, quoiqu'elle ne lui eût jamais apporté en mariage qu'un fonds de galanterie outrée, et une fureur effrénée pour le jeu : voilà la dot de la Dame. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  274. Avec votre permission, Maître Braillardet, vous ne vous tiendrez pas pour interrompu si je vous dis que vous en avez menti : il a reçu vingt mille bons écus. (Acte 3, scène 6, SOTINET)
  275. Une fureur pour le jeu ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  276. Une femme qui n'a pas vingt ans, une fureur pour le jeu ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  277. Oui, oui, messieurs ; quand je dis que voilà la dot de la Dame Sotinet, je n'avance rien que de véritable ; mais ne croyez pas que, parcequ'elle n'a rien eu en mariage, elle en dépense moins en se mariant. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  278. Les jeunes filles qui se vendent à des vieillards achètent en même temps le droit de les envoyer à l'hôpital promptement, par leurs dépenses extravagantes : c'est ce qu'a presque fait la Dame Sotinet ; car enfin le pauvre homme ne fut pas plus tôt marié, qu'il vit bien comme presque tous les autres qui s'enrôlent dans cette milice qu'il avait fait une sottise ; que le mariage est une affaire à laquelle il faut songer toute sa vie ; qu'un bon singe et la meilleure femme sont souvent deux méchants animaux ; et que ce grand philosophe avait bien raison de s'écrier, en voyant trois ou quatre femmes pendues à un arbre : que les hommes seraient heureux, si tous les arbres portaient de semblables fruits ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  279. Ce fruit-là serait diablement âcre, et il ne serait bon, tout au plus, qu'en compote. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  280. Il vit, dès le jour même de son mariage, introduire chez lui l'usage des deux lits, usage condamné par nos pères, inventé par la discorde, et fomenté par le libertinage ; usage que je puis nommer ici la perte du ménage, l'ennemi mortel de la réconciliation, et le couteau fatal dont on égorge sa postérité. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  281. Il vit fondre chez lui, dès le lendemain, tous les fainéants de la ville, chevaliers sans ordre, beaux esprits sans aveu ; cent petits poètes crottés, vrais chardons du Parnasse ; de ces fades blondins, minces colifichets de ruelles ; en un mot, il vit faire de sa maison une académie de jeux défendus, et fut obligé de payer une grosse amende, à quoi il fut condamné. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  282. Non, messieurs, non ; ce fut la Dame Sotinet. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  283. La Dame Sotinet ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  284. Oui, messieurs, ce fut elle qui, ne sachant plus où trouver de l'argent pour jouer, alla dénoncer elle-même que l'on jouait chez elle : elle fut condamnée à trois mille livres d'amende. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  285. Vous devriez garder vos passages pour une meilleure cause. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  286. S'il ne tient qu'à parler latin... (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  287. Les pierreries engagées ; la vaisselle d'argent vendue ; des tableaux d'un prix extraordinaire enlevés : car le Sieur Sotinet a toujours été extrêmement curieux d'originaux, et se connaissait parfaitement en peinture. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  288. Mais, messieurs, s'il n'y avait que de la dissipation dans la conduite de la Dame Sotinet, vous n'entendriez pas retentir votre tribunal des plaintes de son mari ; mais puisqu'il est aujourd'hui obligé d'avouer sa honte et son malheur, approchez, financiers, plumets, chevaliers, et vous godelureaux les plus déterminés ; paraissez sur la scène. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  289. Oui, oui, messieurs, nous trouverons de tous ces gens-là dans l'équipage de la Dame Sotinet, équipage qu'elle promène scandaleusement par toute la ville, et la nuit et le jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  290. Non, ce n'est point pour elle que le soleil éclaire, elle méprise cette clarté bourgeoise ; elle ne sort de chez elle qu'avec les oublieurs, et n'y rentre qu'à la faveur des crieurs d'eau-de-vie. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  291. Son mari a la cruauté de lui refuser un flambeau ; il faut bien qu'elle attende le jour pour s'en retourner chez elle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  292. On ne manquera pas de vous dire que celui pour qui je suis est un brutal ; j'en tombe d'accord : un ivrogne ; je le veux : un débauché ; j'y consens : un homme même qui est quelquefois attaqué de vertiges ; cela est vrai : mais, messieurs... (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  293. Si je vous parlais des intrigues de la Dame Sotinet, de ses aventures galantes, de ses subtilités pour tromper son mari ; mais... vous rougiriez, illustres et vieilles coquettes de notre temps, de voir qu'une femme de dix-huit ans vous a laissées bien loin après elle dans la carrière de la galanterie et j'apprendrais aux femmes qui m'écoutent de nouveaux tours de souplesse (elles n'en savent déjà que trop). (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  294. Et après cela, messieurs, une femme, qui est le précis, l'élixir, la mère-goutte de la transcendante coquetterie, viendra vous demander une séparation ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  295. Ne tiendra-t-il qu'à donner de pareilles détorses à l'Hymen ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  296. Ordonnerez-vous qu'un mari soit déclaré veuf, avant que d'avoir eu le plaisir d'enterrer sa femme ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  297. Non, non, vous n'autoriserez point une telle injustice. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  298. Nous espérons, au contraire, que vous obligerez la Dame Sotinet à retourner avec son mari, pour mieux vivre avec lui, s'il est possible. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  299. Voilà une belle conclusion. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  300. Messieurs, je parle pour Damoiselle Zorobabel de Roqueventrousse, demanderesse en séparation, contre Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, ci-devant laquais, et défendeur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  301. L'aspect de ce sénat cornu, pompe digne de l'Hymen ; cet attirail funeste et menaçant, tout cela, je l'avoue, m'inspire quelque terreur : mais, d'un autre côté, l'équité de ma cause me recreat et reficit ; puisque je parle ici pour quantité de femmes, qui vous disent par ma bouche qu'un mari est à présent un meuble fort inutile ; et que, quand il n'y en aurait point, le monde ne finirait pas pour cela. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  302. Le mois de mars 87, Mathurin-Blaise Sotinet, âgé de soixante-dix ans, sentit un prurit pour la noce, une démangeaison pour le mariage ; cette vieille rosse, refaite et maquignonée, cette mèche sèche et ridée, prit feu aux étincelles des yeux de celle pour qui je parle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  303. Il l'épousa, et il ne tint qu'à lui de voir qu'il avait mis dans sa maison un trésor de sagesse et de prudence, puisqu'elle ne dépensa, en se mariant, que les vingt mille écus qu'elle avait eus en mariage. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  304. Rare exemple de modération pour les femmes d'aujourd'hui, qui montent insolemment sur une grosse dot, pour insulter à l'économie de leurs maris. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  305. L'économie de la Dame Sotinet ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  306. C'est une femme que cet homme-là ; il ne débabille pas. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  307. Le Sieur Sotinet était entré malheureusement dans l'affaire du bois carré. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  308. On l'appréhende au corps ; on l'entraîne au for-l'évêque. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  309. Pourquoi encore une fois ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  310. En vérité, messieurs, voilà une calomnie atroce. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  311. Le Sieur Sotinet n'a jamais été en prison. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  312. Donnez-vous un peu de patience, nous l'y ferons bientôt aller. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  313. Car, jusques à quel excès de crapule cet homme-là ne s'est-il point laissé emporter ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  314. Non, messieurs, c'est plutôt une futaille, ou, pour mieux dire, un râpé qui ne fait que se remplir et se vider à tous moments. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  315. C'est un bouchon ambulant ; c'est une éponge toute dégouttante de vin, dont les vapeurs obscurcissent et soufflent enfin la chandelle de sa raison. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  316. C'est une calomnie diabolique... (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  317. Le Sieur Sotinet ne boit que de l'eau ; cela est de notoriété publique. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  318. Un homme qui a été toute sa vie dans les aides ne boit que de l'eau ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  319. N'avait-il bu que de l'eau, Maître Braillardet, quand, sortant tout chancelant d'un cabaret, pour assister à l'enterrement d'un de ses meilleurs amis, il se laissa tomber dans la fosse, où il serait encore, si, par malheur pour sa femme, on ne l'en eût retiré ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  320. N'a-t-il bu que de l'eau, quand il revient chez lui le soir, amenant avec soi des femmes d'une vertu délabrée, et qu'il maltraite celle pour qui je suis de paroles et de coups ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  321. Messieurs, on ne sait que trop que c'est le pauvre homme qui les a reçus. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  322. Il a porté plus de trois mois un emplâtre sur le nez, d'un coup de chandelier que sa femme lui a donné. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  323. Je ne saurais m'empêcher de pleurer toutes les fois que j'y songe. (Acte 3, scène 6, SOTINET)
  324. Mais, s'il n'y avait que des coups à essuyer, je ne m'en plaindrais pas ; car on sait bien qu'une femme veut être un peu pansée de la main ; mais de se voir, à tous moments, exposée aux extravagances d'un fou ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  325. Vous voyez, messieurs, que votre présence ne saurait servir de gourmette à ce furieux. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  326. Approchez, malheureuse opprimée ; venez, épouse infortunée : c'est à l'ombre de ce tribunal que vous trouverez un asile assuré contre la pétulance de votre persécuteur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  327. Souffrirez-vous, messieurs, qu'une femme qui (comme dit fort élégamment un savant philosophe) doit être, vas dignitatis, non voluptatis, devienne un grenier à coups de poing ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  328. Qu'une femme, qui doit être la soucoupe des plaisirs d'un mari, soit le ballon de ses emportements ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  329. Non, messieurs, vous ne souffrirez pas que ces innocentes brebis soient si cruellement égorgées par ces loups ravissants ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  330. Le divorce ayant été de tout temps tout ce qu'il y a de plus piquant dans le mariage, ce ragoût de veuvage anticipé, cette viduité prématurée que vous allez servir à la Dame Sotinet, va faire venir l'eau à la bouche à quantité de femmes de Paris : elles en voudront tâter. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  331. Songez, messieurs, aux honneurs que vous allez recevoir ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  332. L'hôtel de Bourgogne crèvera de monde : vous en aurez toute la gloire, et les comédiens italiens tout le profit. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  333. Ayant aucunement égard à la requête de la partie de Maître Cornichon, le dieu de l'Hymen a ordonné que la Dame Sotinet demeurera séparée de corps et de biens d'avec son mari ; qu'elle reprendra les vingt mille écus qu'elle a apportés en mariage ; qu'elle jouira, dès à présent, de son douaire, étant réputée veuve, et d'une pension de trois mille livres ; et, attendu la démence avérée du Sieur Sotinet, nous avons ordonné qu'à la diligence de sa femme, il sera incessamment enfermé aux Petites-Maisons, ou à Saint-Lazare. (Acte 3, scène 6, DIEU DE L'HYMEN)
  334. Monsieur L'Hyménée, ce n'est pas tout : vous venez de défaire un mariage ; mais il s'agit d'en refaire un autre entre Colombine et moi. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  335. Je le veux bien ; car j'ai toujours ouï dire qu'une femme et un almanach sont deux choses qui ne sont bonnes tout au plus que pour une année. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)

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LE CARNAVAL DE VENISE (1699)

  1. Ne perdez pas des moments précieux. v.2 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  2. Ne perdons pas des moments précieux. v.4 (Acte 1, scène 1, LE-CHOEUR)
  3. On ne peut travailler avec assez d'ardeur, v.7 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  4. Ne perdez pas des moments précieux. v.10 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  5. Ne perdons pas des moments précieux. v.12 (Acte 1, scène 1, LE-CHOEUR)
  6. Minerve paraît à nos yeux. v.15 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  7. Dans une aimable cour, v.18 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  8. Partager les plaisirs d'une fête nouvelle. v.19 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  9. Mais quel désordre affreux règne de toutes parts ? v.20 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  10. Ne perdez pas des moments précieux. v.27 (Acte 1, scène 2, L'ORDONNATEUR)
  11. Ne perdons pas des moments précieux. v.29 (Acte 1, scène 2, LE-CHOEUR)
  12. C'est un emploi digne des dieux. v.37 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  13. C'est un emploi digne des dieux. v.39 (Acte 1, scène 3, LE-CHOEUR)
  14. Venez, coeurs sensibles, v.44 (Acte 1, scène 3, SUIVANT-DE-LA-MUSIQUE)
  15. Que l'on donne aux mortels le soin de ses plaisirs, v.65 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR, UN SUIVANT MUSIQUE, UN SUIVANT DANSE)
  16. Jeunes coeurs, échappés à la fureur de Mars, v.68 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  17. Venez, venez de toutes parts v.69 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  18. Venez vous délasser de vos travaux guerriers ; v.71 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  19. Il sait à ses drapeaux enchaîner la victoire ; v.77 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  20. Il sait à ses drapeaux enchaîner la Victoire ; v.82 (Acte 1, scène 3, LE-CHOEUR)
  21. Léandre ne vient point s'offrir à mes regards. v.97 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  22. Je ne vois plus le même empressement. v.99 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  23. Ciel ! N'est-ce point une rivale ? v.108 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  24. Je viens donner quelques moments v.111 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  25. Je ne veux point faire un mystère v.120 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  26. J'aime un jeune étranger, v.122 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  27. Il m'aime d'une ardeur extrême ; v.130 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  28. Apprenez-moi le nom de cet amant fidèle. v.134 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  29. Il nous abuse l'une ou l'autre. v.139 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  30. Pour une autre que moi soupire ? v.144 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  31. Ingrat, ne m'as-tu pas mille fois osé dire v.145 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  32. Que tu brûlais pour moi d'une sincère ardeur ? v.146 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  33. Il ne faut plus dissimuler. v.155 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  34. Pour ne changer jamais. v.162 (Acte 2, scène 1, LÉANDRE)
  35. Ciel ! Que viens-je d'entendre ? Et que ma peine est rude v.163 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  36. J'en atteste le ciel, en ce funeste jour v.175 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  37. La haine vengera l'amour. v.176 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  38. Ne servent qu'à serrer nos noeuds. v.178 (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
  39. De divers étrangers une troupe s'avance ; v.179 (Acte 2, scène 4, L?ANDRE)
  40. Neptune, plus tranquille, v.208 (Acte 2, scène 5, LA-MUSICIENNE)
  41. Tout vient, jeunes coeurs, flatter vos désirs ; v.230 (Acte 2, scène 5, UN-ARMÉNIEN)
  42. Il vous ramène les doux plaisirs. v.232 (Acte 2, scène 5, UN ARM?NIEN)
  43. Vous brillez à mes yeux d'une grâce nouvelle, v.242 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  44. Et je brûle pour vous d'une nouvelle ardeur : v.243 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
  45. La mère des Amours ne fut jamais si belle ; v.244 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
  46. Je crains une rivale, et mon ardeur fidèle v.246 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  47. Ne craignez rien de ses fureurs. v.248 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  48. Sont les premiers effets d'une naissante ardeur. v.254 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  49. Rien ne pourrait calmer ses transports furieux. v.258 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  50. Brûlerez-vous pour moi d'une flamme sincère ? v.266 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  51. Vous qui ne souffrez point les peines v.278 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  52. Quel que soit le poids de vos chaînes, v.280 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  53. Vous qui ne souffrez point les peines v.287 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  54. Quel que soit le poids de vos chaînes, v.289 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  55. Malgré toute l'ardeur qui règne dans votre âme, v.291 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
  56. Et toi, sors de mon coeur, indigne et faible reste v.312 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
  57. D'une impuissante ardeur ; v.313 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
  58. Ne me parle plus en faveur v.314 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
  59. J'étoufferai la voix d'une pitié funeste v.316 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  60. Rien ne peut s'opposer à mon impatience ; v.322 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  61. Suivons tous, d'une ardeur fidèle : v.324 (Acte 3, scène 3, CHOEUR)
  62. C'est la Fortune ici qui nous appelle ; v.325 (Acte 3, scène 3, CHOEUR)
  63. Je traîne à mon char la victoire ; v.333 (Acte 3, scène 3, LA-FORTUNE)
  64. Je brise, quand je veux, des trônes éclatants ; v.334 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  65. Par quelque événement éterniser ma gloire. v.336 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  66. Venez implorer mon secours, v.337 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  67. Fortune inconstante, v.343 (Acte 3, scène 3, UN-MASQUE)
  68. Je ne crains rien, rien ne me tente ; v.344 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  69. Ne fait ni ma crainte ni mon espoir.' v.346 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  70. Est de brûler d'une constante flamme, v.348 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  71. Ce sont mes rois, ma fortune, et mes dieux. v.356 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  72. Doux charme des ennuis et des peines pressantes, v.361 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
  73. Une clarté nouvelle ; v.377 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
  74. Tra le spine nascosa v.384 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  75. Frà le pene Amor trionfera. v.386 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  76. L'espérance me dit que nos peines mortelles v.391 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  77. Parmi les épines cruelles v.393 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  78. Quelle félicité peut égaler la mienne ! v.396 (Acte 3, scène 6, LÉANDRE)
  79. Un jaloux s'endort avec peine, v.398 (Acte 3, scène 6, L?ANDRE)
  80. Je ne puis plus cacher mes transports furieux. v.401 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
  81. Que je le hais ! Que son amour me gêne ! v.413 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  82. Rien n'est comparable à la haine v.414 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  83. Ma voix t'étonne. v.417 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  84. Je sais les trahisons où ton coeur s'abandonne. v.418 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  85. Ce qu'on ne veut pas vous apprendre ? v.422 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  86. Qui ne sauraient vous rendre heureux. v.424 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  87. Puis-je briser la chaîne qui m'accable ? v.425 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  88. Si vous ne voulez pas m'aimer, v.427 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  89. C'est une peine, quand on aime, v.442 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  90. De déclarer des feux que l'on ne ressent pas. v.445 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  91. Mon tendre amour, de votre haine v.446 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  92. Ne sera-t-il jamais victorieux 3 v.447 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  93. Vous gardez le silence ; insensible ! Inhumaine ! v.448 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  94. Transports de vengeance et de haine, v.460 (Acte 4, scène 1, LÉONORE)
  95. Mon ingrat va périr, et sa mort est certaine ; v.462 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  96. Peut-être en ce moment une main inhumaine... v.463 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  97. Barbares... Arrêtez... Votre fureur est vaine ; v.465 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  98. Transports de vengeance et de haine, v.467 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  99. Ne chassez point l'amour qui flatte encor mon coeur. v.468 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  100. Mais il vit pour une autre ! Une pitié soudaine v.469 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  101. Ministres qui servez le courroux qui m'entraîne, v.471 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  102. Frappez... et qu'en mourant, cet infidèle apprenne v.472 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  103. Transports de vengeance et de haine, v.474 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  104. Votre ingrat ne vit plus, et mon rival est mort. v.479 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  105. Il ne vit plus ; et le ciel redoutable, v.483 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  106. S'il respirait encor, ne le sauverait pas. v.484 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  107. Ne punit point ces attentats ! v.486 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
  108. Tu ne saurais manquer de frapper un coupable. v.490 (Acte 4, scène 2, L?ONORE)
  109. Vous demandiez une victime. v.494 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  110. Sur le sein de Neptune, on est à tous moments ; v.535 (Acte 4, scène 4, UNE-CASTELLANE)
  111. C'est une mer toujours sujette à l'inconstance, v.543 (Acte 4, scène 4, UN-BARQUEROLLE)
  112. Ne songeons qu'aux plaisirs ; v.548 (Acte 4, scène 4, LE-CHOEUR)
  113. Ou ne vous ouvrez plus que pour verser des larmes. v.554 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  114. Un sujet de peine et d'alarmes. v.556 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  115. Ou ne vous ouvrez plus que pour verser des larmes. v.558 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  116. Ou ne vous ouvrez plus que pour verser des larmes. v.564 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  117. Cher Léandre, tu ne vis plus. v.566 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  118. Quand tu descends pour moi dans la nuit éternelle, v.567 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  119. Ne vaut pas un seul de vos jours. v.581 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  120. Il a porté les mains sur une autre victime, v.584 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
  121. Ne fasse sur mes jours l'effet du désespoir. v.590 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
  122. Si vous vouliez donner votre sang à ma mort, v.596 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  123. Aimons-nous d'une ardeur nouvelle ; v.599 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE-ISABELLE)
  124. Fuyons un lieu funeste à de tendres amants. v.602 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  125. On doit donner au peuple, en ce jour favorable, v.607 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  126. On entend une symphonie très douce. v.627 (Acte 5, scène 1, LE-CHOEUR)
  127. À ton trône enflammé l'Amour conduit mes pas : v.633 (Acte 5, scène 2, ORPHÉE)
  128. Ou, par pitié, donne-moi le trépas. v.637 (Acte 5, scène 2, ORPH?E)
  129. Mais je prétends qu'une loi s'accomplisse ; v.641 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  130. Ne regarde point Eurydice, v.642 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  131. Que tu ne sois rendu dans l'empire du jour. v.643 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  132. Soutienne qui pourra les traits et les éclairs v.650 (Acte 5, scène 1, OMBRE-HEUREUSE)
  133. Fuyez, peines, soupirs, ne revenez jamais v.656 (Acte 5, scène 5, EURYDICE)
  134. Qu'une troupe rapide v.666 (Acte 5, scène 7, PLUTON)
  135. Qu'on ne parle plus de tristesse v.675 (Acte 5, scène 8, PLUTON)
  136. Qu'on ne parle plus de tristesse v.678 (Acte 5, scène 8, LE-CHOEUR)
  137. Vous qui m'accompagnez, montrez votre allégresse ; v.692 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  138. Je veux joindre à ces jeux une nouvelle danse ; v.694 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  139. Venez, aimables enjouements ; v.695 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  140. L'heureux temps des plaisirs ne dure pas toujours. v.701 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  141. L'heureux temps des plaisirs ne dure pas toujours. v.703 (Acte 5, scène 10, LE-CHOEUR)
  142. La raison vainement voudrait vous interdire v.704 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)

SAPOR (1704)

  1. Nous la voyons, Théone, et nos bras désarmés v.3 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  2. Nos honneurs sont détruits : cette grandeur suprême, v.5 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  3. Ton âme, en ce moment, d'étonnement saisie, v.9 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  4. Hélas ! Ce temps n'est plus, Théone ; et nos malheurs v.15 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  5. Il ne me reste rien de ma gloire passée v.17 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  6. Que le dur souvenir d'une pompe effacée ; v.18 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  7. De mes honneurs passés me fait des maux présents. v.20 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  8. En quelque état, Madame, où le sort vous entraîne, v.21 (Acte 1, scène 1, THÉONE)
  9. Vous portez en tous lieux l'auguste nom de reine : v.22 (Acte 1, scène 1, TH?ONE)
  10. Je sens des mouvements de haine et de fureur, v.27 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  11. En tout temps, en tout lieu, m'offre un secours funeste ; v.34 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  12. Débris infortuné d'une triste famille, v.38 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  13. Et l'amour paternel ont formés dans mon flanc. v.40 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  14. Ismène, quel_que_soit l'excès de sa misère, v.41 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  15. Ismène encor peut-être a besoin de sa mère ; v.42 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  16. Entretient les lueurs d'une faible espérance. v.46 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  17. Tu sais bien que Sapor, digne sang d'Artaxerce, v.53 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  18. Est second fils du roi qui règne dans la Perse ; v.54 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  19. Afin que, plus à craindre en rassemblant nos haines, v.57 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  20. Nous n'eussions d'ennemis que les aigles romaines. v.58 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  21. Et, destinant dès lors un héritier au trône, v.61 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  22. Je promis à Sapor ma fille et ma couronne : v.62 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  23. Envoya, jeune encor, ce prince dans ma cour. v.64 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  24. Il voit à tout moment croître Ismène et ses charmes ; v.66 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  25. Et ce jeune guerrier, charmé de ses appas, v.67 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  26. Affermir mon empire, et couronner leurs feux : v.72 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  27. Sapor voit sans espoir enchaîner dans ce jour v.75 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  28. Le destin, quel qu'il soit, ne peut être durable : v.78 (Acte 1, scène 1, THÉONE)
  29. Ne suis-je pas plus prompte à me flatter que toi ? v.88 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  30. Succombe sous le poids d'une telle pensée. v.106 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  31. Non, je ne verrai point ces détestables jours : v.107 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  32. Écoutons des transports dignes de mon courage ; v.109 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  33. Ne suit que la fureur dont elle est enivrée. v.118 (Acte 1, scène 2, ZÉNOBIE)
  34. Quels secours attends-tu d'une haine impuissante ? v.125 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  35. La couronne longtemps sur ton front fut flottante : v.126 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  36. Et tu veux d'un vainqueur mettre le trône en poudre ! v.129 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  37. Le ciel dans mes malheurs ne veut pas que j'espère. v.134 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  38. Quand je l'implorerais, ce ne serait qu'en vain ; v.135 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  39. Trop contente en effet de ne pouvoir plus craindre, v.138 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  40. Je ne t'accuse point, ô ciel, de tes rigueurs ; v.139 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  41. Entraîne, s'il se peut, et Rome, et l'univers ; v.148 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  42. Ah ! Reviens donc, Théone, v.149 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
  43. Calmer l'impatience où mon cour s'abandonne. v.150 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  44. Mais pardonnez, madame, à ma témérité, v.156 (Acte 1, scène 3, THÉONE)
  45. Le temps ne fait en vous qu'irriter les douleurs ; v.160 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  46. Tu ne rends pas justice à l'excès de mes maux, v.164 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
  47. Et tu ne connais pas l'excès de mes malheurs, v.167 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  48. Mais mes maux ne sont pas de ceux qu'il peut guérir ; v.171 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  49. Chaque jour, chaque instant ne sert qu'à les aigrir. v.172 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  50. À ces cruels destins je me tienne enchaînée ? v.174 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  51. Je ne songe en secret qu'à m'échapper des fers ? v.176 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  52. Théone, il faut du sang pour laver mon affront : v.180 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  53. Je ne te dirai point de quel déluge alors v.199 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  54. Il m'aime ; et, dans l'ardeur du courroux qui m'entraîne, v.209 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  55. Son amour peut servir d'instrument à ma haine : v.210 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  56. De bienfaits et d'honneurs soit plus comblé que lui ; v.212 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  57. Ce favori nouveau l'aigrit et l'importune : v.213 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  58. Unissons nos dédains, notre cause est commune ; v.214 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  59. Va, laisse-nous, Théone, un moment seuls ici. v.216 (Acte 1, scène 4, ZÉNOBIE)
  60. Expirer votre haine, et naître votre amour ! v.220 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  61. À quelque emportement que m'ait poussé la haine, v.221 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  62. Je n'ai haï dans vous qu'un fils d'une romaine ; v.222 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  63. Dans la commune horreur vous étiez confondu ; v.223 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  64. Plus je sentais ma haine en mon âme s'accroître ; v.226 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  65. Je la garde aux Romains, cette haine infinie : v.229 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  66. Mais, sans examiner si j'aime ou si je hais, v.232 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  67. Au bruit de ses exploits m'apprenne son amour. v.240 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  68. Déterminez. Faut-il, en vous tirant des fers, v.243 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  69. Vous replacer au trône aux yeux de l'univers ? v.244 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  70. Rallumer le flambeau d'une cruelle guerre, v.246 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  71. D'une cruelle guerre a soutenu le poids. v.252 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  72. Je le crois déjà mort l'ennemi qui m'outrage. v.258 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  73. La victime, du moins, sera digne de vous. v.260 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  74. S'il était à mes yeux une plus noble tête, v.261 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  75. Mais, depuis mes malheurs, il ne s'offre plus rien v.263 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  76. Vous ne répondez rien ! Que m'apprend ce silence ? v.266 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  77. Qu'importe que l'amour ou la haine m'inspire ? v.273 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  78. Est-il quelque moyen qu'on ne doive tenter ? v.276 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  79. Ce qu'arme de soldats l'une et l'autre Arabie, v.282 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  80. La fortune en ce jour au trône vous appelle, v.289 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  81. Jamais l'occasion ne peut être plus belle : v.290 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  82. Titricus en Espagne, aidé de Victorie, v.293 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  83. Vous ne répondez rien ! Qu'ai-je encore à vous dire ? v.297 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  84. Vous êtes insensible aux honneurs d'un empire, v.298 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  85. Aussi bien qu'à ma voix, qui ne vous touche pas. v.299 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  86. Si le trône du monde a pour vous peu d'appas, v.300 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  87. Inutiles secours, vaines et faibles armes, v.302 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  88. Ne peut-on vous venger, hélas ! Que par un crime ? v.306 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  89. Que fait entendre au cour une vertu sévère ? v.310 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  90. C'est donc une vertu de m'arracher au trône, v.313 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  91. D'enlever sur ma tète une juste couronne, v.314 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  92. Qu'il faut briser les fers d'une reine innocente, v.321 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  93. Que ton cour innocent ne tentera jamais ! v.324 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  94. Va, lâche, mériter les feux d'une Romaine ; v.325 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  95. Je crains plus ton amour que je ne fais ta haine ; v.326 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  96. Non, je ne puis penser à de telles horreurs ; v.340 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  97. Et ne commençons point par le plus noir des crimes. v.346 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  98. Quoi ! Seigneur, quand le ciel, secondant vos guerriers, v.347 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  99. Combien, pour son triomphe, il destine de rois. v.356 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  100. Et, parmi tant de rois, je crains qu'on ne me compte. v.358 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  101. Seigneur, que craignez-vous ? Quelle vaine terreur v.359 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  102. Ne s'y lasse jamais, et ne s'y couche pas : v.364 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  103. Vous commandez, seigneur, du couchant à l'aurore, v.365 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  104. Le Tage avec le Rhin s'incline devant vous, v.367 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  105. De quelques mouvements soupçonnez-vous la Perse ? v.370 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  106. Est-il quelque ennemi que vous craigniez encor ? v.372 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  107. Non, non, je ne crains plus d'ennemis que moi-même : v.373 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  108. Vous aimez ! Vous, seigneur, à l'amour immolé ! v.375 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  109. Jamais de plus de feux un coeur ne fut brûlé ; v.376 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  110. Ne se vit plus à plaindre au comble de la gloire. v.378 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  111. Pour garantir mon cour d'un funeste poison, v.379 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  112. Une princesse, hélas ! trop charmante à mes yeux, v.388 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  113. Je ne me connais plus, ma grandeur m'importune ; v.389 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  114. Je condamne les dieux, j'accuse la fortune ; v.390 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  115. Je fuis, mais vainement, j'ai le trait dans le sein. v.392 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  116. Je veux me fuir moi-même, et ne puis m'éviter. v.396 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  117. Que ne la laissais-tu, la princesse orgueilleuse, v.397 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  118. Porter aux ennemis sa beauté dangereuse ? v.398 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  119. Ne présumais-tu pas, en voyant tant de charmes, v.401 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  120. Jamais faire un présent plus funeste aux Romains ? v.404 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  121. Quoi ! Sur une captive attachant vos regards, v.407 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  122. Assure à tout l'empire une éternelle paix. v.412 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  123. Ne me rendront jamais ma liberté ravie ; v.418 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  124. Ce feu trop retenu ne peut plus se celer, v.423 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  125. Et je ne puis, enfin, et me taire et brûler. v.424 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  126. Ce jour le prescrira : je destine au soleil v.427 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  127. À célébrer l'éclat d'une si grande fête. v.430 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  128. Ismène, dans ces lieux par mon ordre conduite, v.433 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  129. Seigneur, elle s'empresse v.438 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  130. Ismène à vos regards viendra s'offrir. v.440 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  131. Vous soupirez, seigneur, et votre âme abattue v.441 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  132. Firmin, je fais venir Ismène dans ces lieux v.447 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  133. Seigneur, qu'allez-vous faire ? v.450 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  134. Je vois déjà, seigneur, vos chefs et vos soldats, v.455 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  135. La haine des Romains, ardents à se venger, v.459 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  136. Ne souffre point au trône aucun sang étranger : v.460 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  137. Vous aurez beau, seigneur, opposer votre gloire, v.462 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  138. Quand la liberté parle, on ne veut rien entendre. v.466 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  139. Ne verra plus en vous que le sang des Tarquins ; v.468 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  140. La foudre et ses éclats ne pourraient m'alarmer : v.475 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  141. Je maintiendrai sans lui l'honneur du diadème ; v.481 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  142. Ne peut être remise en de meilleures mains. v.484 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  143. Depuis que j'ai reçu les rênes de l'empire, v.485 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  144. Oui, seigneur, jamais Rome, en un jour de victoire, v.489 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  145. De traits plus glorieux ne marqua son histoire ; v.490 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  146. Ne pas vous en remettre à nos neveux déchus v.495 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  147. Du chemin de la gloire on ne saurait descendre v.497 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  148. Il ne sied qu'au cour faible, aux hommes ordinaires, v.501 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  149. Ah ! Qu'il est beau, seigneur, au vainqueur de la terre, v.505 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  150. Qui déchaîne à son gré le démon de la guerre, v.506 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  151. Qui tient tout sous ses lois, de borner son pouvoir v.507 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  152. Tous tes conseils, Firmin, ne sont plus de saison, v.511 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  153. Une secrète voix, qui ne saurait se taire, v.513 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  154. Traîner dans le repos une indolente vie ? v.522 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  155. Je ne veux qu'être un jour arbitre de mon choix. v.524 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  156. Je viens, plein des transports d'une flamme indiscrète, v.533 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  157. Seigneur, un tel discours a de quoi me surprendre ; v.537 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  158. J'en demeure interdite, et ne le puis comprendre. v.538 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  159. Je n'ai pas oublié qu'un funeste revers, v.539 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  160. Rebut de la fortune, esclave infortunée, v.541 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  161. Allume votre haine, et vous rend plus farouche ; v.550 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  162. Mais enfin, si jamais dans une âme hautaine, v.553 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  163. Par un effort d'amour on peut vaincre la haine, v.554 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  164. Votre cour me hait moins que le mien ne vous aime. v.558 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  165. À moi, seigneur ! À moi ! Songez... v.561 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  166. Serait-il un captif indigne de vos fers ? v.564 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  167. Je l'avouerai, seigneur, une telle victoire v.565 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  168. Et je dois renoncer sans peine à la grandeur v.567 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  169. Il ne m'est plus permis d'accepter de couronne, v.569 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  170. Si Sapor, plus heureux, à mon front ne la donne ; v.570 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  171. M'est odieux, seigneur, offert d'une autre main. v.572 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  172. Que m'apprenez-vous donc ? Et que m'osez-vous dire ? v.573 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  173. Ne seront pas encor dans ce jour exaucés. v.576 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  174. Je crois peu que l'état où le ciel l'abandonne v.577 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  175. Soit le plus court chemin pour arriver au trône : v.578 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  176. Seigneur, jusqu'à ce jour v.583 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  177. Une mère, avant moi, formant ces noeuds si doux, v.587 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  178. Je me fais de le voir une douce habitude ; v.590 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  179. Quand je le vois, seigneur, une furtive joie v.593 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  180. Quand je ne le vois plus, une langueur secrète v.597 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  181. Entretient les ennuis d'une flamme inquiète ; v.598 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  182. Mes yeux ne s'ouvrent plus que pour voir ses alarmes, v.601 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  183. Plus sensible à ses maux que je ne suis aux miens, v.603 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  184. Je le plains plus cent fois qu'il ne se plaint lui-même. v.605 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  185. N'en doutez point, madame, à ces signes secrets v.607 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  186. Par de plus doux transports il ne saurait paraître. v.609 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  187. J'ai donc senti l'amour, seigneur, sans le connaître : v.610 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  188. De sa naissante ardeur ne s'est point alarmé. v.612 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  189. Je ferais plus encor ? Je donnerais ma vie v.617 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  190. Seigneur, en ce moment, je croyais lui parler. v.624 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  191. Mais apprenez aussi qu'un empereur romain v.627 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  192. Pour ne devoir qu'à vous le don de votre cour, v.631 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  193. Je ne me suis paré que de ma seule flamme. v.634 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  194. Théone, qu'ai-je dit ? v.639 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
  195. Il mourra donc, Théone ! Et parce que je l'aime, v.645 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  196. Il faudra que ma main l'assassine elle-même ! v.646 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  197. Et j'étais réservée à lui donner la mort. v.652 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  198. Voilà, voilà l'effet de ta main criminelle : v.654 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  199. As voulu me parer de ces vains ornements ; v.656 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  200. Il ne tient plus qu'à vous. v.666 (Acte 2, scène 4, THÉONE)
  201. Fierté, haine, parents, gloire, vengeance, amour ! v.672 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
  202. Moi, j'irais, me couvrant d'une honte éternelle, v.673 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  203. Tâchons de détourner le coup qui le menace ; v.678 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  204. Vous me voyez sans peine ; et ces yeux pleins de charmes v.685 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  205. Daignent pour moi s'ouvrir et répandre des larmes ! v.686 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  206. Aux honneurs éclatants de cent sceptres offerts ! v.688 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  207. Vous remontiez au trône auquel vous étiez née ; v.690 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  208. Vous abandonnez tout, gloire, grandeurs, empire, v.694 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  209. Qui ne peut désormais vous offrir que des pleurs, v.696 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  210. D'un trône abandonné frivole récompense ; v.697 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  211. Ne vous rendra jamais ce que vous refusez. v.700 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  212. Je m'en suis déjà fait une longue habitude ; v.705 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  213. Au malheur imprévu de ne vous point aimer. v.708 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  214. Craignez que l'empereur... v.721 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  215. Hélas ! Quand une fois on a vu vos appas, v.723 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  216. Il n'est plus d'autre mal que de ne vous voir pas, v.724 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  217. D'une secrète horreur mon âme prévenue, v.733 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  218. Ne jouit qu'en tremblant du bien de votre vue : v.734 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  219. Un prince qui n'a pu détourner vos malheurs v.739 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  220. Pour détourner les maux prêts à vous opprimer, v.747 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  221. Souvenez-vous, hélas ! De ne me plus aimer. v.748 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  222. Moi, ne vous plus aimer ! Ma tendresse offensée v.749 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  223. Ne soutient point l'horreur d'une telle pensée. v.750 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  224. Moi, ne vous plus aimer ! Et quel affreux démon v.751 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  225. Verserait dans mon cour ce funeste poison ? v.752 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  226. Pourrais-je imaginer un revers plus funeste ? v.753 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  227. Et je ne vis enfin qu'autant que vous m'aimez : v.760 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  228. Ciel, détourne les maux que présage mon cour ! v.764 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
  229. Vous lui juriez, madame, une amour éternelle ; v.770 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  230. Prince, vous lui juriez une éternelle amour, v.772 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  231. Mais vous ne deviez pas, prince, si tôt suspendre v.777 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  232. Mais, prince, je ne sais si vous êtes instruit v.783 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  233. Étouffer les ardeurs d'une indiscrète flamme ; v.786 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  234. Qu'aucun autre que moi ne doit plus y prétendre ? v.789 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  235. Et que les mêmes fers dont on charge une tête v.793 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  236. Dussent toujours d'une âme assurer la conquête. v.794 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  237. C'est pour une mortelle encore trop de grâce v.798 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  238. De recueillir l'honneur d'un sévère regard v.799 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  239. Et qui, dès leur naissance au trône accoutumés, v.803 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  240. S'il s'en trouvait quelqu'un, une juste puissance v.805 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  241. Un pouvoir redoutable entraîne à soi l'amour. v.807 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  242. D'une esclave orgueilleuse on sait tirer vengeance ; v.809 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  243. Ce temps qui vainement flatte encor votre espoir. v.824 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  244. Et tous deux à mes yeux ne sont que trop coupables. v.829 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  245. Ah ! Ne le croyez pas. v.840 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  246. Je ne le crois que trop : mais si l'on me dédaigne, v.841 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  247. Par de plus sûrs moyens j'obtiendrai qu'on me craigne. v.842 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  248. Je ne vois en Sapor qu'un criminel d'État ; v.847 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  249. Non, le ciel ne veut point une telle injustice : v.853 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  250. Vous tenez dans vos mains et sa vie et sa mort : v.860 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  251. Qu'aux droits de votre cour il ne doit plus prétendre, v.862 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  252. Et, quand je le pourrais, ah ! Ne serait-ce pas, v.867 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  253. Enfin par la pitié ma haine retenue v.873 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  254. Je puis donner l'essor à ma juste vengeance ; v.877 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  255. Ah, seigneur ! Arrêtez ; je suis prête à tout faire : v.881 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  256. J'y cours ; je lui dirai que je ne l'aime pas. v.884 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  257. Que je ne l'aime pas ! Eh ! Le pourra-t-il croire ? v.885 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  258. Que ne ferais-je point pour lui sauver la vie ! v.889 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  259. Ne vous figurez pas que mon âme éblouie v.890 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  260. À travers cette haine on verra votre amour. v.892 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  261. C'est pour moi, je l'avoue, une faible victoire ; v.893 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  262. Il se répand un bruit que je ne crois qu'à peine ; v.901 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  263. On dit que dans ce jour vous épousez Ismène : v.902 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  264. Épousez-vous Ismène. v.906 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  265. Elle y consentirait ! Non, je ne le puis croire ; v.909 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  266. Monterait-elle au trône où le corps de son père v.913 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  267. Et vous reproche un sang que vous ne vengez pas ? v.920 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  268. Et vous aussi, Madame ? Hélas ! C'est trop de peines. v.921 (Acte 3, scène 4, ISMÈNE)
  269. Non, ce n'est point mon sang qui coule dans tes veines ; v.922 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  270. Je ne t'ai point portée, ingrate, dans ce sein, v.923 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  271. Sont-ce là ces transports de haine et de vengeance v.925 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  272. Insensible ! Inhumaine ! v.929 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  273. Tu soupires ! Voilà les transports de ta haine, v.930 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  274. Fille indigne d'un nom que tu ne peux porter ! v.931 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  275. Vous m'instruisez, madame ; et je ne savais pas v.936 (Acte 3, scène 4, AURÉLIEN)
  276. Je misse à votre front une tache si noire ; v.938 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  277. Et, soigneux de mon nom, j'ai craint jusqu'à ce jour v.943 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  278. L'amour, de son côté, vient entraîner mon âme. v.946 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  279. Je n'examine point ici qui de nous deux v.947 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  280. Hasarde plus sa gloire un jour chez nos neveux : v.948 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  281. Je le veux, je l'ordonne, et cela doit suffire ; v.950 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  282. Dussé-je me couvrir d'un affront éternel, v.951 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  283. Tenez votre promesse : ici tout m'obéit ; v.955 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  284. Plaignez plutôt mon sort ; pour sauver ce que j'aime, v.965 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
  285. D'un indigne attentat sauvons notre mémoire ; v.973 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
  286. Nous ne vivons déjà que trop pour notre gloire. v.974 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
  287. Nous vivons pour mourir, mais nous ne naissons pas v.976 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
  288. Ce cour d'aucun remords ne se sent combattu ; v.987 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  289. Ne vous marque que trop l'amour que j'ai pour vous : v.1007 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  290. Tout ce que vous voyez, ne se fait pas pour moi. v.1012 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  291. Ne se fait pas pour vous ! Et pour qui donc, madame ? v.1013 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  292. Vous voulez m'abuser ; non, je ne puis vous croire : v.1018 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  293. Et qui vous voit, enfin, ne peut aimer que vous. v.1020 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  294. Le dessein en est pris, rien ne m'en peut distraire. v.1022 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  295. Sévère, Albin, Plautus, pleins d'une noble ardeur, v.1027 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  296. Où vais-je ? Où suis-je ? Hélas ! Où courons-nous, Théone ? v.1037 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  297. Ma raison me trahit, ma vertu m'abandonne ; v.1038 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  298. « Prince, je vous aimais, je ne vous aime plus ; v.1052 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  299. « Je ne suis plus à vous ; à l'autel entraînée, v.1053 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  300. Fuyons, fuyons, Théone, au sein d'un antre horrible ; v.1058 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  301. Viens, Théone, suis-moi. Mais quelle erreur m'emporte ! v.1061 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  302. Ne me souvient-il plus de ces fers que je porte ? v.1062 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  303. Hélas ! Je ne peux plus me cacher qu'aux enfers. v.1064 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  304. Ordonnez de mon sort, je suis prête à vous suivre : v.1066 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
  305. Descende pour jamais sur la funeste rive, v.1070 (Acte 4, scène 1, TH?ONE)
  306. Ne porterais-je pas ma honte et mon amour, v.1072 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  307. Il suffit que mon crime étonne l'univers, v.1075 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  308. D'aucune tache encor ne se trouve ternie ; v.1078 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
  309. Veux-tu que contre lui je tourne encor mes coups ? v.1084 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  310. Mais, dieux ! Je l'aperçois ; il tourne ici ses pas. v.1087 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  311. Dans le trouble où je suis ne m'abandonne pas. v.1088 (Acte 4, scène 2, ISM?NE)
  312. Quel changement ! Pourquoi détournez-vous vos yeux ? v.1099 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  313. Vous ne me dites rien ? Ciel ! Que je sens d'effroi ! v.1103 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  314. Et je suis criminel aux yeux de l'univers, v.1115 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  315. Servaient à méditer une illustre vengeance, v.1118 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  316. J'étais digne du cour que vous m'avez donné. v.1120 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  317. Tournez vos premiers coups v.1123 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  318. Contre ce cour ingrat qui ne peut être à vous. v.1124 (Acte 4, scène 2, ISM?NE)
  319. Qui ne peut être à moi ! Ciel ! Que viens-je d'entendre ? v.1125 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  320. Est-ce Ismène qui parle, ou bien suis-je Sapor ? v.1128 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  321. Qui ne peut être à moi ! C'en est donc fait, madame ? v.1129 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  322. Vos sens d'une autre ardeur sont enfin prévenus ; v.1131 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  323. Vous m'aimiez autrefois, et vous ne m'aimez plus. v.1132 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  324. Ne craignez point ici que ma bouche rebelle v.1133 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  325. Je ne veux exciter contre vous que vous-même ; v.1138 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  326. Au lieu de condamner votre esprit inconstant, v.1139 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  327. Je vous pardonne tout, si j'en puis faire autant. v.1140 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  328. Indigne de vous plaire et de vous posséder, v.1143 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  329. Vous oublieriez pour moi le trône et ses grandeurs ? v.1148 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  330. Malheureux que je suis ! Je ne l'ai que trop cru ; v.1152 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  331. Je me suis trop flatté d'une fausse promesse, v.1153 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  332. Et du charme imposteur d'une feinte tendresse ; v.1154 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  333. Ne pouviez-vous encor quelque temps vous contraindre ? v.1161 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  334. Je ne veux rien connaître ; assuré de mon sort, v.1163 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  335. Mes voeux les plus ardents m'entraînent à la mort ; v.1164 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  336. Pour achever d'éteindre une importune flamine ; v.1166 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  337. Quel trouble me saisit ! Je tremble, je frissonne. v.1173 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  338. Ah, Théone ! Fuyons. La force m'abandonne. v.1174 (Acte 4, scène 2, ISM?NE)
  339. Du sang des ennemis encore dégoûtantes, v.1186 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  340. Dignes fruits d'un héros, cueillis au champ de Mars ? v.1188 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  341. Je ne me réservais, pour prix de la victoire, v.1190 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  342. Vous ne l'ignorez pas, j'allais de vos parents v.1195 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  343. Apaiser, par mon sang, les mânes murmurants. v.1196 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  344. Ce n'était pas assez qu'aux plaines de Larisse v.1197 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  345. Pour ne me plus aimer, êtes-vous moins aimable ? v.1218 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  346. Vengez-vous par la haine, armez votre courroux. v.1219 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  347. Me m'apprenez plus rien : je n'ai rien à vous dire, v.1225 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  348. Je ne vous retiens plus, allez chercher l'empire ; v.1226 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  349. Mais, hélas ! Pardonnez à ma juste fureur, v.1240 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  350. Si, pressé du transport d'une jalouse rage, v.1241 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  351. Je ne respecte point votre divine image ; v.1242 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  352. J'immole, en me frappant, une double victime. v.1246 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  353. Sortons d'ici, Théone, je me sens accablé ; v.1247 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  354. Je tremble, je chancelle, et je ne puis parler. v.1248 (Acte 4, scène 2, ISM?NE)
  355. Enfin dépouillons-nous d'une feinte apparence ; v.1249 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  356. Ouvrons enfin la scène, exposons à la vue v.1253 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  357. Les sentiments secrets d'une âme toute nue. v.1254 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  358. Je vais mourir bientôt, je ne me plaindrai plus. v.1256 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  359. Hé bien ! Es-tu content ? La fortune et l'amour v.1259 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  360. M'ont-ils assez joué l'une et l'autre à leur tour ? v.1260 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  361. Ismène est infidèle et ne me plaindra pas. v.1264 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  362. Je ne vous verrai plus, ingrate ! Encore aimable v.1265 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  363. Je ne vous verrai plus ! Quel mot épouvantable ! v.1266 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  364. Ah ! Qui peut exciter ces indignes terreurs ? v.1268 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  365. Je ne sais ; mais, hélas ! Renonce-t-on au jour, v.1271 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  366. Quand on ne peut encor renoncer à l'amour ? v.1272 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  367. Et je ne vivrai plus pour venger cette offense ! v.1278 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  368. Ismène encor vivra, c'est trop pour me venger. v.1280 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  369. Venez voir le désordre et l'horreur de mon âme ; v.1290 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  370. Venez, considérez l'état où l'on m'a mis : v.1291 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  371. Vous ne direz jamais quels sont mes ennemis. v.1292 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  372. Le jour m'est à présent une peine cruelle ; v.1293 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  373. Je suis trahi, madame ; Ismène est infidèle, v.1294 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  374. Ismène, votre fille ! Et dans quel temps, grands dieu^ ! v.1295 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  375. Des destins ennemis va dompter la malice. v.1298 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  376. Ah ! Que ne suivait-elle encor quelques moments v.1299 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  377. Par pitié, pour le moins, que ne me laissait-elle v.1301 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  378. Que ne se faisait-elle encore un peu d'effort ? v.1303 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  379. Les dieux n'allaient-ils pas ordonner de ma mort ? v.1304 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  380. Une loi trop cruelle arrachait un discours v.1315 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  381. Qu'elle ne prononçait que pour sauver vos jours. v.1316 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  382. Non que je veuille ici, trop pleine de tendresse, v.1317 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  383. Ismène a consenti, dans ce funeste jour, v.1323 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  384. Quoi ! Malgré ses froideurs, Ismène, dans son cour, v.1327 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  385. Ah ! Pardonnez, Ismène, à mon aveuglement ; v.1331 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  386. Pardonnez aux transports d'un trop crédule amant ; v.1332 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  387. Je vous crois criminelle, et je suis seul coupable : v.1333 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  388. Vous ne serez jamais à mes yeux plus aimable, v.1334 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  389. Que quand vous me direz que vous ne m'aimez pas. v.1336 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  390. Mais peut-être, madame, une pitié secrète, v.1337 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  391. Son cour ne pouvait-il s'exprimer par ses yeux ? v.1344 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  392. Tout mentait dans Ismène ; et ses regards timides v.1345 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  393. Madame, ah ! Que m'apprenez-vous ? v.1347 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  394. Tous mes moments ne sont qu'un éternel retour v.1355 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  395. Ciel, je ne serai plus l'objet de ta colère : v.1358 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  396. Il ne te reste plus contre moi qu'un seul trait ; v.1359 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  397. Je l'attends : tonne, frappe, et je suis satisfait. v.1360 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  398. Défendez votre cour contre ces vaines craintes ; v.1362 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  399. Ne serve qu'à hâter les coups de votre main. v.1364 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  400. Non, non, vous n'irez point : qu'il vienne ici, s'il ose, v.1373 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
  401. Vous arracher des bras d'une mère en fureur. v.1375 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
  402. Va verser sur ton front un opprobre éternel ; v.1380 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
  403. Sabinus ne vient point, il faut l'aller chercher ; v.1393 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  404. Et, n'accusant que moi d'une fausse inconstance, v.1403 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  405. Rien ne peut mieux venger l'amour que l'amour même : v.1412 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  406. Je m'arrache à vos yeux, vous ne me reverrez v.1413 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  407. Laissez-moi présenter une moins chère tête. v.1416 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
  408. Que vous me refusez, qui destinez-vous ? v.1422 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  409. Et, si je ne remets l'Orient sous vos lois, v.1433 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  410. Quel coup de foudre affreux ! Dieux ! Quel revers funeste ! v.1435 (Acte 5, scène 3, ZÉNOBIE)
  411. Ciel ! Conservez Sapor, j'abandonne le reste. v.1436 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
  412. Il faut qu'auparavant la mienne soit ravie. v.1452 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  413. Et vous pouvez, seigneur, commander qu'il périsse ? v.1460 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
  414. Il n'est point criminel ; c'est moi qui dois périr. v.1461 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
  415. Tout le regret que j'ai d'abandonner la vie v.1468 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  416. Seigneur, ordonnez donc que je meure avec lui. v.1474 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
  417. Tu ne mourras pas seul. Retirez-vous, perfides ; v.1483 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
  418. Traîtres, éloignez-vous. Mais je ne puis passer. v.1486 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  419. On punit l'innocent, on pardonne au coupable. v.1488 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  420. Ah ! Seigneur, suspendez un arrêt plein d'horreur : v.1489 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  421. Ordonnez de ma main, disposez de mon cour. v.1490 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  422. Détournez sur moi seule un coup qui le menace ; v.1492 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  423. Au nom de notre hymen, seigneur, au nom des dieux ! v.1494 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  424. Ma fille : une faveur est pour nous une injure, v.1496 (Acte 5, scène 4, ZÉNOBIE)
  425. Lorsque notre ennemi la dispense à nos soins ; v.1497 (Acte 5, scène 4, Z?NOBIE)
  426. Seraient trop achetés d'une telle faiblesse. v.1500 (Acte 5, scène 4, Z?NOBIE)
  427. Barbares, redoutez les éclats du tonnerre ; v.1504 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
  428. Ah, seigneur ! Mais je vois vos secrètes horreurs. v.1506 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  429. Votre cour désavoue une telle injustice : v.1508 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  430. Allez vous opposer à ces indignes coups ; v.1510 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  431. L'empereur vous l'ordonne, allez, j'y cours moi-même. v.1511 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  432. Seigneur... v.1512 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  433. Seigneur, vous êtes obéi, v.1518 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  434. Sapor s'était soustrait à peine à votre vue, v.1520 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  435. Vous, héros, qui couverts d'une éternelle gloire, v.1527 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  436. Ne l'ayant pu verser dans le sein de la guerre. » v.1531 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  437. Aussitôt, d'un effort plus prompt que le tonnerre, v.1532 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  438. « Lâches, retirez-vous ; qu'on ne m'approche pas, v.1534 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  439. Dit-il ; je veux ici vous épargner un crime, v.1535 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  440. Et porter seul des coups dignes de la victime ! » v.1536 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  441. À ces mots se taisant, d'une intrépide main v.1537 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  442. Il se perce, son sang par deux canaux bouillonne. v.1539 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  443. Ce spectacle sanglant n'offre rien qui l'étonne ; v.1540 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  444. Aurélien peut vivre, il n'a plus d'ennemis. v.1546 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  445. Vous, Ismène... » A ce mot, qu'à peine il a pu dire, v.1547 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  446. Je l'ai laissé, seigneur, sans forces, étendu v.1549 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  447. Il ne vit plus enfin. v.1551 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  448. J'assure, d'un seul coup, mon trône et mon amour. v.1554 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
  449. Éloigne-toi, barbare ; évite ma présence ; v.1559 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  450. Crains que Sapor ne vive encore en ma vengeance : v.1560 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  451. Ismène, hélas ! Ismène... v.1569 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
  452. Ah ! Ne m'approche pas ; v.1569 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  453. Barbare, je ne meurs qu'afin de t'éviter. v.1578 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  454. Que ne furent jamais époux, enfants, empire : v.1591 (Acte 5, scène 6, ZÉNOBIE)
  455. C'est une horreur de toi que je ne saurais dire. v.1592 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  456. Je saurai prévenir les effets de sa haine ; v.1595 (Acte 5, scène 7, AURÉLIEN)
  457. Je crains peu son courroux. Firmin, suivez la reine : v.1596 (Acte 5, scène 7, AUR?LIEN)
  458. Si Rome ne la voit avec les autres rois ; v.1598 (Acte 5, scène 7, AUR?LIEN)
  459. Et l'honneur d'un triomphe offert à mon retour, v.1601 (Acte 5, scène 7, AUR?LIEN)

ARLEQUIN AUX ENFERS (1689)

  1. Hoé, hoé, madame la Baleine ; ouvrez, s'il vous plaît, votre petite gueule. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  2. Les chemins sont diaboliques ; je croyais que je ne me tirerais jamais des ornières. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  3. J'espérais que Neptune lui ferait boire rasade. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  4. Madame, tenez-vous bien aux crins. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  5. Il faut l'aller attendre à la descente du coche, pour lui donner la main. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  6. Par ma foi, monsieur, nous avons eu bien de la peine. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  7. Tu n'avais que faire de te donner tant de peine. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  8. Les méchantes femmes sont de liège, et ne vont jamais à fond. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  9. Tenez, monsieur, voyez, il est sur les dents ; il sera fourbu de ce voyage. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  10. Hé bien, mène-le à l'écurie. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  11. Voilà une bonne voiture pour une femme ! (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  12. Mais rien ne peut m'arrêter quand la gloire m'appelle. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  13. Ils enragent de se battre quand ils ne voient personne. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  14. Que cela ne vous arrive plus ; car je vous ferais chanter sur un diable de ton. (Acte 1, scène 1, AMPHION)
  15. Je veux vous voir les instruments à la main, quoique vous ne soyez qu'un chantre du Pont-Neuf, et que vous ne deviez chanter qu'avec des grenouilles, ou braire avec des ânes comme vous. » (Acte 1, scène 1, AMPHION)
  16. Si tu voulais me laisser faire, je ferais de bonnes connaissances, et nous n'en serions pas plus mal. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  17. Autrefois, quand tu étais absent, je ne manquais de rien. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  18. Ne voilà-t-il pas ? (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  19. Je compose une huile, que j'appelle élixir de patience, dont une goutte, appliquée sur le front d'un mari, le délivre pour jamais du mal de tête. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  20. Mais je crois que tu gagnerais bien davantage si ton secret le délivrait de sa femme. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  21. J'en ai un autre bien plus beau pour les femmes d'aujourd'hui : je compose la poudre de bonne réputation. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  22. Qu'une coquette soit décriée, que sa conduite soit la plus raboteuse du inonde, elle n'a qu'à changer de quartier, ne plus voir d'hommes, et prendre une pincée de ma poudre dans un bouillon, en trois mois elle fera assaut de vertu avec les plus vestales. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  23. Qu'un homme ait une colique enragée, en un moment je la lui fais passer ; je le couche par terre, je fais chauffer une meule de moulin, et je la lui applique sur l'estomac : n'ayez pas peur qu'il ait jamais la colique. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  24. Le malade meurt ordinairement ; mais s'il ne mourait pas, ce serait le plus beau secret du monde. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  25. J'ai encore un autre moyen pour gagner de l'argent. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  26. Je ne veux point d'un mari grue. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  27. Fais-toi plutôt maître à chanter ; on te donnera deux louis d'or par mois, et tu trouveras peut-être quelque écolière à qui tu ne déplairas pas ; car voilà la grippe des femmes d'aujourd'hui. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  28. Je te dis qu'il n'y a pas une plus jolie vacation au monde ; on est de tous les bons repas ; jamais de promenades sans le maître à chanter : on se donne de petits airs de familiarité avec l'écolière ; on lui prend la main pour lui faire battre la mesure : le mari passe tout sur la foi de la musique, et il ne se doute pas, bien souvent, de la partie qu'on fait chanter à sa femme. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  29. Voilà mon affaire : il n'y a qu'une chose qui m'embarrasse ; il me semble que je ne suis pas assez bien habillé. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  30. Ne te mets pas en peine ; tu n'auras pas montré trois mois, que tu seras aussi doré que les maîtres à danser. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  31. Une écolière, en levant une jupe chez un marchand ; ne lève-t-elle pas aussi une veste pour son maître de musique ? (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  32. 'Voilà de jolis profits ; mais aussi on a bien de la peine : c'est un rude métier : il faut quelquefois chanter quand on a envie de boire. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  33. Et moi, je vais travailler à ma poudre de bonne réputation. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  34. Ne manque pas d'en garder pour toi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  35. Pour les cacher à cette âme damnée de Jupiter, qui nous en a tué déjà deux, j'en ai fait un ballot, que j'ai porté à la douane ; et je vais voir s'il est arrivé, pour en payer les droits. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  36. Cette marchandise-là ne devrait pas beaucoup payer d'entrée ; elle paye assez à la sortie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  37. C'est l'amour qui en a été le tapissier ; et cela est si vrai que le mérite... votre mine, d'un côté... mais d'ailleurs. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  38. Tout ce que je puis vous dire, c'est que je ne me souviens pas d'avoir été plus grande. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  39. Je vous reconnais à vos flamboyantes prunelles. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  40. Je ne pense pas que vous ayez dix-sept paumes. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  41. Que je serais heureux si je pouvais être le tailleur fortuné qui prendra la mesure d'une si aimable personne ! (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  42. Point du tout ; je vous avoue que je n'ai point le don de deviner. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  43. Comme mon amour ne vise qu'au mariage, plus je vous regarde, et plus je trouve que vous êtes assez mon fait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  44. Quand on a une femme à prendre, les plus petites sont toujours les meilleures. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  45. Suivant cette maxime-là, je suis donc fort bonne à marier ? (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  46. Il m'a dit que c'était une humeur âcre, répandue dans le diaphragme du mésentère, et qui tombe sur l'omoplate. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  47. Une fois seulement, après avoir pris du tabac, je voulais éternuer, elle me fit manquer mon coup ; de dépit, je pris un chandelier, je lui cassai la tête, et elle mourut un quart_d_heure après. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  48. Voilà le seul différend que nous ayons jamais eu ensemble, et qui ne dura pas longtemps, comme vous voyez. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  49. Quand une femme doit mourir, il vaut bien mieux que ce soit de la main de son mari que de celle d'un médecin, qu'il faut bien payer, et qui vous la traînera six mois ou un an. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  50. Je n'aime point à voir languir le inonde ; et puis l'on gagne son argent par ses mains. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  51. Point du tout : je suis accoutumé au sang de jeunesse. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  52. Tous ses confrères les médecins (car il avait pris ses licences dans leur école) disaient qu'il n'y avait jamais eu un homme aussi adroit, et qu'on ne voyait point de besogne faite comme la sienne : aussi l'avaient-ils fait recteur de la Faculté. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  53. J'ai couru par toutes les sept parties du monde, et me voilà enfin à vos pieds, ma divine princesse, le coeur en braise, pour vous dire que je me pendrai assurément, si vous n'êtes unie avec moi par le lien conjugal. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  54. Je ne trouve qu'une petite difficulté à notre mariage, c'est que je suis déjà mariée. (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  55. Bon, voilà une belle affaire ! (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  56. Allons donc, épine de mon âme, touchez là ; commençons les préliminaires de notre mariage. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  57. Je ne demande que la petite oie. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  58. Je vous ai déjà dit que c'était une carogne que je hais comme le diable. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  59. Et dans peu j'espère lui donner d'une potion cordiale qui l'empêchera d'avoir faim de longtemps. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  60. Ne vois-tu pas bien que je disais cela pour rire ? (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  61. Il faut bien plus de temps pour faire crever une femme. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  62. Non, je ne serai pas contente que je ne t'aie étranglé de mes propres mains. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  63. Quelle honte d'estropier une pauvre femme ! (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  64. Par ma foi, voilà une méchante carogne. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  65. La, la, la, ma petite femme, ce ne sera rien ; cela ne m'arrivera plus. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  66. Quand vous voulez battre une femme, que ne lui sanglez-vous un coup de bâton sur la tête, sans vous amuser à la faire crier deux heures ! (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  67. Je ne saurais parler, er, er, er. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  68. Allons, je veux faire la paix : je n'aime pas à voir de noise dans un ménage ; je veux vous raccommoder : venez çà. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  69. Non, je ne lui pardonnerai jamais. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  70. Monsieur ou madame, car je ne sais si vous êtes mâle ou femelle, je ne vous vois que par derrière... (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  71. Vade retro, profane. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  72. Une personne de mon savoir... (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  73. Qui fait les madrigaux de Proserpine. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  74. Je ne le ferai plus. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  75. Il y en a une ici ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  76. C'est donc une académie de malins esprits. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  77. Je sais bien que la plupart des académiciens, là-haut, ne se donnent pas cette peine-là, et que, pourvu qu'ils la sachent lire, on les reçoit tout d'une voix ; mais ce n'est pas de même ici ; et il ne suffit pas de savoir faire l'anatomie d'un mot, pour être l'interprète des mystères de notre diabolique Académie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  78. Ce n'est pas que je n'aie eu cent fois plus de mérite qu'il ne faut pour en être. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  79. Il n'y eut jamais un meilleur naturel que le mien ; je rendais une comédie aussi facilement qu'un autre rend un lavement. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  80. C'est moi qui ai enrichi les comédiens français ; et il n'y avait point d'hiver que je ne leur donnasse sept ou huit pièces, tant sérieuses que comiques. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  81. Jamais qu'une fois ; mais aussi tout Paris venait se crever à la première représentation ; car personne ne voulait attendre la seconde, de peur de ne la point voir. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  82. Une comédie nouvelle, pour être bonne, ne doit se jouer qu'une fois ; quand elle va jusqu'à deux, ma foi, on s'ennuie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  83. J'ai mis le siècle dans ce goût-là ; et, si vous y prenez garde, depuis moi, tous les auteurs donnent là-dedans. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  84. Ils ont raison, au bout du compte ; car, comme les bonnes choses aujourd'hui n'ont point de cours, pour peu qu'une méchante pièce puisse être représentée une fois, voilà les comédiens riches. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  85. Tout au contraire, je marquai, dans mes rôles, les endroits où l'on devait siffler, afin que l'acteur se reposât et qu'il reprit haleine. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  86. Je ne l'avais pas pris de la métamorphose comme ces chardons du Parnasse ; fi ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  87. Cela sent le collège : je l'avais tiré tout entier de l'histoire de France ; il portait pour titre : les Aventures du Pont-Neuf. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  88. Les Aventures du Pont-Neuf ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  89. Est-ce que je dis des impertinences ? (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  90. Le Pont-Neuf n'est-il pas le plus bel endroit de Paris ? (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  91. Ergo, les Aventures du Pont-Neuf sont les plus beaux traits de l'histoire de France. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  92. C'est une figure, ignorant, que nous appelons en latin, pars pro toto ; et en grec synecdoche... (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  93. Le diable m'emporte si je ne vais la chercher. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  94. Je ne me moque point. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  95. Pour la rareté du fait, je veux vous y mener. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  96. Avant que d'aller plus avant, je voudrais bien savoir une chose de vous ; car on dit que l'on est si savant quand on est mort ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  97. Ma femme a toujours été diablement coquette : dites-moi, je vous prie, si je ne suis point... (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  98. Voyons : là, levez le nez, l'air fixe, le corps ferme, la tête droite ; montrez la langue. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  99. Ah, la carogne ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  100. Que cela ne vous fasse point de peine : c'est un mal de famille. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  101. C'est une chose étonnante, phlégétontique assemblée, que de voir l'affluence d'âmes qui tombent journellement par vos soins dans mon royaume : il faut désormais refuser l'entrée aux survenants, ou faire bâtir des appartements nouveaux ; et, pour cela, je crois qu'il sera bon de lever un droit sur le bois et le charbon qui se brûlent ici-bas : voilà le sujet pour lequel je vous assemble. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  102. Ne parlons point d'impôt : c'est quelque nouveau venu de maltôtier qui vous a soufflé cet avis-là. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
  103. J'ai vu autrefois le temps si misérable, qu'il ne venait pas ici le moindre petit griffonneur de sergent, qu'il ne fallût députer un diable tout exprès pour aller le quérir ; et présentement, nous ne sommes employés qu'à les chasser : il faut que les greffiers attendent des années entières à la porte, parce qu'ils ne veulent pas passer devant les conseillers, qui pleuvent ici de toutes parts. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  104. Il ne faut plus recevoir de gens de robe ; l'enfer est déjà assez lugubre ; et surtout, point de greffiers, car ces gens-là mettent l'enfer en mauvais prédicament. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
  105. Oui ; mais vous ne savez pas que, moi qui suis Pluton, je n'ai pas plus de droit en enfer que ces messieurs-là. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  106. Bienheureux si, quelque jour, ils ne m'en chassent pas. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  107. Je suis si soûl des gens de chicane, que dernièrement je fis une querelle d'Allemand à un diable de qualité, qui revenait de Paris ; et je lui fis fermer la porte, parce qu'il avait hanté mauvaise compagnie là-haut, et qu'il sortait du corps d'un procureur. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  108. Je ne veux plus qu'on en reçoive aucun à l'avenir qu'il n'ait une attestation de service et un certificat des fossoyeurs, comme il a bien et fidèlement exercé sa charge de médecin, et tué pour le moins dix mille personnes à sa part. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  109. Il est vrai qu'il en est tombé ce matin une bruine ; on ne se voyait pas en enfer. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  110. Nous ne pouvons pas les refuser, c'est ici leur apanage. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  111. Pour ceux-là, il faut en faire provision ; c'est le bois d'andelle de l'enfer ; et je ne veux pas que l'on brûle autre chose dans mon cabinet. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  112. Quatorze mille douzaines de femmes tant grandes que petites. (Acte 1, scène 9, CARON)
  113. Passé, en corps et en âme, deux carabins de symphonie, soi-disant musiciens de l'Opéra, qui viennent redemander leurs femmes. (Acte 1, scène 9, CARON)
  114. Il y a longtemps que je suis en ce pays-ci, mais je n'ai point encore vu une pareille ambassade. (Acte 1, scène 9, PROSERPINE)
  115. Elle valait bien la peine de faire le voyage. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  116. Si tu ne veux me la donner, v.5 (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  117. S'il ne tient qu'à une chanson pour avoir sa femme, je vais en dire une nouvelle. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  118. S'il est étonnant de voir un mari chercher sa femme jusqu'aux enfers, il ne l'est pas moins de voir une femme souhaiter avec empressement de retourner avec son mari, quand une fois elle en a été séparée. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  119. Pour moi, je ne suis point de celles qui regardent la séparation d'avec un mari comme la porte de leur félicité ; et j'avoue franchement que je suis d'assez mauvais goût pour trouver qu'il n'y a point de bonheur égal à celui de vivre avec un époux que l'on aime et dont on est tendrement aimé. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  120. Fi donc ; faites-la taire : elle prêche là une nouvelle doctrine. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  121. Je sais que je ne suis pas du goût d'aujourd'hui, et que pour être présentement femme du bel air, il ne faut prendre un mari que comme un surtout de bienséance, et un paravent de réputation ; mais j'aime mieux n'être pas tout à fait à la mode, et être un peu plus dans la route de mon devoir. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  122. Les femmes d'aujourd'hui sont si malheureuses, et l'empire des maris si absolu, que je ne m'étonne plus qu'il y ait tant de filles à marier, et qui regardent le mariage comme l'écueil de leurs plaisirs et le tombeau de leur liberté. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  123. En effet, n'est-ce pas une chose qui crie vengeance, de voir l'inhumanité avec laquelle les pauvres femmes, ces moutons d'amour, sont traitées par ces loups dévorants ! (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  124. Ne dirait-on pas... (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  125. Je vois bien que nous sommes ici sur le patrimoine des avocats. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  126. Ne dirait-on pas, dis-je, que le mariage, qui devrait être l'union, le noeud et la soudure des volontés, soit présentement un champ de bataille, où le mari s'exerce à chagriner sa femme, et où la femme est toujours la malheureuse exposée aux insultes, et bien souvent aux coups de celui qui devrait être le rempart de sa faiblesse ? (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  127. Ne savez-vous pas bien que qui bat sa femme, il la fait braire ; qui la rebat, il la fait taire. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  128. Ainsi, puisqu'il vient me chercher de si loin : c'est une marque qu'il ne saurait se passer de moi ; mais il ne m'aura que par le bon bout : je prétends avoir des conditions si avantageuses, qu'on ne puisse pas me reprocher d'avoir gâté le métier... (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  129. Comme c'est une chose qui crie vengeance, de voir le peu de dépenses que les femmes font aujourd'hui, je veux avoir plus d'argent que par le passé, et que chacun ait, sa semaine, la clef du coffre-fort. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  130. Si vous l'aviez une semaine, je courrais grand risque la suivante de ne pas entrer en exercice. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  131. Voilà une pèlerine qui a diablement d'esprit. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  132. La la, voyons : j'ai aussi à proposer mes conditions, moi, et voilà des articles que nous ferons signer par des notaires de ce pays-ci ; car je crois qu'il n'y en manque pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  133. Et moi, je ne veux pas sortir. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  134. Une jolie femme comme moi, en tout pays, ne manque point de mari. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  135. Puisque je ne profite pas de votre mort, je prétends que vous me rendiez les frais du deuil et de l'enterrement que j'ai payés au crieur. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  136. Cela est juste ; mais il n'en coûte pas grand'chose gour faire enterrer une petite femme. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  137. Ces diables de corbeaux-là ne les mesurent pas B la toise, et ils rançonnent si exorbitamment un pauvre mari, que souvent il aimerait presque autant que sa femme ne mourût pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  138. Ils gagnent assez d'ailleurs. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  139. Je le crois bien ; je m'en contenterais bien, moi qui suis Proserpine. (Acte 1, scène 10, PROSERPINE)
  140. Je ne veux point engager ma conscience. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  141. Puisqu'elle est votre femme, tous les enfants qu'elle aura ne seront-ils pas les vôtres ? (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  142. Nego consequentiam. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  143. Vous ne savez pas tout le manège de là-haut, monsieur Pluton : il y a tant de pères qui n'ont jamais eu d'enfants ! (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  144. Après avoir entendu les raisons des uns et des autres, pour vous défrayer des frais de votre voyage, moi Pluton, prince des ténèbres, souverain du Styx et du Phlégéton, gouverneur des pays-bas, président du sabbat, et correcteur né des arts, métiers et professions, je vous permets non seulement d'emmener chacun votre femme, mais toutes celles qui sont en enfer, sans même en excepter Proserpine. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  145. Pour moi, je n'en ai que trop de celle-ci ; mais il y a bien des gens qui ne demanderont pas mieux que de troquer avec vous. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 21 textes (soit une présence dans 1,11 % des textes) dans lesquels il y a 5727 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 272,71 occurences par texte.

Titres Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Prologue Total
1 LA S?R?NADE20300000203
2 LA SÉRÉNADE5000005
3 LE JOUEUR1131118170670442
4 LES SOUHAITS10800000108
5 LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES H?TELLERIES.738648000207
6 LE BAL16100000161
7 ARLEQUIN, HOMME ? BONNES FORTUNES.7087130000287
8 LES VENDANGES890000089
9 DÉMOCRITE1101029276720452
10 LA COQUETTE, OU L'ACAD?MIE DES DAMES.12910782000318
11 LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES.6381000054
12 LE DISTRAIT0000303
13 LE DISTRAIT111799483790446
14 LE RETOUR IMPR?VU17100000171
15 ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME13900000139
16 ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME8000008
17 LES M?NECHMES, ou LES JUMEAUX0100001
18 LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX4619410487950526
19 LA CRITIQUE DE L'HOMME ? BONNES FORTUNES.870000087
20 LA CRITIQUE DU L?GATAIRE920000092
21 LE L?GATAIRE UNIVERSEL0200002
22 LE LÉGATAIRE UNIVERSEL1008612077900473
23 LE DIVORCE122104940014334
24 LE CARNAVAL DE VENISE20304332170142
25 SAPOR9710692104600459
26 ARLEQUIN AUX ENFERS14400000144
27 ARLEQUIN AUX ENFERS1000001
28 ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES.021500017
29 LES FOLIES AMOUREUSES0931560099348
30 LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES.0070007
31 LE DIVORCE0000011
  Total2205122811685294831145727

 

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